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les rêves vécus, avec agitation ,paroles ,mouvements, .... sont a 80% les prodromes De maladies neurodégénératives et surtout de la neuro-dégénérescence dite démence de la maladie a corps de Lewy , la MA ....
Les troubles du sommeil sont en grande partie ,un reflet du désordre neuro-cognitif .
En effet 40 à 70% des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer sont aussi victimes de troubles du sommeil. Plus récemment une étude de l’Université de Berkley en Californie a remarqué que le manque de sommeil favoriserait aussi la maladie d’Alzheimer.
MAIS ATTENTION SUR L INDUCTION DU SOMMEIL
Pendant de longues années, le traitement le plus fréquent était la prescription de somnifères (benzodiazépines), utilisés aussi pour les cas de dépression ou d’anxiété. Nécessaire et utile dans certains cas, notamment pour les insomnies aiguës, cette approche présente cependant plusieurs désavantages. Outre les risques de dépendance, il est important de parler du rôle des benzodiazépines dans la genèse de la maladie d’Alzheimer : il existe une corrélation entre leur emploi sur une durée de plus de 3 mois et la survenue de la maladie et cette corrélation. Une étude française publiée dans la dernière édition du British Medical Journal le confirme :
Une prise quotidienne pendant 3 – 6 mois augmente le risque de maladie d’Alzheimer de 30 %
Une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 60 à 80 %
Les troubles du sommeil sont en grande partie ,un reflet du désordre neuro-cognitif .
En effet 40 à 70% des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer sont aussi victimes de troubles du sommeil. Plus récemment une étude de l’Université de Berkley en Californie a remarqué que le manque de sommeil favoriserait aussi la maladie d’Alzheimer.
MAIS ATTENTION SUR L INDUCTION DU SOMMEIL
Pendant de longues années, le traitement le plus fréquent était la prescription de somnifères (benzodiazépines), utilisés aussi pour les cas de dépression ou d’anxiété. Nécessaire et utile dans certains cas, notamment pour les insomnies aiguës, cette approche présente cependant plusieurs désavantages. Outre les risques de dépendance, il est important de parler du rôle des benzodiazépines dans la genèse de la maladie d’Alzheimer : il existe une corrélation entre leur emploi sur une durée de plus de 3 mois et la survenue de la maladie et cette corrélation. Une étude française publiée dans la dernière édition du British Medical Journal le confirme :
Une prise quotidienne pendant 3 – 6 mois augmente le risque de maladie d’Alzheimer de 30 %
Une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente le risque d’Alzheimer de 60 à 80 %