La compagnie aérienne nationale, Air Algérie a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 53 milliards de DA, pour l’exercice 2019, soit une augmentation de 5% comparativement à 2018, a annoncé dimanche son PDG, Bakhouche Allèche.
″ Nous avons toujours eu un cash-flow positif et nous ne connaissons pas de problèmes de trésorerie majeurs. Contrairement à une idée répandue et fausse, nous avons toujours financé nos investissements sur fonds propres ou par recours à des crédits bancaires que nous avons toujours honorés ”, s’est défendu le PDG d’Air Algérie. Bakhouche Allèche a reconnu que le réseau domestique “plombait” les résultats de l’entreprise du fait qu’il ne contribue qu’à hauteur de 10% au chiffre d’affaires, alors que presque la moitié de l’enveloppe globale de ses vols sont consacrés à la couverture du réseau intérieur.
Le PDG d’Air Algérie a confié que la compagnie aérienne nationale avait connu une “insuffisance” des compensations financières : “Ces dernières années, nous avons souffert de l’insuffisance des compensations financières qui nous sont dues par l’État au titre des sujétions de service public sur le réseau domestique”, a-t-il relevé. “Je dis bien compensation et non pas subvention. En réalité, l’État subventionne l’usager et non pas la compagnie”, a-t-il tenu à préciser.
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″ Nous avons toujours eu un cash-flow positif et nous ne connaissons pas de problèmes de trésorerie majeurs. Contrairement à une idée répandue et fausse, nous avons toujours financé nos investissements sur fonds propres ou par recours à des crédits bancaires que nous avons toujours honorés ”, s’est défendu le PDG d’Air Algérie. Bakhouche Allèche a reconnu que le réseau domestique “plombait” les résultats de l’entreprise du fait qu’il ne contribue qu’à hauteur de 10% au chiffre d’affaires, alors que presque la moitié de l’enveloppe globale de ses vols sont consacrés à la couverture du réseau intérieur.
Le PDG d’Air Algérie a confié que la compagnie aérienne nationale avait connu une “insuffisance” des compensations financières : “Ces dernières années, nous avons souffert de l’insuffisance des compensations financières qui nous sont dues par l’État au titre des sujétions de service public sur le réseau domestique”, a-t-il relevé. “Je dis bien compensation et non pas subvention. En réalité, l’État subventionne l’usager et non pas la compagnie”, a-t-il tenu à préciser.
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