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Une émission de l’ENTV censurée pour s’être attaquée à la feuille de route de l’ANP !

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  • Une émission de l’ENTV censurée pour s’être attaquée à la feuille de route de l’ANP !

    Selon le quotidien El Watan, l’émission “Question d’actu” du journaliste Nazim Aziri a été censurée par le directeur de l’ENTV, Lotfi Cheriet.
    Le Journaliste, Nadjib Belhimer, a écrit sur sa page « L’émission a été censurée parce qu’elle a révélé le caractère mensonger de la nécessité d’adhérer à la solution constitutionnelle.Elle a donné une autre lecture des arrestations et du rôle de l’armée. Rien n’a changé dans les pratiques de l’audiovisuel public. Il était interdit de critiquer Bouteflika, il est condamnable de critiquer Gaïd Salah. L’opinion qui révèle le caractère indécis du discours officiel est exclue « , ajoute la même source.

    El Watan

  • #2
    Censure : Pétition de soutien aux journalistes de la radio nationale

    Des universitaires, des journalistes, des militants… ont signé jeudi une pétition pour apporter leur soutien aux journalistes de la radio nationale qui subissent la censure.

    « Pourquoi nous devons soutenir les journalistes de la radio nationale ?

    Des journalistes de la radio nationale sont empêchés de faire leur travail dans le respect de l’éthique et du professionnalisme. La suspension de l’émission “Actuel” par le nouveau directeur de la chaîne III vient confirmer la volonté des autorités d’étouffer dans l’œuf une démarche vertueuse de professionnels en cours depuis plusieurs mois: la défense d’un service public de l’information.

    Des journalistes et producteurs de différentes chaînes de la radio nationale ont, en effet, avec un courage remarquable, remis au goût du jour la notion fondamentale du “service public”, question posée par le mouvement des journalistes algériens (MJA) à la fin des années 80 mais qui a pratiquement disparue dans les années 90.

    C’est un enjeu essentiel. Il recouvre le droit des Algériens à une information crédible, sérieuse et équilibrée. Des journalistes de la radio nationale se sont efforcés au cours des derniers mois de s’acquitter de leur mission de service public qui signifie, dans le domaine qui est le leur, informer honnêtement et permettre les expressions plurielles et diverses.

    Ces journalistes ont le droit de faire leur travail en étant soumis uniquement aux règles professionnelles qui commandent le métier.

    Ce retour des journalistes vers le service public est contrarié par la censure et les interdits qui reviennent avec force. Les médias où ils travaillent sont vraiment et sans l’ombre d’un doute les “médias du peuple”. Il s’agit de les lui rendre.

    Soutenons sans hésitation ces professionnels qui se battent pour un service public digne de ce nom. Ils se battent pour nous, ils se battent avec nous. »

    Signataires :

