Le Maroc a réduit à la baisse les prévisions des rentres perçues à travers les taxes du gazoduc algérien qui traverse son territoire. En effet, le gouvernement marocain prévoit dans sa loi de finances 2020 la réduction de ces taxes à 90 millions de dollars au lieu 155 millions perçus en 2019.
Ainsi, le royaume chérifien subit de plein fouet la chute des prix du gaz algérien sur les marchés internationaux. Ses recettes ne cessent de chuter après avoir atteint le sommet en 2004 avec 240 millions de dollars.
Cette situation est expliquée par un responsable marocain par la récession qui touche l’économie mondiale. Ce dernier assure que le Maroc trouvera des solutions de rechange, dans le cas où le contrat liant les deux pays sur le passage du gazoduc ne soit pas renouvelé. Un contrat qui prendra fin en 2021 sans que des négociations soient engagées pour sa reconduction.
Cette déclaration du responsable marocain ne serait qu’un argument pour mieux négocier en sachant que ce gazoduc arrange les deux pays. Il ne reste qu’à mettre en œuvre les futurs termes de la reconduction contractuelle (durée, redevance, tarifs...)
Il faut noter que le Maroc paye la moitié de sa consommation en gaz estimée à 1.1 mètre cube par ans avec les taxes payées par l’Algérie pour le passage du gazoduc.
Rappelons également que le gazoduc de 1300 kilomètres est entré en service en 2002. Il traverse 540 kilomètres du territoire marocain pour relier la ville espagnole de Cordoue. Il transporte l’équivalent de 5.13 milliards de mètres cubes de gaz par an.
observ algérie
Ainsi, le royaume chérifien subit de plein fouet la chute des prix du gaz algérien sur les marchés internationaux. Ses recettes ne cessent de chuter après avoir atteint le sommet en 2004 avec 240 millions de dollars.
Cette situation est expliquée par un responsable marocain par la récession qui touche l’économie mondiale. Ce dernier assure que le Maroc trouvera des solutions de rechange, dans le cas où le contrat liant les deux pays sur le passage du gazoduc ne soit pas renouvelé. Un contrat qui prendra fin en 2021 sans que des négociations soient engagées pour sa reconduction.
Cette déclaration du responsable marocain ne serait qu’un argument pour mieux négocier en sachant que ce gazoduc arrange les deux pays. Il ne reste qu’à mettre en œuvre les futurs termes de la reconduction contractuelle (durée, redevance, tarifs...)
Il faut noter que le Maroc paye la moitié de sa consommation en gaz estimée à 1.1 mètre cube par ans avec les taxes payées par l’Algérie pour le passage du gazoduc.
Rappelons également que le gazoduc de 1300 kilomètres est entré en service en 2002. Il traverse 540 kilomètres du territoire marocain pour relier la ville espagnole de Cordoue. Il transporte l’équivalent de 5.13 milliards de mètres cubes de gaz par an.
observ algérie
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