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Issad Mabrouk: « Les magistrats poursuivront la grève jusqu’à la satisfaction totale de leurs revendications »
Les magistrats qui ont, réussi l’épreuve de la grève illimitée enclenchée hier dimanche, entendent poursuivre leur démarche jusqu’à la satisfaction totale de leurs revendications.
Le président du Syndicat national des magistrat (SNM) affirme dans une déclaration à Interlignes que « les magistrats sont déterminés à poursuivre leur grève qui ne concerne pas seulement le mouvement opéré par le ministère et qui a touché près de 3000 magistrats mais celle-ci s’étend sur d’autres revendications introduites dans leur communiqué du samedi 26 octobre ».
Les magistrats demandent, en effet, au delà de l’annulation de la décision du ministère de la justice qu’ils qualifie du « piétinement des prérogatives du haut conseil de la magistrature par celui qui incarne le pouvoir exécutif » mais réclament également le respect du principe de l’indépendance de la justice, comme l’a exprimé le peuple algérien et les magistrats eux-mêmes.
Dans leur communiqué du samedi dernier, le syndicat national des magistrats a réclamé le gel du dernier mouvement dans le corps des magistrats, la révision immédiate des textes législatifs pour lever l’emprise de l’exécutif sur le pouvoir législatif et le traitement des revendications sociales exprimées par le passé. « Nous demandons au ministre de la justice de mettre un terme à ses agissements envers les magistrats qui ne sont pas un troupeau, en prétendant nettoyer le secteur », a dénoncé le SNM dans son communiqué.
Inter-lignes
28 octobre 2019
Le président du Syndicat national des magistrat (SNM) affirme dans une déclaration à Interlignes que « les magistrats sont déterminés à poursuivre leur grève qui ne concerne pas seulement le mouvement opéré par le ministère et qui a touché près de 3000 magistrats mais celle-ci s’étend sur d’autres revendications introduites dans leur communiqué du samedi 26 octobre ».
Les magistrats demandent, en effet, au delà de l’annulation de la décision du ministère de la justice qu’ils qualifie du « piétinement des prérogatives du haut conseil de la magistrature par celui qui incarne le pouvoir exécutif » mais réclament également le respect du principe de l’indépendance de la justice, comme l’a exprimé le peuple algérien et les magistrats eux-mêmes.
Dans leur communiqué du samedi dernier, le syndicat national des magistrats a réclamé le gel du dernier mouvement dans le corps des magistrats, la révision immédiate des textes législatifs pour lever l’emprise de l’exécutif sur le pouvoir législatif et le traitement des revendications sociales exprimées par le passé. « Nous demandons au ministre de la justice de mettre un terme à ses agissements envers les magistrats qui ne sont pas un troupeau, en prétendant nettoyer le secteur », a dénoncé le SNM dans son communiqué.
Inter-lignes
28 octobre 2019
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