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Médecin à PARIS et salarié au CHU de Annaba
«Avec ce changement, on espère que Annaba récupérera son statut de pôle régional de santé, qu’elle a perdu progressivement avec le manque de performance des gestionnaires et certains chefs de service.
Ce statut sera confirmé avec la réception, en 2020, à la commune d’El Bouni, de l’hôpital de chirurgie cardiaque, pédiatrie et adulte, du centre de transfusion sanguine et surtout l’espoir du dégel du projet de l’hôpital 350 lits et celui des urgences médico-chirurgicales de 150 lits. Ce qui hissera Annaba au diapason des wilayas du pays dans ce domaine», estime notre source.
La gestion opaque et douteuse est un autre grave constat au CHU de Annaba. En effet, à titre d’exemple, un maître assistant en anesthésie-réanimation au serviceéponyme perçoit son salaire, depuis trois années, à Annaba, alors qu’il réside en France et travaillait à l’hôpital Cochin de Paris durant cette période. Selon une lettre anonyme adressée à la rédaction d’El Watan, dont les informations sont confirmées, le Dr G. M.-C. est même cité dans le Journal officiel français n°0035 du 10 février 2017, dont le nom est mentionné sur l’arrêté du 3 février 2017. Cependant, le syndicat du CHU Annaba ne semble pas satisfait de ce coup de pied dans la fourmilière
Lui qui dénonçait à chaque fois, sous la casquette de l’UGTA, la mauvaise prise en charge des malades, s’est érigé contre ce changement à la tête de la direction générale, dont la gestion était partagée par des extras administratifs, notamment des syndicalistes et un ex-député. «Au lendemain de l’installation du nouveau directeur, une commission d’enquête fera le déplacement pour éplucher surtout les dossiers d’investissement et ceux liés à l’achat des équipements et du consommable.
Le cas du salaire fictif du médecin sera le premier à être pris en charge par les inspecteurs avant que les conclusions ne soient transmises aux services de sécurité», révèlent des inspecteurs du même ministère. A suivre…
El Watan 03 11 2019
«Avec ce changement, on espère que Annaba récupérera son statut de pôle régional de santé, qu’elle a perdu progressivement avec le manque de performance des gestionnaires et certains chefs de service.
Ce statut sera confirmé avec la réception, en 2020, à la commune d’El Bouni, de l’hôpital de chirurgie cardiaque, pédiatrie et adulte, du centre de transfusion sanguine et surtout l’espoir du dégel du projet de l’hôpital 350 lits et celui des urgences médico-chirurgicales de 150 lits. Ce qui hissera Annaba au diapason des wilayas du pays dans ce domaine», estime notre source.
La gestion opaque et douteuse est un autre grave constat au CHU de Annaba. En effet, à titre d’exemple, un maître assistant en anesthésie-réanimation au serviceéponyme perçoit son salaire, depuis trois années, à Annaba, alors qu’il réside en France et travaillait à l’hôpital Cochin de Paris durant cette période. Selon une lettre anonyme adressée à la rédaction d’El Watan, dont les informations sont confirmées, le Dr G. M.-C. est même cité dans le Journal officiel français n°0035 du 10 février 2017, dont le nom est mentionné sur l’arrêté du 3 février 2017. Cependant, le syndicat du CHU Annaba ne semble pas satisfait de ce coup de pied dans la fourmilière
Lui qui dénonçait à chaque fois, sous la casquette de l’UGTA, la mauvaise prise en charge des malades, s’est érigé contre ce changement à la tête de la direction générale, dont la gestion était partagée par des extras administratifs, notamment des syndicalistes et un ex-député. «Au lendemain de l’installation du nouveau directeur, une commission d’enquête fera le déplacement pour éplucher surtout les dossiers d’investissement et ceux liés à l’achat des équipements et du consommable.
Le cas du salaire fictif du médecin sera le premier à être pris en charge par les inspecteurs avant que les conclusions ne soient transmises aux services de sécurité», révèlent des inspecteurs du même ministère. A suivre…
El Watan 03 11 2019