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Les défenseurs des élections algériennes: «Il n’y a plus aucun espace pour la fraude en Algérie»

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  • Les défenseurs des élections algériennes: «Il n’y a plus aucun espace pour la fraude en Algérie»

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    @soumeyaLL
    🚨Alerte speciale de mon #RadarCachir 🚨 qui a détecté ces ignominies déclarés par Fatima Benbrahem au magazine suisse "Le Temps".



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    Photo de la cachirastituée :

    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

  • #2
    Une autre bouse dans le même journal suisse :



    Photo du prosticachir :

    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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    • #3
      L'article en entier


      Les défenseurs des élections algériennes: «Il n’y a plus aucun espace pour la fraude en Algérie»
      letemps.ch | 12 novembre 2019

      Plus d'information sur l'imageAbdelmadjid Tebboune est pressenti comme le favori des élections. Agé de 73 ans, il se présente sous la bannière d’«indépendant», même s’il est un ancien préfet qui a été nommé ministre à plusieurs reprises. © AFP


      Mardi, c’était à nouveau au tour des étudiants. Pour la 38e semaine consécutive, ils étaient plusieurs milliers à réclamer une «justice indépendante» ainsi que la libération d’une trentaine de personnes, parfois leurs collègues, qu’ils qualifient de prisonniers politiques. Même s’ils sont désormais moins nombreux, les Algériens continuent de défiler dans les rues. Après qu’ils ont obtenu le départ du président Abdelaziz Bouteflika, ils exigent «la fin du système». Les élections sont prévues le 12 décembre. Mais une grande partie du «Hirak», comme on appelle le mouvement de contestation, ne veut pas en entendre parler.

      «La seule solution»
      Une impasse? Non, répondent à l’unisson tous ceux qui, aujourd’hui, défendent une «voie constitutionnelle» comme chemin à suivre pour (re)mettre d’accord les Algériens. «La seule solution possible, c’est la légalité», résume l’éditeur Hassane Bennamane, qui, avec d’autres personnalités, était invité ces jours à Genève par le Graduate Institute. Ces tenants du respect de la Constitution se disent eux-mêmes partie prenante du «Hirak», et ils se sont parfois montrés en première ligne lors des manifestations initiales. Mais aujourd’hui, il n’y a pas d’autre choix, selon eux. Ce seront les élections, ou alors l’état d’urgence proclamé par les militaires et, peut-être, «la catastrophe».

      «Et qu’aurons-nous gagné au final en refusant ce scrutin? Ce sera un retour à la case «élections», mais retardé de trois ou quatre ans», assure de son côté le colonel à la retraite Abdelhamid Larbi Cherif, du Département du renseignement et de la sécurité. Très actif ces dernières semaines sur la scène médiatique algérienne, l’homme est catégorique: «Les élections se révéleront peut-être imparfaites, mais nous réglerons ces imperfections plus tard. Dans l’immédiat, il faut que l’Algérie fasse un premier pas. C’est aujourd’hui qu’il faut tirer profit de la pression produite par ces manifestations.» Il insiste: «Nous avons tout à gagner à organiser maintenant ces élections.»

      La méfiance n’en reste pas moins énorme. Les cinq candidatures retenues par l’Autorité électorale algérienne – parmi les 23 candidats qui avaient déposé leur dossier – sont toutes peu ou prou liées à l’ancien président Bouteflika. Celui qui est pressenti comme le favori: Abdelmadjid Tebboune. Agé de 73 ans, il se présente sous la bannière d’«indépendant», même s’il est un ancien préfet qui a été nommé ministre à plusieurs reprises.

      Cartes électorales fantômes
      «L’Algérie d’aujourd’hui n’est plus la même qu’auparavant, veut croire Fatima Benbraham, avocate et ancienne militante des droits de l’homme. La rue s’est libérée et a récupéré sa voix. Grâce à cette pression de la rue, l’Algérie s’est débarrassée des gens qu’elle ne voulait plus, des anciens ministres et premiers ministres, de généraux, autant de gens qui sont aujourd’hui placés en détention.» Mais à l’en croire, les Algériens doivent se montrer cohérents: «Si les gens sont sortis dans la rue, c’était pour que la Constitution soit respectée et que Bouteflika n’aligne pas un 5e mandat. Il faut continuer de respecter cette légalité en occupant l’espace et en participant aux élections.»

