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« Aucune valeur ajoutée ! » : Le Montage de Smartphones en Algérie officiellement Gelé !

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  • « Aucune valeur ajoutée ! » : Le Montage de Smartphones en Algérie officiellement Gelé !

    Algérie – Le ministère de l’Industrie et des mines a officiellement émis une décision de gel de l’activité de montage de Smartphones en Algérie !
    La décision a été prise suite aux rapports d’enquêtes diligentées par les services du ministère de l’Industrie, qui ont fait ressortir que ce segment a englouti des Millions de dollars sans « apporter la moindre valeur ajoutée à l’Economie Nationale », rapporte le site Ennahar online, ce samedi 9 novembre.

    Selon ce même site, cette décision entrera en vigueur à partie du 1er janvier 2020. Les Smartphones devront désormais être importés en produit fini et non plus en SKD. Le segment de l’importation de ces téléphones, quant à lui, sera soumis à la taxe douanière de 30% et au droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS) fixé à 60%, selon la même source.
    ALG24

  • #2
    Moka nous avait dit que Condor allait exporter pour 300 millions de dollars cette annee

    Les plus grands perdants de tout ca, outre les reserves de changes, sont les pauvres personnes qui ont cru a la propagande des cachiristes comme quoi un pays qui ne produit meme pas des chausettes et devenu tout d un coup un producteur et un exportateur de smartphones.

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    • #3
      La meme chose pour les vehicules
      C'est du monopole d'importation dèguiser pour s'emparer des devises
      Entre quelque importateurs..

      Si le marchè est ouvert ils ne trouveront pas de moyens legaux pour empecher les autre d'importer...

      Apres les elections presidentielle tout va changer..la chose n'est pas facile faudra
      Faire un boulversement.?
      Retirer l'adminitration des affaire politio financiere..l'oligarchie est la dedans comme un vers dans le fruit...
      L'argent est entrain de passer de la poste et banque publique vers les banque privè..
      Un administrateur ne pourra rien faire face a une banque privè..

      Comment amortir le choc sur la population vulnerable ??
      Il faut tout une reflexion ..
      Car on a mit trop d'argent dans les infrastruture et peu dans l'agriculture qui stabilise les 70 pourcent de la population entre le smic et le salaire moyens..

      L'autoroute Est ouest n'etait pas utile

      Chez les anciens colons il investissait d'abords dans ferme une fois la ferme dèmare la piste sera goudronnè. C'est la ferme qui finance la route

      Ici ils font l'inversse le peu d'argent il font la route ..depuis 62 ya pas une seule cooperative agricole qui etait crèe
      Toutes les fermes colonale ont ètè abandonnè..on parle de l'ouest du pays

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      • #4
        En tout cas les smartphones montés en Algérie sont de mauvaise qualité.

        Les prix des smartphones vont flamber ...Il faudra que je pense à changer le mien le plutôt possible

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        • #5
          Le montage en soit n'est pas mauvais même si aucune pièce n'est produite sur place. Le plus dramatique a été la propagande cachiriste en dépit de tout bon sens qui a voulu montrer que le pays été en train d'avancer !

          Il ne fallait pas être un spécialiste de la téléphonie ou de la micro-electronique pour se douter que tout ça n'était qu'une grosse connerie et même si certains le savaient ils n'ont pas hésité à colporter la propagande !

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          • #6
            Envoyé par mediteraneo
            Le ministère de l’Industrie et des mines a officiellement émis une décision de gel de l’activité de montage de Smartphones en Algérie !

            Selon ce même site, cette décision entrera en vigueur à partie du 1er janvier 2020. Les Smartphones devront désormais être importés en produit fini et non plus en SKD.
            Le montage local de la téléphonie mobile a été soumis au droit ordinaire et ne bénéficiera plus du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, tel que stipulé par le Projet de loi de finances pour 2020, a indiqué samedi le ministère de l'Industrie et des Mines.

            "Il n'est pas question de geler cette activité. C'est juste que le Projet de loi de finances pour 2020, exclue le montage de téléphonie mobile du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, offrant des avantages aux investisseurs dans le montage notamment de l'automobile.
            Dernière modification par MEC213, 10 novembre 2019, 04h53. Motif: mediteraneo

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            • #7
              Moka nous avait dit que Condor allait exporter pour 300 millions de dollars cette annee
              Serial gobe-couleuvres

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              • #8
                Envoyé par AMOKRANE15100
                Le montage local de la téléphonie mobile a été soumis au droit ordinaire et ne bénéficiera plus du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, tel que stipulé par le Projet de loi de finances pour 2020, a indiqué samedi le ministère de l'Industrie et des Mines.

