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L’avocate Benbraham accuse les détenus pour cause d’emblème amazigh d’être des trafiquants de drogue

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  • L’avocate Benbraham accuse les détenus pour cause d’emblème amazigh d’être des trafiquants de drogue

    L’avocate Benbraham accuse les détenus pour cause d’emblème amazigh d’être des” trafiquants de drogue”

    L’avocate Fatima Benbraham a qualifié de “criminels” les personnes arrêtées au cours du hirak et poursuivies pour port de drapeau amazigh. Dans une déclaration au journal suisse Le Temps, l’avocate et membre du panel “du dialogue et de la médiation” de Karim Younes, a assuré que ces jeunes n’étaient pas poursuivies pour leur opinions mais parce qu’ils se livraient à des trafics.

    “Ces gens se servent de ces emblèmes pour camoufler des drogues qu’ils revendent aux manifestants, prétend-elle. Ce ne sont pas des prisonniers politiques, mais des criminels qui ont trouvé la bonne occasion pour mener à bien leurs petits trafics” lit-on dans l’article du journal suisse.

    L’accusation de Mme Benbraham n’est pas confirmée par la justice elle-même. Aucune des personnes arrêtées au cours du Hirak n’a été poursuivie pour des “trafics” de drogue ou d’autres crimes. Les seuls chefs d’inculpations retenus contre eux sont celles d’atteinte à l’unité nationale. Si des jeunes ont été condamnés au niveau du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) plusieurs autres juridictions - dont celle de Bab-El-Oued qui relève de la même cour d’Alger- ont acquitté les prévenus en estimant que la loi n’interdit pas le port de drapeaux autres que l’emblème national et que cela n’est pas constitutif d’un crime d’atteinte à l’unité nationale.

    L’accusation de “petits trafics” avancée par l’avocate ne repose sur aucun élément factuel. Dans aucun des procès qui ont eu lieu - et qui ont été fortement médiatisés- on n’a relevé l’existence d’une accusation de “trafic de drogue”.

    Manquement à l’éthique

    Benbraham a déjà suscité une vive polémique il y a quelques mois en assurant avoir consulté les dossiers des prévenus, chose en principe illégale si elle n’est pas constituée par l’un d’eux. Elle avait affirmé que ces personnes n’étaient pas poursuivies pour leur opinion mais pour des “’actes de violence, d’atteinte à l’unité nationale, d’agressions, de vols et de harcèlement sexuel…”.

    Aucun des procès n’a confirmé par la suite ces graves accusations de crimes portées contre les détenus du Hirak par l’avocate. Me Mokrane Aït Larbi a déposé une plainte le 14 août 2019 au bureau du bâtonnier d’Alger à la demande de prisonniers d’opinion contre Benbraham Fatma Zohra à la suite de ces déclarations. Le bâtonnier de l’ordre des avocats d’Alger, Me Abdelmajid Sellini, avait exprimé son aversion pour un manquement à l’éthique et une infraction à la loi. “Le rôle d’un avocat est de défendre un prévenu, pas de l’accabler” avait déclaré le le bâtonnier de l’ordre des avocats d’Alger en rappelant que personne n’a le droit de consulter un dossier s’il n’est pas légalement constitué.

    Le bâtonnier avait dénoncé des “propos excessifs, non fondés et contraires à la déontologie” ajoutant que Benbraham n’est “.mandatée ni par les détenus ni par la partie civile” et qu’elle n’a pas “à s’exprimer, en principe, sur cette affaire”. C’est un manquement “à l’éthique professionnelle et une entorse au code de procédure pénale”.

    source: HuffPost Algérie


  • #2
    Saidani au féminin....

    Je trouve qu'ils se ressemblent.

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    • #3
      Perso, je lui trouve une autre ressemblance.
      Mais je ne voudrais blesser personne.

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      • #4
        Khali laaroussa taht el haik .

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        • #5
          L'avocate Ben Braham qui est pourtant pas n'importe qui dans l'enceinte du bâtonnat d'Alger, confond droits communs et droit de paroles. L'Etat de droits et l'Etat policier.

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          • #6
            Cette répugnante avocate hideuse à la Amar Saadani, a la tête de l'emploi: un pitbull enragé et un chien d'attaque au service du régime fasciste du déchet mafieux Gaid Salah.

            Dans l'image ci-dessous (centre), un exemple parmi les braves citoyens pacifiques que diffame la minable vermine Fatima Benbraham: l'élue RCD Samira Messouci qui croupit en prison depuis juin 2019 pour avoir brandi le drapeau berbère à Alger.

            Le déchet mafieux Gaid Salah lui-même a publiquement ordonné aux forces de sécurité de réprimer et d'emprisonner les Algériens qui brandissent le drapeau berbère. Soit une énième preuve qui montre d'une manière incontestable que l'Algérie est une dictature militaire et que la justice algérienne est totalement corrompue et aux ordres des mafieux du cartel ANP/FLN.

            Le déchet mafieux Gaid Salah est si fasciste qu'il a aussi ordonné aux forces de sécurité d'empêcher les Algériens de circuler librement et de leur interdire de se rendre à Alger pour participer aux manifestations pacifiques du Hirak.

            Un régime aussi corrompu, pourri et fasciste a ensuite l'audace de donner des leçons de démocratie aux Algériens en prêchant l'urgence absolue d'organiser une énième mascarade électorale dans le contexte d'une dictature militaire.

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            • #7
              quelle tranche yalatif

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              • #8
                ....

                awwww.... là c'est du lourd !!!!

                Saadani en travelo variante blondasse .....

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