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La société japonaise Sumitomo Corp., l’un des plus anciens conglomérats industriels japonais et maisons de commerce servant d'intermédiaire dans les échanges commerciaux, compte s’installer au Maroc.
Selon le journal financier japonais Nikkei, la société envisage de transformer le Maroc en pôle de production alternatif post-Brexit et «agira en vendant des parcs industriels» pour une société liée au gouvernement marocain afin d'aider les fabricants japonais à exporter vers l'Europe.
Avec l’aide de l’agence Tanger Med, Sumitomo commercialisera cinq parcs industriels d’une superficie de 13 km2, situés près de la ville portuaire de Tanger. Il est également prévu de créer une entreprise commune avec la société marocaine pour créer des parcs similaires dans le royaume.
Le conglomérat japonais a choisi le Maroc au détriment d'autres pays car le royaume bénéficie d'un commerce en franchise de droits avec l'UE.
«Tanger Med et Sumitomo ont pour objectif d'attirer les fabricants opérant en Grande-Bretagne à la recherche d'une nouvelle base d'exportation vers l'Union européenne, car le divorce entre Londres et Bruxelles menace de perturber les échanges», a écrit la même source.
ya,,,,,,bil
Selon le journal financier japonais Nikkei, la société envisage de transformer le Maroc en pôle de production alternatif post-Brexit et «agira en vendant des parcs industriels» pour une société liée au gouvernement marocain afin d'aider les fabricants japonais à exporter vers l'Europe.
Avec l’aide de l’agence Tanger Med, Sumitomo commercialisera cinq parcs industriels d’une superficie de 13 km2, situés près de la ville portuaire de Tanger. Il est également prévu de créer une entreprise commune avec la société marocaine pour créer des parcs similaires dans le royaume.
Le conglomérat japonais a choisi le Maroc au détriment d'autres pays car le royaume bénéficie d'un commerce en franchise de droits avec l'UE.
«Tanger Med et Sumitomo ont pour objectif d'attirer les fabricants opérant en Grande-Bretagne à la recherche d'une nouvelle base d'exportation vers l'Union européenne, car le divorce entre Londres et Bruxelles menace de perturber les échanges», a écrit la même source.
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