                "Il n'est pas question de geler cette activité. C'est juste que le Projet de loi de finances pour 2020, exclue le montage de téléphonie mobile du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, offrant des avantages aux investisseurs dans le montage notamment de l'automobile.
                C'est un extrait d'un article d'elmoudjahid. Mais fidèle à toi-même, tu as omis de citer ce paragraphe:

                «la décision des pouvoirs publics de placer le montage de la téléphonie mobile dans le droit commun et l'exclure du dispositif SKD/CKD», est le fruit de «deux années d'observation de l'activité en question et le constat qu'il s'agit dans la majorité des cas d'importation de produits finis déguisés».


                Même si le ministre dit que cette activité ne sera pas gelée, le fait de ne plus bénéficier du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, fera que cette activité ne pourra plus être compétitive et elle se gèlera d'elle-même.

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                • #9
                  Le probleme n.est pas dans le montage.
                  Le probleme dans ce pays les gens qui prennent des credits sont ecoutez bien
                  Des illètrè. Ils ont fait l.argent on ne sait comment et avec cette argent ils ont achetè l.administration en offrant des pot de vin
                  Du coup les homme et femme de formation des personne du domaine sont en dehord
                  L.illetrè sera entre les mains de ces gerants..ils l.envoie en enfer. Il ne peut controler son entreprise..tu le trouve paniquer devant un document ecris ou meme un cheque..
                  J.aivu des millirdaire se font aidè pour faire un cheque
                  .ecris moi 195 millions
                  C.est cela la situation globale a part quelque fabriquqnt de terrain des anciens du domaine.
                  Les etrangers profitent..tu ne peux pas les en vouloir..il lui arrive des dèvises il ne va pas dire non
                  Envois moi du colorant??
                  Mais quel monsieur??
                  Colorant orange
                  Mais monsieur ya des milliers a qiel usage??
                  Colorant orange orange
                  Je n.ai pas compris tu connais pas un universitaire algerien ici??
                  Je vais voir...s.il te plait j.ai un compatriote essaye de me faire comprendre ce qu.il desire?
                  Imopossible monsieur envoyez nous votre ingenieur de labo

                  Ce fournisseur est correcte et sympa sinon un autre fournisseur sans pitiè oh my god comme disent les americaines

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                  • #10
                    Serial gobe-couleuvres
                    Selon Amokrane en partant de rien Condor allait exporter pour 300 millions $ de téléphone et de smartphone en tous genre !

                    Cette histoire d'exportation de téléphone c'est une mauvaise blague au même titre que cette histoire d'industrie automobile !

                    C'est un extrait d'un article d'elmoudjahid. Mais fidèle à toi-même, tu as omis de citer ce paragraphe:

                    Envoyé par Passage volontairement omis par Amokrane
                    «la décision des pouvoirs publics de placer le montage de la téléphonie mobile dans le droit commun et l'exclure du dispositif SKD/CKD», est le fruit de «deux années d'observation de l'activité en question et le constat qu'il s'agit dans la majorité des cas d'importation de produits finis déguisés».
                    Même si le ministre dit que cette activité ne sera pas gelée, le fait de ne plus bénéficier du dispositif d'importation des collections SKD/CKD, fera que cette activité ne pourra plus être compétitive et elle se gèlera d'elle-même.
                    C'est justement ce que je disais au début: Ici bon nombre de personnes savaient que c'était simplement une activité d'importation comme dans l'automobile !
                    Dernière modification par LockDown, 10 novembre 2019, 11h38.

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                    • #11
                      Envoyé par hakimcasa
                      C'est un extrait d'un article d'elmoudjahid. Mais fidèle à toi-même, tu as omis de citer ce paragraphe:
                      algerie-eco.com

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                      • #13
                        algerie-eco.com
                        Amokrane, le même article est publié par elmoudjahid sous le titre:"Montage local de téléphonie mobile : L’activité, remise au droit ordinaire d’importation", le 10-11-2019

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                        • #14
                          @Amokrane,

                          Abdelmalek Benhamadi dont tu cites la déclaration, et ses frères sont des escrocs. Ils sont en prison depuis le mois d’août.

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                          • #15
                            Envoyé par hakimcasa
                            Amokrane, le même article est publié par elmoudjahid sous le titre:"Montage local de téléphonie mobile : L’activité, remise au droit ordinaire d’importation", le 10-11-2019
                            Je ne suis ni journaliste ni le PDG de Condor

                            Envoyé par hakimcasa
                            @Amokrane,

                            Abdelmalek Benhamadi dont tu cites la déclaration, et ses frères sont des escrocs. Ils sont en prison depuis le mois d’août.
                            Pour le moment sont soupçonnés jusqu'à ce qu'ils soient reconnus coupables.
                            ------------------------------
                            Jeuneafrique

                            Lorsque, le 9 avril 1954, Mohamed Tahar Benhamadi lance son petit commerce à Bordj Bou Arreridj, modeste bourg des Hauts Plateaux (à 250 km à l’est d’Alger) connu pour ses activités agropastorales, il est loin de se douter que son échoppe deviendra un demi-siècle plus tard un véritable empire économique.

