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L'islam et la mort

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  • L'islam et la mort

    Quelle est la représentation de la mort dans la religion musulmane ? Parcourrez l'article culture et découvertes de Dans Nos Cœurs pour en apprendre plus sur la représentation de la mort dans l'Islam. Découvrez les croyances musulmanes sur la résurrection, le voyage de l'âme et sur la mort en général.

    L’islam considère la mort comme une étape. Une fois le corps humain parti, la vie continue de manière spirituelle et physique. En cela, la vie passée sur Terre conditionne celle dans l’au-delà, dans les récompenses comme dans les sanctions. Pour cette raison, la croyance de la vie après la mort (l’une des six croyances du musulman pour une foi totale) doit favoriser les bonnes actions. Le jugement rendu au terme de la vie doit donc punir les pécheurs et gratifier les fidèles. S’il n’y a pas de croyance en Dieu, alors l’individu ne ressent pas la nécessité de le « servir » et donc d’accomplir de bonnes actions.

    Dans la religion musulmane, quand une personne décède, elle se situe entre le stade de la mort et celui de la résurrection. Elle traverse notamment l’"épreuve de la tombe", durant laquelle elle est interrogée sur sa religion, son prophète et le Seigneur. Ces questions sont posées par deux Anges, Nakir et Mounkir. Puis un Ange de la mort est chargé de venir saluer et récupérer l’âme du défunt le jour de sa mort. Dans le cas d’un "bon croyant", l’Ange se montre doux, tandis que le mécréant voit son âme arrachée, signe annonciateur du châtiment qu’il devra affronter.

    Le défunt reste alors conscient, peut entendre, mais ne peut plus agir et donc décider du bien et du mal. En revanche, il lui est encore possible de profiter des bonnes actions faites en son nom : invocation à Allah, pèlerinage à La Mecque, partage de richesses…

    Dans l'islam, le croyant, considérant la mort comme inévitable, prépare sa rencontre avec Dieu. Il garde l’espoir d’être pardonné de ses péchés grâce aux prières.

    « La crainte de Dieu et l’espoir de Son pardon sont comme deux ailes qui permettent à la foi de s’élever ».

    La peur de la mort dans l’islam est en fait un moteur pour servir le bien.

    Fin du monde et résurrection
    Un jour, le monde des morts, le Barzakh, prendra fin. Dieu décrétera alors la résurrection, ère d’une nouvelle création, débutant par le Jugement dernier. L’ange Asrafil sera chargé de souffler dans une trompe pour ressusciter les hommes, qui seront réunis au même endroit.

    Le soleil, proche, et les angoisses du jugement les feront transpirer. Chaque humain passera devant le Créateur, et ses actes seront lus par les anges. Il traversera ensuite le pont au-dessus de l’Enfer. C’est ici que son sort prendra effet : tomber dans le feu s'il a péché, rejoindre le Paradis s'il a été un bon serviteur. Dans le second cas, il atteindra alors ce monde indescriptible où chacun renaîtra dans un autre corps, éternellement jeune.

    dansnoscoeurs

  • #2
    S’il n’y a pas de croyance en Dieu, alors l’individu ne ressent pas la nécessité de le « servir » et donc d’accomplir de bonnes actions.

    Tu va pas te facher j'espere si je dit que c'est une grosse co.... betise
    L'homme a dans sa nature de faire le bien
    Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

    La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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    • #3
      S’il n’y a pas de croyance en Dieu, alors l’individu ne ressent pas la nécessité de le « servir » et donc d’accomplir de bonnes actions.
      IL y a une différence de taille entre les actes d'un croyants et un non croyant lorsqu'ils font le bien.

      Un croyant fait le bien par prétention d'avoir des "hassanate" (qui le propulsent au Paradis) tandis que lorsqu'il ne fait pas le mal c'est pour ne pas récolter des "sayi2ate" (qui le jettent en Enfer). Par contre un non croyant n'agit pas sur la base de la prétention (la carotte) ou la peur (le bâton) mais il fait le bien et ne fait pas le mal car c'est une personne de bien à l'origine !

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      • #4
        L'homme a dans sa nature de faire le bien
        Cher Mario,
        Justement pour une fois vous venez de bien définir le sujet. Comme je n'ai jamais cessé de le répéter, chacun au tréfonds de lui même est de cette même façon enclin à connaître Dieu, fin ultime et raison de la création bien que beaucoup se le cachent sans cesse. Il n'échappe a personne que le sentiment de la foi se confond dans le cœur de l'homme plus que tout autre sentiment et l'athée ne fait que le rejeter. C'est donc seulement un croyant qui ne se reconnait pas. L'athéisme n'est donc qu'une méthode négative mais toujours pour aborder la vérité de Dieu.
        IL y a une différence de taille entre les actes d'un croyants et un non croyant lorsqu'ils font le bien.
        Cher veniziano,
        C'est trop caricatural comme d'Habitude, en fait la présence majestueuse de Dieu dans le cœur des vrais croyants ne permet pas une telle tenue mentale relative plutôt a la comptabilité. La liberté de pensée et de conscience est certainement un des plus grand progrès de l’humanité, mais ce sont les religions qui le revendiquent à juste titre car le libre arbitre en est un principe fondamental. L’athée, dans sa pensée limitative est victime de la pensée unique en adoptant justement une seule référence à savoir, mère nature. C'est pour cela que le crime est a sa portée et sans aucun jugement futur d'ou il se libère du sentiment d'être redevable à quelqu'un pour ses actions. L'athée immoral est une personne qui nie l'existence de Dieu parce qu'il aime son péché. L'Athéisme est donc un dogme qui peut parfaire l'immoralité..
        A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
        Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

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        • #5
          Le tipe est discutable, mais dans cette phrase il encadre parfaitement le sujet

          "Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba"

          Puis que se soit l'athè qui ai une pensèe unique ne merite aucun commentaire, juste un sourire
          Dernière modification par mario23, 07 novembre 2019, 11h09.
          Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

          La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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          • #6
            Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient.
            Cher mario,
            Mon ami, tout cela ne se fait pas facilement et de façon magique. Quand on est confronté à la souffrance, aux tragédies de la vie, on découvre que ce sont les cœurs guéris et restaurés qui procurent cette aide.. Ces cœurs ont été rétablis par l'éducation et la prière.
            A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
            Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

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