Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Pourquoi le Prophète — paix et bénédictions sur lui — a-t-il eu neuf épouses ?

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Pourquoi le Prophète — paix et bénédictions sur lui — a-t-il eu neuf épouses ?

    Pourquoi le Messager, paix et bénédiction sur lui, a-t-il été autorisé à prendre jusqu’à 9 épouses, alors l’Islam autorise l’homme à prendre 4?

    Réponse du Docteur Yûsuf Al-Qaradâwî
    L’autorisation d’avoir quatre épouses et le mauvais usage fait de cette permission
    Avant l’avènement de l’Islam, les gens épousaient les femmes qui leur plaisaient sans restriction ni condition. On a ainsi mentionné que David - paix sur lui - possédait trois cents femmes (épouses et concubines) et que Salomon en possédait sept cents.

    L’Islam, à son avènement, a imposé une limite à cette polygamie, et il y a posé une condition.

    En ce qui concerne la limite, l’Islam a fixé le nombre maximum d’épouses à quatre, nombre qui ne peut en aucun cas être dépassé : « Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent » [1]. Lorsqu’un homme, de la tribu de Thaqîf, ayant dix femmes, a embrassé l’Islam, le Messager lui a ordonné de choisir quatre parmi elles, puis de divorcer avec les autres.

    La condition, quant à elle, correspond à la confiance qu’a l’homme en sa capacité à être équitable. Si cette condition n’est pas remplie, il lui est interdit d’épouser une autre femme : « mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule » [2].

    À ceci s’ajoutent naturellement les autres conditions qui doivent être remplies pour n’importe quel mariage : la capacité à entretenir le ménage et la capacité à remplir les devoirs conjugaux.

    L’Islam a autorisé la polygamie parce qu’il est une religion réaliste, qui ne plane pas dans des idéaux utopiques, délaissant les problèmes de la vie quotidienne sans remède possible. Le deuxième mariage peut en effet résoudre des problèmes chez l’homme dont l’épouse ne peut avoir d’enfants, ou dont l’épouse a des règles trop longues, alors que lui-même a un puissant instinct sexuel, ou encore celui dont la femme est atteinte d’une maladie chronique mais qui veut rester avec elle, ne souhaitant pas le divorce, etc. Le deuxième mariage peut également résoudre des problèmes chez la veuve qui n’espère pas se remarier avec un jeune homme célibataire. Il en est de même pour la jeune femme divorcée, surtout si elle possède un ou plusieurs enfants. Le deuxième mariage peut enfin résoudre des problèmes au niveau de la société dans son ensemble. C’est le cas lorsque le nombre de femmes aptes au mariage est supérieur au nombre d’hommes aptes au mariage. Cette situation apparaît régulièrement, et est d’autant plus accentuée après les guerres par exemple.

    Que pouvons-nous donc faire du surplus de femmes ? Trois possibilités s’offrent à nous :

    Soit elles passent toute leur vie interdites de vie conjugale et de maternité, ce qui constitue un préjudice pour elles.
    Soit elles satisfont leurs instincts sexuels derrière le dos de la religion et des vertus morales, et cela constitue pour elles une perdition.
    Soit elles acceptent d’épouser un homme déjà marié, capable de les entretenir et de préserver leur chasteté, confiant en sa capacité à être équitable envers ses épouses. Et cela est la solution convenable.
    Pour ce qui est de la mauvaise utilisation de cette permission ou de ce droit, combien de droits sont mal utilisés, et dont la pratique est abusive, sans que cela ne conduise à leur abolition ni à leur annulation ?

    Le droit au premier mariage lui-même connaît de nombreux abus, devons-nous donc l’abolir ? Le droit à la liberté, quand bien même serait-il mal utilisé, devons-nous l’abolir ? Le droit de vote, quand bien même serait-il mal utilisé, devons-nous l’abolir ? Le pouvoir, quel qu’il soit, peut être mal utilisé. Devons-nous l’abolir et vivre dans l’anarchie ?

    Plutôt que d’appeler à abolir la polygamie, il vaut mieux poser des restrictions à son utilisation, et punir ceux qui abusent de ce droit, dans la mesure du possible.

    La sagesse qui réside dans l’exception prophétique
    Pourquoi le Messager - paix et bénédiction sur lui - a-t-il conservé neuf épouses, alors qu’il limitait les autres Musulmans à quatre épouses, maximum autorisé pour la polygamie, si bien que le Prophète, paix et bénédiction sur lui, ordonnait à celui qui se convertissait à l’Islam, en ayant dix épouses par exemple, d’en choisir quatre et de se séparer des autres ?