                            Homme avisé et dur à la tâche, il fait fructifier son commerce, et son solide bon sens paysan lui dicte alors d’investir ses premières économies dans l’achat de camions pour le transport de marchandises et de matériaux de construction. Malgré la guerre et son corollaire de disettes et de misère, le petit business de Mohamed Benhamadi prospère.

                            Libéralisation de l’économie

                            À l’indépendance du pays, en 1962, le pouvoir opte pour le modèle socialiste, qui laisse peu de place à l’entrepreneuriat. « Le privé était considéré comme un danger, voire comme un ennemi », rappelle son fils, Abderrahmane Benhamadi, président du conseil d’administration du groupe. C’est à peine si les entrepreneurs privés ne sont pas considérés comme de vils bourgeois, agents du capitalisme et de l’impérialisme réunis, et ennemis de la révolution. Les choses changent cependant avec l’ouverture au libéralisme, amorcée au milieu des années 1980.

                            Dans la wilaya de Bordj, qui s’étend de la Kabylie au Sétifois, Mohamed Tahar Benhamadi inaugure alors une unité de fabrication de carrelage puis, dix ans plus tard, la première briqueterie privée du pays, dont le lancement coïncide avec le début des attaques terroristes de la décennie sanglante, qui fera plus de 100 000 victimes. « Les gens nous regardaient bizarrement, confie Abdelmalek Benhamadi, le PDG de Condor.

                            On persistait à investir alors que les entrepreneurs tentaient de fuir ou fermaient boutique. » Les techniciens étrangers ayant déserté l’Algérie, il a d’ailleurs fallu lancer la briqueterie avec des compétences locales. Les activités de l’usine démarrent en 1997, année au cours de laquelle les autorités décident de libéraliser le commerce extérieur. « J’ai commencé à importer des matériaux de construction – principalement des tuyaux de cuivre –, depuis l’Espagne et la Corée du Sud », raconte l’industriel.

                            À l’époque, émergeant des années noires du terrorisme, les Algériens voient leur pouvoir d’achat s’améliorer. Ils peuvent enfin commencer à rêver d’appartements dotés d’équipements modernes et, en particulier, d’acquérir un démodulateur pour capter les chaînes satellitaires. Abderrahmane Benhamadi flaire rapidement le filon et décide d’importer le premier récepteur satellite en Algérie.

                            L’engouement est tel que les appareils s’arrachent. À tel point que le patron ne se contente pas d’importer et de vendre des équipements ; il réalise alors sa première opération en SKD (semi knocked down) en assurant, dans ses ateliers, l’assemblage de pièces détachées importées pour fabriquer des téléviseurs.

                            L’avantage n’est pas négligeable pour le groupe, qui n’est redevable que de 5 % de droits de douane sur les pièces détachées, au lieu des 30 % dont il devait s’acquitter auparavant en important des produits finis. « C’était une loi révolutionnaire, concède Abdelmalek Benhamadi, et nous en avons profité pour investir. »

                            L’entreprise passe alors de l’import à la production. Les frères Benhamadi acquièrent un terrain de 2 000 m2 dans la périphérie de la ville de Bordj (qui deviendra l’une des plus importantes zones industrielles d’Algérie) pour y installer l’usine de montage, qui se résume au départ à quelques chaises et tournevis, dans un grand hangar froid et nu… Et les premiers téléviseurs assemblés à Bordj se vendent comme des petits pains. Le groupe passe alors à la vitesse supérieure et se dote d’une « vraie » usine, livrée clés en main par des partenaires chinois.

                            « Il ne nous restait plus qu’à fabriquer la carte mère du téléviseur, note Abdelmalek Benhamadi. Étant donné que l’on importait plusieurs grandes marques d’électroménager, on s’est très vite retrouvés avec des problèmes de traçabilité et de service après-vente. J’ai alors pris la décision de créer notre propre marque. » Ce sera Condor. Pourquoi ce nom de rapace des Andes plutôt qu’un autre ? « C’est venu comme ça, répond l’industriel. Sans doute à cause de la reprise de la chanson El Condor Pasa, par Simon and Garfunkel, que j’avais dans la tête à ce moment-là ! »

                            Une explosion dans l’électroménager

                            Nous sommes en 2002. Condor est alors une PME d’une cinquantaine d’employés. L’un de ses atouts : le rapport qualité-prix et, surtout, le service après-vente. Après le téléviseur, l’entreprise se lance dans la fabrication de climatiseurs et, dans un pays où les étés sont torrides, elle fait rapidement un carton.