    1- Nadjib BELHIMER, journaliste.
    2- Said DJAAFER, journaliste.
    3- Khaled DRARENI, journaliste
    4- Akram KHARIEF, journaliste.
    5- Louisa DRIS AIT-HAMADOUCHE, universitaire.
    6- Chrif DRIS, universitaire
    7- Drifa MEZENNER, réalisatrice.
    8- Nouredine AZOUZ, journaliste
    9- Amin KHAN, écrivain
    10- Lhaouari ADDI, universitaire
    11- Abdelmoumene KHELIL, défenseur des droits de l’homme.
    12- Mohamed SAFAR ZITOUN, défenseur des droits de l’homme.
    13- Said SALHI, Vice-président LADH
    14- Samy BOUCHAIB, chercheur
    15- Samia Aldja Seghir, universitaire membre du Mouvement Ibtykar
    16- Younés DJAMA, journaliste
    17- Yasmina CHOUAKI Tharwa N’Fadhma N’Soumer
    18- Lyes MERABET, médecin et syndicaliste.
    19- Kamel NEMICHE, rassemblement actions jeunesse RAJ
    20- Ihsane El Kadi, Journaliste
    21- Adila BENDIMERAD, actrice et scénariste.
    22- Redouane Boudjema – Universitaire
    23- Akram BELKAÏD – Journaliste
    24- Fouad OUICHER, rassemblement actions jeunesse RAJ
    25- Selmi ELAIFA, maître de conférences
    26- Chems eddine CHITOUR professeur des universités
    27- Fatiha AID professeur d’université
    28- Mohcen KHANNICHE enseignant universitaire
    29- Ali BENSAAD professeur Université
    30- Leila SIDHOUM maître de conférences
    31- Tewfik ALLAL, coordinateur de ACDA
    32- Radia BOUDISSA, militante des droits de l’homme.
    33- Karim AIMEUR, journaliste
    34- Nesrine Nawel TAHARI, militante.
    35- Mohand TOUAZI, économiste.
    36- Adel BENADOUDA, membre de Dzayer 2.0
    37- Mabrouk AIB, enseignant universitaire
    38- Sofiane MALOUFI, chef d’entreprise
    39- Latifa BELARBI DRIDJ, économiste
    40- Achour MIHOUBI, architecte
    41- Cherif REZKI, journaliste
    42- Koceila AMER, consultant international
    43- Omar BERKOUK, économiste.
    44- Samia KHEDIM, ingénieur.
    45- Hassiba OUAGUENI, consultante économie industrielle
    46- Hamid SAIDANI, journaliste
    47- Adlene MEDDI, journaliste.
    48- Nassima GUETTAL, ingénieur informaticienne à la Radio.
    49- Mohamed Lamine MAGHNINE, journaliste
    50- Hicham DOUBABI, chef d’entreprise
    51- Louhab HAMADOUCHE, retraité de l’éducation ancien syndicaliste Cnapsete.
    52- Okba BELLABES, avocat.
    53- Raouf FARRAH, politologue
    54- Madjid SERRAH, journaliste
    55- Aissa AMAZIGH, militant pour les droits humains.
    56- Mohamed BOUCHAKOUR, professeur
    57- Tarik HAFID, journaliste.
    58- Jaffar LAKHDARI, membre Dzayer 2.0
    59- Karim BELLAZOUG, consultant en marketing et communication.
    60. Mina BENSADEK, journaliste free-lance.
    61- Sarah DERRAR KECHEMIR, citoyenne.
    62- Wahab BOUCHAREB, universitaire
    63- Wahiba GHANEM, consultante en communication et management de projet.
    64- Nadhir LAGOUNE, chef d’entreprise.
    65- Damien OUNOURI, réalisateur et producteur.
    66- Sid Ahmed SEMIANE,citoyen.
    67- Rafika BENHALIMA FADLI, avocate.
    68- Fella SOLTANE, consultante en marketing et développement.
    69- Djamal-Eddine BOUABDALAH, chef d’entreprise
    70- Sabrina RAHMANI, Observatoire Citoyen Algérie OCA
    71- Zazi SADOU, militante pour la démocratie et le droit des femmes
    72- Redouane MANSOURI, journaliste
    73- Amine BOUCHAMA, chef d’entreprise.
    74- Othmane LAHIANI, journaliste
    75- Larbi ZAOUAK, journaliste.
    76- Abdelouakil BELEM, journaliste et activiste.
    77- Ali DJERI, ancien directeur d’El Khabar
    78- Laila AOUDJ, citoyenne
    79-Islem Amine DERRADJI, chercheur universitaire en sciences politiques
    80-Katia DEBBOUZ, citoyenne
    81-Kenza KHATTOU, journaliste.
    82- Abdellah BENADOUDA, citoyen.
    83- Hichem BOUKEFFA, journaliste.
    84- Fatiha BOUROUIINA, journaliste.
    85- Imen KHEMICI, journaliste.
    86- Abdelatif BOUZAR, enseignant universitaire.
    87- Farouk HARKAT, journaliste
    88- Abdennour BOUKHEMKHEM, journaliste
    89- Zoubir AROUS, professeur d’université.
    90- Moadh TABINET, pharmacien
    91- Melissa GAHLOUZ, étudiante
    92- Mohamed ALIOUANE, étudiant.
    93- Samir BOUAZIZ, étudiant.
    94- Nassredine OUKACI, étudiant
    95- Habiba LALOUI, enseignante universitaire
    96- Abdelghani ALLAL, journaliste.
    97- Cylia OUADAH, étudiante
    98- Maya HADJ LAZIB, étudiante.
    99- Rafid BENDIMERAD, étudiant.
    100- Kobbi Zineb, Journaliste.
    101- Hamza BELMADANI, étudiant.
    102- Salah Eddine MESSALI, universitaire
    103- Sara TAGUEMOUNT, étudiante.
    104- Mourad HAMDImembre du mouvement Ibtykar
    105- Amina Afaf CHAIB, membre du mouvement Ibtykar
    106- Faiza HAMOUTENE, membre du mouvement Ibtykar
    107- Abdenour HAOUATI – Journaliste
    108- Amin ZEROUK – Cadre à la retraite
    109- Omar BOURABA, militant ACDA
    110- Nabila BOUCHAALA, Maître de conférence
    111- Abderahmane SALAH, avocat
    112- Rabhi noureddine, commerçant.
    113- Mustapha BENAMZAL, étudiant.
    114- Jalel GHEHIOUECHE, médecin interniste.
    115- Nassim AHMINE, étudiante
    116- Anis BOUKHALFA, étudiant
    117- Samy BENMERADI, étudiant
    118- Hynd Manel HAMADACHE, étudiante
    119- Hasna RACHIKA, étudiante.
    120- Abdelkrim BOUDRA, consultant et militant associatif.
    121- Fayçal HACHACHE, journaliste
    122- Soraya BOUAMAMA, journaliste
    123- Siham FADLI, journaliste
    124- Hayet BNOUBETKA, journaliste
    125- Amine Bendjoudi, Citoyen
    126- Mohamed Ali ALALOU, connexionneur
    127- Nacer DJABI, Sociologue
    128- Arezki FERRAD, universitaire
    129- El hocine BRITEL, étudiant
    130- Ismahane MAOUI, cadre en entreprise
    131- Zohra BENMEGHSOULA, universitaire.
    132- Mourad BOUTAGHANE, universitaire
    133- Messaoud SADI, universitaire
    134- Yamina MEROUANI, universitaire.
    135- Rachida ASSABA, universitaire.
    136- Zoubir BENDIMERAD journaliste
    137- Djalil AMROUCHE, entrepreneur digital/Doctorant.
    138- Djilali TAHRAOUI, architecte.
    139- Amel GHERBI, citoyenne.
    140- Zine CHERFAOUI, journaliste.
    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Ce régime n'a rien à envier à celui de la corée du nord , sommes-nous condamnés à accepter ce sort ?
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        Bonjour Acapulco

