vendredi 1 novembre 2019 à 18:45
Source de l'article : **********.com
37e vendredi de contestation pacifique pour le peuple qui est descendu une nouvelle fois dans les rues de plusieurs villes du pays ce 1 Novembre.
Vendredi 1 Novembre 2019, une journée historique pour les algériens qui sont descendus par centaines de milliers un trente-septième vendredi d’affilée dans les rues pour réclamer leur «seconde indépendance», à savoir le départ des généraux corrompus et l’ensemble des personnalités symbolisant le « système » hérité du président déchu Abdelaziz Bouteflika.
Dès la fin de la prière hebdomadaire du vendredi, les rues des quatre coins du pays ont été envahies par une foule impressionnante , qui a marqué son rejet le présidentielle du 12 décembre que le pouvoir veut imposer.
«Pour une Algérie libre et démocratique», « Le peuple veut son indépendance », «Y en a marre des généraux», «Dégage Gaïd-Salah, il n’y aura pas de vote ! », « Gaid Salah, Bensalah, vous dégagez » pouvait-on entendre dans les rues des ville d’Algérie. Les manifestants scandaient des slogans réclamant le départ d’Ahmed Gaïd Salah et Abdelakeder Bensalah et la libération des manifestants incarcérés, et notamment celle du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ.
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Source de l'article : **********.com
37e vendredi de contestation pacifique pour le peuple qui est descendu une nouvelle fois dans les rues de plusieurs villes du pays ce 1 Novembre.
Vendredi 1 Novembre 2019, une journée historique pour les algériens qui sont descendus par centaines de milliers un trente-septième vendredi d’affilée dans les rues pour réclamer leur «seconde indépendance», à savoir le départ des généraux corrompus et l’ensemble des personnalités symbolisant le « système » hérité du président déchu Abdelaziz Bouteflika.
Dès la fin de la prière hebdomadaire du vendredi, les rues des quatre coins du pays ont été envahies par une foule impressionnante , qui a marqué son rejet le présidentielle du 12 décembre que le pouvoir veut imposer.
«Pour une Algérie libre et démocratique», « Le peuple veut son indépendance », «Y en a marre des généraux», «Dégage Gaïd-Salah, il n’y aura pas de vote ! », « Gaid Salah, Bensalah, vous dégagez » pouvait-on entendre dans les rues des ville d’Algérie. Les manifestants scandaient des slogans réclamant le départ d’Ahmed Gaïd Salah et Abdelakeder Bensalah et la libération des manifestants incarcérés, et notamment celle du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ.
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