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**Chif** · 05 novembre 2019, 23h32

Bourourou avait donc bien un compte à New-York.

Le mythe za3ma de l'honnête homme blablabla s'effondre.

Vivement que la france sorte ces archives sur tous ceux qu'elle protège au nom de la raison d'état.

La légende racontée au peuple était que la veuve avait découvert 13 000 dinars sur le compte de bourourou à sa mort.

**MEC213** · 06 novembre 2019, 05h53

Anissa Boumediene 27 septembre 2017

Un journal en ligne vous prête une vie de princesse grâce à vos biens immobiliers dans le monde entier. Qu’est-ce que vous répondez à ces affirmations ?

Anissa Boumediene: Le journal électronique auquel vous faites allusion est Tamurt, organe de presse du GPK de Ferhat Mehenni qui revendique l’indépendance de la Kabylie et qui a proféré d’odieuses calomnies à l’encontre du président Boumediene en prétendant qu’il « possédait une fortune qu’on ne peut estimer » et qu’il avait « au moins deux comptes à l’étranger dont un dans une banque juive à New-York ».

Je cite fidèlement les propos de ce torchon qui, non content de traiter mon mari de voleur, me calomnie en prétendant que j’ai « hérité de cette fortune » et que « j’ai des biens immobiliers dans le monde entier ». Honte à ces journaleux. Le président Boumediene n’a jamais possédé de maison, ni de terrain, que ce soit en Algérie ou ailleurs. Il ne m’a rien laissé et je n’ai aucun bien immobilier en Algérie ou ailleurs. Il y a un diction français qui dit : « Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée ».

Ces journaleux ne respectent rien, même pas la probité des individus. Les Français opposés au général De Gaulle, en dépit de leurs critiques sur le plan politique, n’ont jamais mis en doute son honnêteté et celle de son épouse. Chez nous, avec de tels ignorants, on n’a ni la bonne renommée ni la ceinture dorée.

Le journal a actualisé de vieilles affirmations d’anciens dirigeants algériens selon lesquels le président Boumediene détenait des comptes à l’étranger alimentés par l’homme d’affaires Messaoud Zeggar. Qu’en est-il ?

Vous faites allusion au journal de l’ex-président Benbella, La Tribune d’octobre, qui pour se venger de l’homme qui l’avait destitué, a cherché à salir sa mémoire. J’ai, dans les années 80, intenté un procès en diffamation contre le journal que j’ai gagné haut la main en obtenant le franc symbolique et la publication dans ledit journal du jugement dont il a renoncé à faire appel.

Vous pensez bien qu’après la mort du président Boumediene, les services de sécurité aussi bien algériens qu’étrangers se sont livrés à des enquêtes approfondies sur ce que le président Boumediene aurait pu posséder et qu’ils auraient été heureux de pouvoir porter atteinte à sa réputation de dirigeant intègre. Malheureusement pour eux, ils n’ont rien trouvé car il n’y avait rien. Boumediene était un dirigeant intègre qui n’a rien laissé ni à sa famille ni à sa femme, que ce soit en Algérie ou à l’étranger. Ce n’était pas un voleur et je ne suis pas une receleuse.

Quels sont les biens que le défunt a-t-il légués à vous et à ses frères ? Quel héritage détenez-vous de votre père issu d’une famille nantie ?

Je le répète et mes affirmations sont aisément vérifiables : Boumediene n’a légué ni fortune ni bien immobilier, ni en Algérie ni à l’étranger. En ce qui me concerne, fille unique, sans frère ni sœur, je suis issue d’une très vieille famille algéroise, honorablement connue, les El-Mansali. L’historien Ahmed Tawfik Al-Madani a publié dans le deuxième tome de son ouvrage Hyat Kifah la photo de mon grand-père paternel, El Hadj M’hamed El-Mansali avec ce commentaire : « L’un des premiers militants » car il avait donné beaucoup d’argent pour la création d’écoles privées de langue arabe (langue du Coran) qui étaient inexistantes à cette époque.

De même, l’architecte Fernand Pouillon, dans son livre « Mémoires d’architecte », parle de ma famille car il a construit un ensemble immobilier appelé Diar El Mahçoul sur les terrains des El-Mansali à Alger qui en avaient été expropriés par Jaques Chevalier, maire d’Alger, en 1951. Et Pouillon s’est rendu aussi acquéreur du petit palais d’été du raïs Hamidou, raïs de la Taïfa mort en 1815, que mes aïeux avaient acheté en 1876 et qui portait alors le nom de la villa des Arcades.