        Ils tentent de placer leurs pions là où il y a des leviers facilitant la manipulation et la division du peuple.

        Les journalistes informent, même s'ils ont une importance moindre par rapport à il y a quelques années où internet et les réseaux sociaux n'existaient pas encore vraiment en Algérie.

        Ils ont fait la même chose avec les magistrats, les politiques, les régions...

        Ils espèrent que ça peut marcher sur une minorité naïve.

        Minorité mais qui sera suffisamment "visible".

        Pour l'instant, ils ont énormément de mal.
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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        • #5
          Nazim Aziri récemment parachuté au poste de directeur de la radio chaine 3
          a censuré une émission politique de Nahla Bekralass et à mis à la porte la jeune journaliste Fatima Charef pour avoir utiliser la liberté du ton et d'expression dans les débats politiques animés par ces deux journalistes . Hier l'émission politique programmée à la chaîne Algérian TV et présentée justement par Nazim a été annulée pour ne pas dire censurée. L'ironie du sort de Nazim est l'arroseur arrosé.

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          • #6
            La télé publique pourrie ENTV a fait beaucoup de mal aux Algériens et à l'Algérie. A travers sa propagande mensongère massive en faveur du régime mafieux du cartel ANP/FLN, l'ENTV a manipulé des millions d'Algériens avec des mensonges et a permis aux mafieux du cartel ANP/FLN de saboter et de dilapider l'Algérie dans une totale impunité pendant plusieurs décennies.

            Les journalistes et les employés de l'ENTV devraient avoir honte de travailler pour une télé pourrie qui trahit quotidiennement le peuple algérien. Ils mentent sans honte et après, ils ont l'audace de prêcher la morale islamique.

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