, a annoncé le ministre russe de l’Industrie et de l’Energie Victor Khristenko, dans une déclaration rapportée par l’agence algérienne APS.
Relevant l'intérêt des sociétés russes pour le secteur des infrastructures énergétiques comme l'électricité, le ministre s'est dit tout aussi content du fait que les deux pays se soient mis d'accord sur le principe de développer, dans le futur, une coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire. Pour le ministre russe, le développement des relations bilatérales dans le domaine du pétrole et du gaz, de l'énergie électrique et nucléaire revêt une grande importance, non seulement, a-t-il estimé, pour les deux pays mais aussi pour les pays tiers dont l'Algérie et la Russie sont des fournisseurs fiables.
A l'initiative de la partie algérienne, une clause sur la coopération en matière de création en Algérie d'un secteur nucléaire civil a été ajoutée au texte du mémorandum signé dimanche dernier. "Les experts doivent se mettre au travail très prochainement", a indiqué M. Khristenko. Il est évident que Washington ne sera pas enthousiasmé par le nouveau projet russe d'exportation de technologies nucléaires civiles vers le monde arabe. Mais loin de considérer ces réticences comme un facteur de dissuasion, Moscou pourrait même en tirer une motivation supplémentaire.
V - L’Algérie, bon élève de l’AIEA
L’Algérie semble maintenir sa position officielle d’instaurer une totale transparence autour de son propre programme de recherche nucléaire, tout en privilégiant une coopération bilatérale et multilatérale dans le but de développer et de mettre cette énergie à disposition d’une utilisation civile. Le pays commence ainsi à se frayer un chemin dans le concert des nations ayant la maîtrise de cette industrie.
L’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA) paraît quant à elle apprécié positivement la disponibilité et l’implication de l’Algérie dans les actions anti-proliférations des armes nucléaires. Ainsi, l’Agence a accepté d’organiser à Alger une réunion régionale sur le dossier de la non-prolifération des armes nucléaires avant la fin 2006.
La place prépondérante que semble prendre l’Algérie sur la « scène du nucléaire », n’a pas échappé aux Iraniens qui espèrent la voir adopter une position qui a toujours été la sienne, à savoir défendre le droit des pays en voie de développement à acquérir une technologie nucléaire à usage pacifique.
http://www.******************/2007/0...algrie_ga.html
Relevant l'intérêt des sociétés russes pour le secteur des infrastructures énergétiques comme l'électricité, le ministre s'est dit tout aussi content du fait que les deux pays se soient mis d'accord sur le principe de développer, dans le futur, une coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire. Pour le ministre russe, le développement des relations bilatérales dans le domaine du pétrole et du gaz, de l'énergie électrique et nucléaire revêt une grande importance, non seulement, a-t-il estimé, pour les deux pays mais aussi pour les pays tiers dont l'Algérie et la Russie sont des fournisseurs fiables.
A l'initiative de la partie algérienne, une clause sur la coopération en matière de création en Algérie d'un secteur nucléaire civil a été ajoutée au texte du mémorandum signé dimanche dernier. "Les experts doivent se mettre au travail très prochainement", a indiqué M. Khristenko. Il est évident que Washington ne sera pas enthousiasmé par le nouveau projet russe d'exportation de technologies nucléaires civiles vers le monde arabe. Mais loin de considérer ces réticences comme un facteur de dissuasion, Moscou pourrait même en tirer une motivation supplémentaire.
V - L’Algérie, bon élève de l’AIEA
L’Algérie semble maintenir sa position officielle d’instaurer une totale transparence autour de son propre programme de recherche nucléaire, tout en privilégiant une coopération bilatérale et multilatérale dans le but de développer et de mettre cette énergie à disposition d’une utilisation civile. Le pays commence ainsi à se frayer un chemin dans le concert des nations ayant la maîtrise de cette industrie.
L’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA) paraît quant à elle apprécié positivement la disponibilité et l’implication de l’Algérie dans les actions anti-proliférations des armes nucléaires. Ainsi, l’Agence a accepté d’organiser à Alger une réunion régionale sur le dossier de la non-prolifération des armes nucléaires avant la fin 2006.
La place prépondérante que semble prendre l’Algérie sur la « scène du nucléaire », n’a pas échappé aux Iraniens qui espèrent la voir adopter une position qui a toujours été la sienne, à savoir défendre le droit des pays en voie de développement à acquérir une technologie nucléaire à usage pacifique.
http://www.******************/2007/0...algrie_ga.html
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