    Nous répondons comme suit. En lui accordant ce droit, Dieu le Très-Haut a privilégié Son Messager - paix et bénédiction sur lui - pour une raison et une sagesse connues. En effet, les épouses du Prophète ont des commandements spécifiques et des particularités qui ne concernent pas les autres femmes de la Communauté. Ainsi, parmi ces commandements spécifiques, il leur est interdit de se remarier avec quiconque après le Messager de Dieu — paix et bénédiction sur lui — conformément à ce que dit le Très-Haut : « Vous ne devez pas faire de la peine au Messager de Dieu, ni jamais vous marier avec ses épouses après lui ; ce serait, auprès de Dieu, un énorme péché. » [3]

    Or, toute femme divorcée a le droit de se remarier avec n’importe quel Musulman après son divorce. Dieu le Très-Haut les a donc honorées en leur permettant de rester les épouses de Son Prophète. Il s’agit d’une exception et d’une particularité qui ne concernent qu’elles. Parallèlement, le Prophète ne pouvait plus épouser d’autres femmes, ni les quitter pour en épouser d’autres. Leur nombre devait rester tel quel. A ce sujet, le Très-Haut s’adresse à Son Prophète — paix et bénédiction sur lui : « Il ne t’est plus permis désormais de prendre d’autres femmes, ni de changer d’épouses, même si leur beauté te plaît ; - à l’exception de ce que possède ta dextre. Et Dieu observe toute chose. » [4]

    De plus, lorsque les épouses du Messager — paix et bénédiction sur lui — ont réclamé une augmentation de leurs revenus pour l’entretien de leur ménage et une amélioration de leur niveau de vie, Dieu — Exalté soit-Il — lui a ordonné de leur donner le choix entre Dieu, Son Messager et la Demeure dernière avec ce que cela implique de privations matérielles et de vie ascétique d’une part et entre un divorce sans préjudice et une séparation convenable d’autre part. Toutes ont préféré Dieu, Son Messager et la Demeure dernière. Ainsi, le Très-Haut dit : « Ô Prophète ! Dis à tes épouses : ‹Si c’est la vie présente que vous désirez et sa parure, alors venez ! Je vous donnerai les moyens d’en jouir et vous libérerai par un divorce sans préjudice. Mais si c’est Dieu que vous voulez et Son Messager ainsi que la Demeure dernière, Dieu a préparé pour les bienfaisantes parmi vous une énorme récompense. » [5]

    Si toutes ont choisi Dieu, Son Messager et la Demeure dernière et ont accepté une vie sobre et ascétique avec le Noble Prophète, laquelle d’entre elles le Messager va-t-il quitter ? Gardons à l’esprit que la séparation avec l’une d’elles serait une punition sévère à son encontre, alors qu’elle n’aurait rien commis qui appelât la punition ? Elle serait de surcroît privée de sa qualité de Mère des Croyants.

  • #2
    Pour cette raison, Dieu a accordé cet honneur aux neuf épouses du Prophète, qui ont choisi de vivre avec ce dernier, malgré les rudes conditions de vie et l’insuffisance des ressources. Cette vie était tellement dure que le croissant de lune pouvait apparaître puis réapparaître sans qu’un seul feu ne soit allumé dans les appartements prophétiques. Le Prophète et ses épouses ne subsistaient que sur des dattes et de l’eau.

    La sagesse du mariage du Messager avec ses neuf épouses
    En ce qui concerne la sagesse à la base du mariage avec ces neuf femmes, il faut savoir qu’elle est connue d’office de toute personne ayant étudié la biographie du Prophète. En effet, chacun de ces mariages a une histoire relatant les raisons pour lesquelles le Prophète l’a contracté. De plus, il était licite à cette époque de se marier autant de fois qu’on le souhaitait. Le présent texte ne nous permet pas d’entrer dans le détail de ces mariages, mais nous allons donner quelques indications qui suffiront pour l’instant.

    On sait que le Prophète - paix et bénédiction sur lui - a passé sa jeunesse et une partie de sa vieillesse, jusqu’à cinquante ans, avec une seule femme, plus âgée que lui de quinze ans. Il l’avait épousée alors qu’elle-même avait déjà connu le mariage. Elle possédait en outre des enfants d’autres maris. Malgré cela, ils vécurent tous deux dans le bonheur le plus complet. Après la mort cette première épouse, le Prophète ressentait toujours pour elle de l’amour, en disait du bien, s’égayait à son souvenir. Cela lui valut d’ailleurs la jalousie de sa jeune épouse `Â’ishah, alors que la première épouse était dans sa tombe.

