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Tribunal de Ghardaia: Le procès à titre posthume de Kamel Eddine Fekhar programmé pour ce mardi

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  • Tribunal de Ghardaia: Le procès à titre posthume de Kamel Eddine Fekhar programmé pour ce mardi

    Tribunal de Ghardaia: Le procès à titre posthume de Kamel Eddine Fekhar programmé pour ce mardi
    dimanche 10 novembre 2019 à 11:57
    Source de l'article : **********


    « Le procès de feu Kamel Eddine Fekhar, Aouf Brahim, Dadi Noureddine, Mesbah Hemou et Babaz Khodir est programmé pour le mardi 12 novembre au tribunal de Ghardaia », a annoncé* le CNLD dans un communiqué diffusé sur sa page Facebook.

    Incarcéré fin mars le*militant des droits de l’homme, Dr Kamel Eddine Fekhar, avait entamé une grève de la fin pour protester contre sa détention, il est décédé le 28 mai quelques heures après avoir été transporté en urgence à l’hôpital de Blida.

    Par ailleurs le CNLD a annoncé que les procès de plusieurs détenus d’opinion ont été programmés pour ce lundi 11 novembre au tribunal de Sidi M’hamed.*Il s’agit entre autres du procès des détenus Chatri Mouloud, Guerroudj Samir, Timsi Nacer, Ould Taleb Amine, Boudraa Abderrahmane, Ouidir Khaled, Bibi Makhlouf, Yazid Kasmi et Zineddine Bouguettaya. Le CNLD a également appelé à un rassemblement de soutien à ces détenus d’opinion.

    M.A.Y
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

  • #2
    Les mafieux veulent concurrencer dieu.
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

    Commentaire


    • #3
      justice bled mickey c est disneyland

      pauvre homme pensé à sa famille

      Commentaire


      • #4
        Je ne suis pas sûr d'avoir compris. On peut juger une personne décédée ? Normalement, le décès éteint toutes les procédures à l'encontre de son auteur présumé. Enfin, c'est comme ça en France.

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        • #5
          La personne est décédée pourquoi remuer le couteau dans la plaie , il fallait y penser quand il était vivant pour lui éviter une mort stupide
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

          Commentaire


          • #6
            avec une justice comme elle est actuellement ,on peut le condamner a une peine de prison ,voire mme surveiller sa tombe allah yerahmou ou interdire les visites

            Commentaire


            • #7
              ACAPULCO
              La personne est décédée pourquoi remuer le couteau dans la plaie
              Bingo Acapulco !

              Tu ne l'as pas si bien dit: "remuer le couteau dans la plaie".

              C'est le but du pouvoir : Rallumer le feu dans cette région.
              Dernière modification par Pomaria, 12 novembre 2019, 11h03.
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

              Commentaire


              • #8
                avec une justice comme elle est actuellement ,on peut le condamner a une peine de prison ,voire mme surveiller sa tombe allah yerahmou ou interdire les visites
                ils ont déjà profanés sa tombe ...par ce qu'il y'avait sur la stèle des inscriptions en arabe et en..tifinagh,en plus du drapeau amazigh ,ils ont suivi les consignes de Gaid Salah à la lettre..
                Dernière modification par xenon, 12 novembre 2019, 10h58.
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                Commentaire


                • #9
                  La comédie avec toujours le même but : semer la fitna/division en agaçant certaines catégories de la population.

                  --------------------
                  Il s’ouvre aujourd’hui au tribunal de Ghardaïa : Procès posthume du militant Fekhar et de ses compagnons
                  elwatan.com | 12 novembre 2019 03:20

                  Feu Kamel Eddine Fekhar
                  Le procès de feu Kamel Eddine Fekhar et plusieurs de ses compagnons est programmé pour aujourd’hui au tribunal de Ghardaïa, a annoncé le Comité national pour la libération des détenus (CNLD) dans un communiqué posté sur sa page Facebook.

                  Neuf personnes sont poursuivies : le défunt militant des droits de l’homme, Fekhar Kamel Eddine, Hadj Brahim Aouf, Dabouz Salah, Daddi Nounou Noureddine, Mosbah Hammou, Cheikhbelhadj Nacereddine, Babaz Khodir et Dabouz Mohammed.

                  Plusieurs chefs d’inculpation sont retenus contre les personnes citées : «provocation directe d’un attroupement armé», «outrage à un fonctionnaire pendant l’exercice de ses fonctions», «diffamation, jet de discrédit sur les décisions juridictionnelles», «association de malfaiteurs» et «assistance aux criminels dans le but de préparer un délit, discrimination, exclusion», entre autres. L’affaire, qui sera examinée aujourd’hui, a été déclenchée «à cause d’un jugement rendu par le juge Degdag Djamel contre Khiate Idress et Tichabet Noureddine, condamnés à 10 ans de prison ferme, malgré qu’ils soient reconnus innocents du meurtre de feu Allout Omar. Tous les accusés dans le dossier, qui sera examiné le 12 novembre (aujourd’hui), ont critiqué cette décision sur les réseaux sociaux. L’ex-procureur général de Ghardaïa a alors tout fait pour nous faire taire», dénonce, dans une déclaration à El Watan, l’un des accusés, Me Salah Dabouz, poursuivi pour «divulgation du secret professionnel».

                  Selon ce dernier, «le jugement de 10 ans a été rendu le 25 mars 2019 et le Dr Fekhar et Aouf, enseignant syndicaliste, ont été arrêtés le 31 mars, alors que l’avocat avait été interpellé à Alger le 7 avril et transféré à Ghardaïa pour être emprisonné avec eux avant d’être libéré le lendemain sur ordre d’un cadre du ministère de la Justice que l’ex-PG avait violemment critiqué». Le militant Fekhar, 54 ans, placé en détention provisoire depuis le 31 mars 2019, est décédé le 28 mai 2019, suite à une longue grève de la faim.

                  Dénonçant de «mauvais traitements», une plainte avait été déposée par les ayants droit du défunt auprès du doyen des juges d’instruction près le tribunal de Ghardaïa contre Azeddine Mechri, l’actuel wali de Ghardaïa, Mohammed Ben Salem, l’ex-PG près la cour de Ghardaïa, Mohamed Bouhrich, juge d’instruction de la première chambre du tribunal de Ghardaïa, Ahmed Bendjeghaba, directeur de la prison de Ghardaïa et Bachir Bahaz, directeur de l’hôpital Tirichine de Ghardaïa. «Le juge d’instruction de la deuxième chambre a carrément refusé d’ouvrir une information judiciaire sans même faire une enquête préliminaire, comme le prévoit la loi», s’indigne Me Dabouz.

                  L’avocat, qui se trouve actuellement en Europe en compagnie du syndicaliste Hadj Brahim Aouf, annonce qu’il «prépare des démarches importantes pour faire intervenir des instance onusiennes dans ce dossier». La plainte sera déposée, poursuit-il, «contre les 5 accusés que la justice algérienne refuse de poursuivre, et aussi contre l’Etat qui devait donner des garanties à Fekhar Kamel Eddine pour ne plus subir le même sort que celui subi en 2015, selon l’avis rendu par le groupe du travail pour les détentions arbitraires (avis N° 34/2017 le 27 avril 2017)».
                  “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                  Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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