Ce phénomène concerne également "la crème des crèmes" de ressortissants algériens (40'000) qui ont opté à l'exil au pays de l'érable.
- ô Canada, ou l’inexplicable exode
Mais pourquoi partent-ils? Des cadres supérieurs, des chefs d’entreprise, des médecins, des architectes, des financiers, des Marocains plutôt aisés en somme, décident d’un coup de tenter l’aventure outre-Atlantique. Au Canada, la communauté marocaine est estimée à quelque 150.000 ressortissants, la plupart concentrés sur la province francophone du Québec.
A la faveur de quotas d’émigration, chaque année 3000 de nos concitoyens en moyenne font le grand voyage. Avec “l’entrée express”, une procédure allégée mise en place par le gouvernement fédéral canadien pour attirer de hauts potentiels, des couples de la classe moyenne supérieure abandonnent une situation acquise de haute lutte, pour braver le froid extrême du pays de l’érable.
Ceux-là acceptent des jobs pour lesquels ils sont surqualifiés et, partant, sous-payés. Dans le dossier de cette semaine, TelQuel leur donne la parole dans une tentative de comprendre leur motivation. Car, si l’on peut saisir les ressorts de l’émigration de jeunes désœuvrés, condamnés par leur manque de qualification à une vie de peu, la raison peine à appréhender les motifs de cet exode d’un autre genre-.
Tel Quel.Ma
- ô Canada, ou l’inexplicable exode
Mais pourquoi partent-ils? Des cadres supérieurs, des chefs d’entreprise, des médecins, des architectes, des financiers, des Marocains plutôt aisés en somme, décident d’un coup de tenter l’aventure outre-Atlantique. Au Canada, la communauté marocaine est estimée à quelque 150.000 ressortissants, la plupart concentrés sur la province francophone du Québec.
A la faveur de quotas d’émigration, chaque année 3000 de nos concitoyens en moyenne font le grand voyage. Avec “l’entrée express”, une procédure allégée mise en place par le gouvernement fédéral canadien pour attirer de hauts potentiels, des couples de la classe moyenne supérieure abandonnent une situation acquise de haute lutte, pour braver le froid extrême du pays de l’érable.
Ceux-là acceptent des jobs pour lesquels ils sont surqualifiés et, partant, sous-payés. Dans le dossier de cette semaine, TelQuel leur donne la parole dans une tentative de comprendre leur motivation. Car, si l’on peut saisir les ressorts de l’émigration de jeunes désœuvrés, condamnés par leur manque de qualification à une vie de peu, la raison peine à appréhender les motifs de cet exode d’un autre genre-.
Tel Quel.Ma
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