    La première femme que le Prophète épousa après son veuvage était Sawdah Bint Zam`ah. C’était une femme âgée, qui ne se distinguait ni par la jeunesse ni par la beauté. Le Prophète voulu ensuite faire honneur au plus proche de ses Compagnons, Abû Bakr, en épousant sa fille, malgré sa jeunesse. La belle-alliance avec le chef d’une tribu était alors considérée chez les Arabes comme une forme d’honneur et de distinction. Ainsi, le Prophète lui demanda la main de `Â’ishah, alors qu’elle n’était pas encore en âge de se marier. Aussi, ne consomma-t-elle son mariage qu’après des années.

    Le Noble Prophète — paix et bénédiction sur lui — épousa ensuite Hafsah Bint `Umar, la fille du deuxième homme le plus proche du Prophète après Abû Bakr. `Umar avait préalablement proposé la main de sa fille à chacun de ses deux amis, Abû Bakr et `Uthmân, qui ne lui donnèrent pas de réponse. Le Prophète — paix et bénédiction sur lui — l’épousa alors, honorant et distinguant ainsi `Umar, comme il l’avait fait auparavant avec Abû Bakr, que Dieu les agrée tous deux.

    Ainsi, les quatre Compagnons les plus proches du Prophète — paix et bénédiction sur lui — remportèrent le lien de la belle-alliance avec lui. Entre Abû Bakr, `Umar, `Uthmân et `Alî, les uns lui marièrent leur fille, les autres épousèrent les siennes (`Uthmân et `Alî).

    Le Prophète épousé également Umm Salamah, après le martyre de son mari à Uhud. Elle faisait partie des Emigrées (muhâjirât) dans le Sentier de Dieu et de celles qui donnèrent beaucoup pour l’Islam. Le Prophète voulut donc la consoler au sujet de son mari, en lui faisant une place parmi ses épouses. Lorsqu’il demanda sa main, elle s’excusa, prétextant son âge avancé et la charge de ses enfants. Le Prophète lui répondit : « L’âge avancé auquel tu es parvenue, j’y suis parvenu moi aussi et tes enfants sont aussi les miens. »

    Il y a ensuite Safiyyah Bint Huyay, dont le père est Huyay Ibn Akhtab, le célèbre chef juif qui coalisa les tribus païennes contre le Messager de Dieu et qui l’affronta au cours de plusieurs batailles. Le père de Safiyyah était mort, sa famille avait péri. Le Messager - paix et bénédiction sur lui - ne voulu pas l’abandonner à l’un de ses Compagnons. Il l’honora et l’épousa, afin de la réconforter dans sa détresse, et lui faire oublier son malheur.

    Il y a également Umm Habîbah : Ramlah, fille de Abû Sufyân Ibn Harb, qui était le chef de la tribu de Quraysh et le commandant de l’armée qurayshite à la bataille de Uhud contre le Prophète, et à la bataille des Coalisés. Umm Habîbah s’était convertie à l’Islam et avait émigré en Abyssinie avec son époux. Ce dernier céda alors à la débauche : il finit par délaisser son épouse et apostasier, que Dieu nous en préserve. Le Messager voulut alors la consoler de ce malheur dont son mari l’avait frappé. Il envoya donc un message au Négus dans lequel il lui confia la mission d’annoncer leurs fiançailles puis de contracter leur mariage, malgré les grandes distances qui les séparaient. Le Prophète offrit à Umm Habîbah une dot de quatre mille dirhams. Lorsque la nouvelle du mariage de Muhammad et de Umm Habîbah parvint au père de cette dernière, Abû Sufyân, celui-ci dit, fier de cette alliance : « Il est l’homme par excellence, on ne peut lui faire courber l’échine ».