                            Importer en CKD (completely knocked down), monter sur place et augmenter le taux d’intégration, Condor applique ensuite sa recette à succès à tous les produits électroménagers : après les téléviseurs et les climatiseurs, c’est au tour des réfrigérateurs, des congélateurs, des cuisinières, des récepteurs satellite, des machines à laver, des chauffages domestiques… Jusqu’à ce que la petite entreprise devienne un géant de l’électroménager.

                            « Notre base industrielle s’élargissait, et les unités de fabrication poussaient comme des champignons », se souvient Abdelmalek Benhamadi. En aval de la production de ses nombreuses usines, Condor avait besoin d’unités de soutien pour l’emballage, pour la fabrication et le stockage de tôle, de peinture, de plastique et de pièces détachées.

                            C’est ainsi que le groupe se dote d’une usine d’emballage en polystyrène, d’une unité d’injection plastique, d’un atelier pour la fabrication de tiroirs de réfrigérateurs, d’une unité spécialisée dans la fabrication de machines à laver. Sans oublier la création d’une flotte de camions aux couleurs de l’entreprise pour livrer les produits de la marque sur le territoire national, dans tous les points de vente et tous les showrooms.

                            Condor recrute à tour de bras et connaît une croissance fulgurante. « On voulait créer de la richesse, argumente le PDG. Ce n’était pas une question d’argent, mais de survie. On fixait les prix, et nos concurrents étrangers étaient obligés de se mettre à notre niveau. » Ces mêmes concurrents, raconte-il, ne faisaient auparavant que vendre des produits finis sans garantie et ils se sont retrouvés dans l’obligation d’investir dans la formation du personnel, les showrooms et le service après-vente.

                            « Smartphone made in Algérie »

                            À partir de 2009, des multinationales tentent de racheter le groupe, qui repousse les offres. « Alors qu’on s’était lancés dans l’informatique en 2006, avec la fabrication d’ordinateurs et de tablettes, des amis m’ont suggéré de m’intéresser à la téléphonie. C’était d’autant plus capital que, avec l’arrivée des smartphones, le secteur de la téléphonie devenait plus proche de notre métier », reprend le patron.

                            Fidèle à sa démarche, Condor importe d’abord des téléphones avant de lancer l’homologation du partenaire choisi et d’assurer le montage du produit ciblé au niveau local. En 2013, le groupe fabrique le premier smartphone made in Algérie, le fameux C1. « Cela a tout de suite été un succès fou », se souvient Abdelmalek Benhamadi.

                            Société mixte. Désormais leader incontesté en son pays, Condor Electronics se lance à la conquête de nouveaux marchés. « Nous exportons depuis des années vers la Tunisie, la Jordanie, le Mali et la Mauritanie, entre autres. Avant la fin de cette année, nous allons réaliser nos premières opérations d’exportation de téléviseurs à écran LED et de smartphones vers la France et la Belgique », annonce Abdelmalek Benhamadi.

                            Le groupe compte aussi poursuivre son développement sur les marchés africains. En décembre 2015, Condor Electronics a signé un protocole d’accord avec le groupe industriel soudanais Giad, présent dans la distribution, l’assemblage automobile et l’immobilier, qui prévoit dans un premier temps l’exportation de réfrigérateurs et de climatiseurs de la marque algérienne, puis la création d’une société mixte pour la fabrication de ces produits au Soudan. Prochaine destination des produits Condor ? Le Bénin.


                            Depuis le lancement officiel de Condor Electronics, en 2002, le groupe Benhamadi a diversifié ses activités au point de devenir un puissant conglomérat présent dans l’industrie électronique, l’informatique, le BTP, les matériaux de construction, l’agroalimentaire, les transports et la logistique, la fabrication de panneaux photovoltaïques, l’hôtellerie et, bientôt, l’industrie pharmaceutique. Le groupe dispose de 15 filiales et unités de production, qui emploient 6 500 personnes et réalisent un chiffre d’affaires de plus de 553 millions de dollars (plus de 514 millions d’euros). Coaché par le cabinet d’affaires E&Y, qui a effectué son audit, Condor se sent pousser des ailes. Avec le renforcement de l’équipe de direction et l’arrivée de nouvelles compétences, notamment internationales, il vient de créer un département du développement commercial à l’international afin de partir à la conquête de nouveaux marchés.
                            Dernière modification par MEC213, 10 novembre 2019, 14h24.

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