      L’avocate a contribué à créer une «instance de médiation» censée servir de trait d’union entre le pouvoir et les opposants. Une instance qui, ensuite, veillera au bon déroulement des élections. Avec ses collègues, elle dépeint une situation particulièrement rose: «Les articles le plus problématiques de la loi constitutionnelle ont été changés, les prérogatives des ministres pour interférer dans le processus électoral ont été abolies, les préfets et les maires ont été écartés, toutes les listes électorales ont été revues: il n’y a plus aucun espace pour la fraude.» Une preuve de l’efficacité de ce processus, selon Fatima Benbraham: des milliers de cartes électorales d’Algériens décédés depuis longtemps auraient été retrouvées dans la nature. Des outils habituels pour «bourrer les urnes» qui ont soudainement brûlé les doigts des élus locaux avant qu’ils s’en débarrassent.

      La méfiance de la jeunesse
      Ces «légalistes» n’entendent-ils pas cependant la méfiance qui gronde, particulièrement au sein de la jeunesse algérienne? Ne sont-ils pas sensibles aux arrestations que dénoncent une partie des étudiants? Mardi, un tribunal d’Alger a condamné 28 manifestants à 6*mois de prison ferme pour atteinte «à l’intégrité du territoire national», au motif qu’ils brandissaient des drapeaux berbères. Des peines qui ont été qualifiées par Amnesty International d’«attaque flagrante à la liberté d’expression». Pour Fatima Benbraham, il n’en est rien: «Ces gens se servent de ces emblèmes pour camoufler des drogues qu’ils revendent aux manifestants, prétend-elle. Ce ne sont pas des prisonniers politiques, mais des criminels qui ont trouvé la bonne occasion pour mener à bien leurs petits trafics.»
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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      • #4
        La réponse de l'un des clans,admirez le style et la poésie :

        
        Celle qui veut rouvrir les bordels accuse les détenus du Hirak de trafic de drogue
        par Rédaction, ******************.com
        17 novembre 2019 00:54

        L’avocate Fatma-Zohra Benbraham. New Press
        Par Abdelkader S. – Dans la pure tradition du régime Bouteflika pour le maintien duquel elle se bat en feignant le combattre, l’avocate Fatma-Zohra Benbraham a accusé les jeunes du Mouvement de contestation populaire, arrêtés sur ordre du chef d’état-major de l’armée, d’être des «trafiquants de drogue» qui «dissimulaient leur marchandise sous les drapeaux amazighs» (sic). «Ces gens se servent de ces emblèmes pour camoufler des drogues qu’ils revendent aux manifestants. Ce ne sont pas des prisonniers politiques, mais des criminels qui ont trouvé la bonne occasion pour mener à bien leurs petits trafics», a-t-elle déclaré au journal suisse Le Temps.

        Le média helvétique nous apprend par la même occasion que le pouvoir a dépêché des représentants à Genève pour plaider sa cause et camoufler la dérive dictatoriale, à travers des porte-voix connus pour leur soutien invétéré à Gaïd-Salah, dont l’ancien colonel Larbi-Cherif, particulièrement remonté contre son ancien chef, le général Toufik, pour des raisons qui demeurent énigmatiques.

        L’avocate, qui milite pour la réouverture des maisons closes et des lupanars fermés par l’Algérie au lendemain de l’indépendance, pour faire de l’Etat un proxénète, appelle les Algériens à «respecter la Constitution», estimant que «l’Algérie d’aujourd’hui n’est plus la même qu’auparavant» car «la rue s’est libérée et a récupéré sa voix». Ne sachant plus à quel saint se vouer, l’avocate encense à la fois le chef d’état-major (sans le citer) dont elle défend la dérive dictatoriale corps et âme et se réjouit que la «pression de la rue» ait permis de se «débarrasser des gens qu’elle (la rue, ndlr) ne voulait plus».

        Cependant, le journal suisse n’avale pas à pleine gorgée les mensonges de cette avocate qui flatte le régime résiduel de Bouteflika, surtout quand elle occulte les manifestations hebdomadaires gigantesques qui l’invitent, au même titre que les tenants du pouvoir illégitime qu’elle défend, à «dégager».

        Les éléments envoyés par Gaïd-Salah en Suisse ont repris le même discours que le chef d’Etat intérimaire fictif, Abdelkader Bensalah, face à un Président russe incrédule, qui répondait à son interlocuteur faible et tergiversant par un sourire en coin qui en disait long sur le peu de crédit qu’il accordait à son compte rendu. Ils ont eu droit à la même claque à Genève.

        A. S.
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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