    Il y a aussi Zaynab Bint Jahsh, dont Dieu a relaté l’histoire et les motifs de son mariage avec le Prophète dans le Coran. Ce mariage est venu en fait annuler l’interdiction pré-islamique qui empêchait des parents adoptifs d’épouser l’ex-conjoint de leur enfant adoptif. Cette interdiction était alors répandue chez les Arabes. Elle résultait de l’importance accordée à l’adoption. Le Très-Haut révèla alors au sujet des enfants adoptés : « Appelez-les du nom de leurs pères : c’est plus équitable devant Dieu. » [6]

    Dieu ordonna alors à Son Prophète d’épouser l’ex-femme de son fils adoptif, malgré la difficulté qu’éprouvait le Prophète à agir de la sorte, et le bouleversement que cela allait susciter dans la société. Le Très-Haut dit : « Quand tu disais à celui que Dieu avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l’avais comblé : ‹Garde pour toi ton épouse et crains Dieu›, et tu cachais en ton âme ce que Dieu allait rendre public. Tu craignais les gens, et c’est Dieu qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu’il n’y ait aucun empêchement pour les Croyants d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le Commandement de Dieu doit être exécuté. » [7]

    C’est la même chose pour toutes les épouses. Chacune d’elles a son histoire, et chaque mariage comporte une sagesse. Entre autres sagesses, on peut citer le raffermissement des liens entre les tribus arabes grâce à la belle-alliance. Toutes ces femmes, exceptée `Â’ishah, avaient déjà connu le mariage et n’étaient pas réputées pour une beauté extraordinaire. Si le Prophète — paix et bénédictions sur lui — avait voulu épouser les plus belles vierges d’Arabie, leurs familles n’auraient pas hésité à se rapprocher de lui de cette manière. Mais lui cherchait par chaque mariage à résoudre un problème ou à panser une plaie. Que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur lui.

    Commentaire


    • #3
      mohamed est son fils, les autres c'est rebaibou.

      le droit n'est pas le même pour ses créatures.

      Commentaire


      • #4
        Il n ya que trois prophetes qui etait polygame
        Ces trois prophetes sidna mohamed dalomom ey david
        Etaient les seuls prophetes qui menaient des bataille de guerre.
        Sidna Moussa n.as deckarè la guerre au pharaon il est restè monogame.

        En periode de guerre un soldat face a david dalomon ou mohamed
        Au cours d.une defaite soit ils s.enfuit abandonnant ces biens sa femme et ces jeunes enfant
        Soit ils cette famille serait orphelin suite a la mort de leur pere dans les combat

        Ici puisque le prophete etait le chef il doit subir des consequence ou avoir entre les mains les biens abandonnè par son ennemi
        Le plus difficile pour un propheye de cette categorie serait les femmes musulmane qui ont perdu leur marie..donc c.est un grave probleme dans son camps.

        Le prophete serait obligè de prendre en charge une femme veuve.
        Le but n.est pas sexuel comme le croient certain..dams kes periode de guerre y.as pas le sexe

        Les militaire français en colonie n.avaient pas de femme dans les caserne..en periode de courte acalmi le militaire descend vers un bordel..il risque gros..avec le climat psychologique il ne reussira pas a bonder...ya pas de sex..donc ya que vin et danse sans oser passer au sex
        C.est dangereux pour lui il etait hors caserne hors protection

        Donc les arabes maintenanat lorsqu.ils parlent de sidna mohamed david et salomon le font
        En dehors des milieu des tension et guerre..

        Il faut mettre chaque prophete dans sa propre situation..

        Commentaire


        • #5
          le droit n'est pas le même pour ses créatures.
          Cher ice berg,
          Lisez l'histoire, vous comprendrez facilement que le mariage du Prophète avec ses épouses n’était aucunement motivé par un désir charnel, mais par des valeurs humaines nobles que l’on pourrait longuement développer.. En effet si ses mariages étaient motivés par le simple désir sexuel, il aurait choisi d’épouser de jeunes vierges, mais malheureusement pour les détracteurs, en réalité, elles étaient toutes divorcées ou veuves, sauf Aicha. Il ne restera plus de doute, même au plus sceptique, quand il saura que de sa jeunesse jusqu'à l’âge de 25 ans, le prophète était Célibataire et que de l'age de 25 à 50 ans il n'était Marié qu'à une seule femme de 15 ans son aînée, précédemment mariée avant lui. A la mort de sa femme Khadidja alors qu'il avait déjà 50 ans le prophète que la prière et le salut soient sur lui, est resté seul et célibataire durant deux années en deuil par fidélité a sa première épouse.