Quant à mon père, il fut le premier Algérien à distribuer des films en Afrique du Nord dans les années 1930. Il avait acheté le cinéma Dounyazad à Alger avant la guerre d’indépendance dont il m’avait fait don et que j’ai vendu par la suite.

Une phrase de Boumediene est restée célèbre : « On ne peut travailler dans le miel sans y goûter ». Ce fut interprété comme une tolérance de la corruption…

Il y a une fausse interprétation de la phrase que vous citez car il n’était pas question pour lui de tolérer la corruption. Bien au contraire, il l’avait clairement dit dans son discours à Constantine, le 6 juillet 1974 où il dénonçait très vigoureusement « ceux dont le seul souci est de gagner de l’argent et « qu’ils sachent une fois pour toutes, ajoutait-il, qu’ils « n’ont pas de place dans l’État, au parti ou dans l’armée. J’adresse un dernier avertissement car c’est une question de choix ». Et il avait réitéré cet avertissement dans son discours de Tizi-Ouzou, le 17 septembre.

Dans le congrès du parti qu’il entendait initier en février 1979 il disait que « tous les membres du Conseil de la Révolution mettraient leurs dossiers sur la table, y compris le sien et que des tribunaux populaires jugeraient des faits de corruption ». Inutile de préciser que certains ont dû respirer après sa mort, le 27 décembre 1978.

Pensez-vous que le président Boutefilka va se présenter à un cinquième mandat ?

Je ne suis pas dans la tête du président Bouteflika. Par conséquent je ne peux pas me hasarder à donner une réponse à votre question.
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Anissa Boumediene 19 avril 2019 (bbc.com)
La veuve de Houari Boumédiène, le président algérien décédé en 1978, soutient les manifestations antigouvernementales en Algérie et souhaite que le chef d'état-major des armées, Ahmed Gaïd Salah, joue un rôle plus important pour conduire le pays à la stabilité.
...

**katiaret** · 06 novembre 2019, 06h21

les créateur de l'organe porte plainte contre l'organe quel hypocrisie

**Risk** · 06 novembre 2019, 09h12

la vérité souffre d'être trop souvent remise en doute

**ACAPULCO** · 06 novembre 2019, 11h41

Bourourou avait donc bien un compte à New-York.

Quand on n'a pas de preuves tangibles , on s'empresse pas d'accuser quelqu'un qui n'est plus de ce monde pour s'expliquer; et puis s'il avait des sympathies pour les USA au point d'ouvrir un compte bancaire dans ce pays , il n'aurait pas choisi de s'aligner sur le bloc URSS; bref, je ne défend pas Boumedienne loin de là mais je n'aime pas non plus les mensonges

**Pomaria** · 06 novembre 2019, 11h51

ATTENTION : Évitons de nous emporter pour rien.

L'article est incomplet. car il ne dit pas vraiment pourquoi elle a été déboutée. Ce tribunal n'a jamais validé les propos publiés par fe journaleux de Tamurt.

La raison est très simple. Et c'est celle qui a motivé la décision du tribunal. Lisez ce texte et vous comprendrez :

Lyazid Abid Directeur de Publication de Tamurt-info s’était justifié en déclarant détenir des articles de presse écrite en provenance des pays arabes qui avaient déjà révélé l’affaire.
Tamurt-info n’a fait que rapporter une information déjà portée à la connaissance du public par d’autres médias

En gros si Anissa Boumedienne deposer plainte pour diffamation, c'est plutot contre ces autres médias qui ont rapportés initialement l'info.

Donc, c'est un jugement pour la forme, et surtout pas sur le fond et la véracité ou pas des propos publiés.
Qu'on se le dise !

**Absent** · 06 novembre 2019, 12h24

Le journal électronique.. est Tamurt

Tout est dit

**Chif** · 06 novembre 2019, 12h31

Le jugement n'a pas été rendu par tamurt mais par un tribunal après avoir vu les éléments des 2 parties.

Le procédé est malhonnête.

Si cette dame a été déboutée grâce à ces preuves, c'est que ce compte existe.

Cela n'a rien à voir avec les positions politiques de tamurt qui sont contestables.

