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L’avocate et militante des droits de l’Homme, Me Zoubida Assoul, a déclaré, ce vendredi lors de la 40e marche contre le système à Alger, « qu’il ne peut pas y avoir d’élections contre la volonté populaire ».
« Le pouvoir continue à être dans le déni de vérité. Mais, la majorité dont parle le pouvoir en place elle est là, dans la rue et elle va être mobilisée encore plus à partir d’aujourd’hui », a indiqué Me Assoul.
« Le peuple dit haut et fort qu’il ne veut pas de ces élections. Pas parce qu’il est contre les élections, mais parce que, les conditions d’aujourd’hui ne permettent pas ou ne pourraient pas permettre à l’Algérie de rompre avec le système et aller vers un État de droit. La preuve en est, nos enfants, les jeunes et les politiques sont en prison, parce qu’ils ont exprimé leurs points de vue, demandé de libérer la justice et un État de droit et des libertés. Aujourd’hui, il ne peut pas y avoir d’élections contre la volonté populaire », a-t-elle déclaré au micro d’Interlignes Algérie.
Zoubida Assoul a salué la forte mobilisation des Algériennes et Algériens depuis les 9 mois du mouvement populaire et a dit espérer que les revendications exprimées par le Hirak soient entendues. « Le peuple est conscient des enjeux. Aujourd’hui, l’enjeu est vital pour l’Algérie », a-t-elle dit.
Elle a ajouté qu' »il faut impérativement rompre avec ce système et aller vers la construction d’un État de droit et des institutions, sortir du pouvoir des clans et personnel, aller vers l’indépendance de la Justice, la libération des détenus et ensuite, une période de transition pour assainir tout ce que ce système à fait de mal pendant tant de décennies », a expliqué Mme Assoul, appelant les Algériennes et les Algériens à continuer la mobilisation.
« Le pouvoir continue à être dans le déni de vérité. Mais, la majorité dont parle le pouvoir en place elle est là, dans la rue et elle va être mobilisée encore plus à partir d’aujourd’hui », a indiqué Me Assoul.
« Le peuple dit haut et fort qu’il ne veut pas de ces élections. Pas parce qu’il est contre les élections, mais parce que, les conditions d’aujourd’hui ne permettent pas ou ne pourraient pas permettre à l’Algérie de rompre avec le système et aller vers un État de droit. La preuve en est, nos enfants, les jeunes et les politiques sont en prison, parce qu’ils ont exprimé leurs points de vue, demandé de libérer la justice et un État de droit et des libertés. Aujourd’hui, il ne peut pas y avoir d’élections contre la volonté populaire », a-t-elle déclaré au micro d’Interlignes Algérie.
Zoubida Assoul a salué la forte mobilisation des Algériennes et Algériens depuis les 9 mois du mouvement populaire et a dit espérer que les revendications exprimées par le Hirak soient entendues. « Le peuple est conscient des enjeux. Aujourd’hui, l’enjeu est vital pour l’Algérie », a-t-elle dit.
Elle a ajouté qu' »il faut impérativement rompre avec ce système et aller vers la construction d’un État de droit et des institutions, sortir du pouvoir des clans et personnel, aller vers l’indépendance de la Justice, la libération des détenus et ensuite, une période de transition pour assainir tout ce que ce système à fait de mal pendant tant de décennies », a expliqué Mme Assoul, appelant les Algériennes et les Algériens à continuer la mobilisation.
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