Dans les plaines de Doukkala-Abda, entre les villes d' El Jadida et Safi au sud de Casablanca, une femme, à la fin du XIXe siècle qui chantait des textes politiques, se distingua par sa voix puissante. Dans sa aïta (« appel, cri ou complainte » qui est un chant rural spécifiquement marocain), Kharboucha dénonça autant la tyrannie du pouvoir colonial français que celle du caïd Aissa Ben Omar, qui mit fin à sa vie dans des circonstances tragiques.
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kharboucha خربوشة شاعرة الثورة
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