On n'est pas dans la justice du téléphone pour faire des procès politiques.

Si les éléments apportés sont faux, que la veuve de bourourou le prouve avec ses nombreux avocats.

La condamnation lui fera gagner des sous et ruinera ce site.

Chiche !

**Pomaria** · 06 novembre 2019, 13h10

Salem Chif

Le jugement n'a pas été rendu par tamurt mais par un tribunal après avoir vu les éléments des 2 parties.

Le procédé est malhonnête.

Si cette dame a été déboutée grâce à ces preuves, c'est que ce compte existe.

Tu fais cette déduction parque tu as vraiment les preuves sur l'existence de ces comptes ? c'est ca ?
Alors, il est intéressant pour nous que tu nous les publie. Ou au moins tu nous publies le texte du jugement qui confirme l'existence de ces comptes.
Car je n'ai pu lire nulle part dans les journaux que le jugement a confirmé leur existence.

D'ailleurs, c'est à celui qui incrimine (et/ou diffames) qui doit ramener les preuves de ce qu'il avance. Pas à celui qui dénonce cette diffamation.

Ce que disent les articles de journaux sur l'affaire Anissa Boumedienne - Tamurt, c'est justement que Tamurt n'en a pas les preuves, mais que l'argumentaire de ce dernier pour justifier sa bonne foi, est qu'il n'a fait que son travail en republiant un article publié ailleurs et en donne les références de ces médias.

Je comprends par là que la plainte pour diffamation contre TAMURT a été jugé irrecevable juste pour la forme (la bonne foi de TAMURT), et non pas pour son contenu.

Et je ne suis aucunement en train de défendre cette dame, ni Boumedienne, ni d'attaquer les propos du Torchon-Tamurt. J'essaie juste de comprendre sereinement les choses, et ne pas sombrer dans des déductions HATIVES !

Et Si tu as d'autres éléments complémentaires qu'on ne connait pas, partages-les !

**ice berg** · 06 novembre 2019, 14h24

boumediene est un dictateur,il s'est servit des larbins tel que hofman belkheir nezar ,lamari ,pour prendre le pouvoir,il voulait se servir d'eux ils se sont servis de lui,mai voleur,et des compte a l’étranger c'est des mensonges.
boutef,toufik et tous les voleurs qui sont venus après sa mort c'est son fruit.
il n'est pas voleur mais il a enfanté de ceux qui ont ruinés ce pays.
il ne voulait pas de l'ombre,des Boudiaf,Ait ahmed,Abane etc..

**Pomaria** · 06 novembre 2019, 14h51

ice berg

boumediene est un dictateur,il s'est servit des larbins tel que hofman belkheir nezar ,lamari ,pour prendre le pouvoir,il voulait se servir d'eux ils se sont servis de lui,

Jamais eu connaissancede cette partie de l'histoire de Boumedienne et le fait de s'être servis de belkheir nezar ,lamari

Peux tu me donner des références sur ca précisement STP, ice berg ???

ice berg

mai voleur,et des compte a l’étranger c'est des mensonges.
boutef,toufik et tous les voleurs qui sont venus après sa mort c'est son fruit.
il n'est pas voleur mais il a enfanté de ceux qui ont ruinés ce pays.
il ne voulait pas de l'ombre,des Boudiaf,Ait ahmed,Abane etc..

Très d'accord avec toi, sur ces points précis.

Et c'est pourquoi le pays est allé à la dérive dès l'indépendance.

**hben** · 06 novembre 2019, 15h02

C'est vrai qu'elle n'a rien hérité de son honnête mari, la pauvresse!.. Habiter au 20 Rue Marceau à Neuilly est à la portée de n'importe quel algérien!

**Absent** · 06 novembre 2019, 15h08

Pour la gouverne, Anissa Boumedienne provient de la bourgeoisie Suisse..
Sa mère est suisse.. son père est algérien.. et tous deux sont riches !
C'est la seule chose d'ailleurs que nous avait caché Boumediène ;
Sa femme avait la nationalité double

**ice berg** · 06 novembre 2019, 15h10

C'EST UNE FEMME RICHE AVANT SON MARIAGE AVEC BOUMEDIENE,elle peut se payer dix appartements dans n'importe quel pays.

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Nouveau rebondissement dans l’affaire d’Anissa Boumédiène

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