          Les autres mariages ne se sont effectués qu'entre l'age de 52 ans à l’âge de 60 ans pour des raisons politiques, religieuses ou sociales et ce en accord complet avec les nouvelles épouses que nous pouvons développer pour chacune d'elles quand vous le voudrez. Les femmes du Prophète, nous venons encore une fois de le constater a part une seule n’étaient donc nullement toutes jeunes et étaient soit veuves, vielles ou soit tout simplement divorcées. C'est aussi grâce a ces femmes que l’islam a été transmis avec l’exactitude des détails et des spécificités aussi bien aux tribus qu'aux nations étrangères dont elle viennent.. Nous venons de le comprendre, le prophète Mohammed que la paix et le Salut éternels soient sur lui, cet homme connu pour ses jeûnes et ses prières nocturnes tout au long de son existence austère, à la fin de sa vie, abrita tout simplement quelques pauvres veuves désœuvrées qui vécurent auprès de lui avec le juste nécessaire, se consacrant à Dieu et à la demeure dernière.
          A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
          Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

          Commentaire


          • #6
            un bon exemple,la femme de son fils adoptif

            Commentaire


            • #7
              un bon exemple,la femme de son fils adoptif
              Cher ice berg,
              C'est une vision occidentale judéo-chrétienne que l'on vous a inculquée. Il vous faut savoir vous en libérer en vue de comprendre le message d'Amour de cette histoire intime et ne pas vous fier a l'esprit mesquin des calomniateurs de nos jours. En effet cela relève de la grandeur de l’âme et du sacrifice suprême aussi bien de la femme concernée que celui du prophète. En fait si vous lisiez l'histoire en entier, tout cela vous montrera la grandeur du prophète et les enjeux l'abolition de l'esclavage. Le prophète s'écria un jour "Soyez témoins que Zayd est mon fils, il hérite de moi et j'hérite de lui.". Ce n'est donc point son fils mais il ne cessa de libérer les gens de tout les tabous et c'est en ce sens qu'il s'est sacrifié en entier. Le Fils adoptif du prophète auquel font allusion les islamophobes n'est point un bébé recueilli dans un hôpital dès son très jeune age mais un vrai esclave affranchi par une paternité virtuelle qui ne permet a personne de donner une image salissante pour envenimer une des plus grande chose de la vie qu'est justement l'Amour.

              La question que nous devrions nous poser est plutôt la suivante: "Comment l'homme le plus fort du monde de l'époque, plus fort que César ou les rois de Perse, accepte t-il le mariage avec une femme qu'un vulgaire esclave avait rejeté avant lui". L'exemple qu'il nous donne du respect de la femme et de l'esclave est d'une telle grandeur qu'aucune autre anecdote ne pourrait jamais égaler. C'est aussi l'humilité dans toute sa teneur..
              A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
              Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

              Commentaire


              • #8
                Je comprends pas le sens de ces critiques , personne vous empêche de vous vous marier avec 50 ou 150 si vous pouvez .
                Vous vous souciez de nous za3ma ?

                Commentaire


                • #9
                  Donc le prophète Mohamed n'est pas sorti de cette règle en ayant le pouvoir absolu sur ses disciples qui doivent l'aimer plus qu'eux-mêmes ou de leur enfants
                  Cher veniziano,
                  Ce qui dément toutes ces conneries, c'est que justement les femmes du Prophète, nous venons encore une fois de le constater a part une seule n’étaient nullement toutes jeunes et étaient soit veuves, vielles ou soit tout simplement divorcées. Ensuite, si le Prophète avait eu un tempérament “porté sur les femmes” comme vous le prétendez sans cesse il n’aurait pas attendu tout un temps pour en prendre une seconde, voire davantage, ce qui montre bien que ses mariages ultérieurs avaient des mobiles différends de ceux de l’humanité ordinaire. L'histoire nous informe également que Aïcha reste la seule vierge qu'ai épousé le Prophète, or s'il avait eu les tendances qu'en tant que malveillant vous lui prêtez, pourquoi n’en aurait-il épousé qu’une? Tous les musulmans auraient considéré comme un honneur de lui donner leur fille, fut-elle très jeune, or la question ne s'est jamais posée. Vous saisissez enfin tout votre désenchantement et que seule l'insulte vous reste comme argument..

                  Nous venons enfin de le comprendre, en fait chacun de ses mariages avait une raison sociale ou politique, parce qu'il a visé à travers les femmes qu'il a épousées avec leurs pleins consentements d’honorer des femmes pieuses ou de créer des relations de mariage avec certaines tribus et phratries dans son désir d’ouvrir des nouvelles voies pour propager l’Islam en vue de sauver des âmes de la perdition. C'est aussi pour éviter beaucoup de dépassements dans la société comme c'est le cas dans le monachisme chrétien, que l'islam régit souvent des lois qui paraissent de prime abord plus ou moins un intéressement a la vie d'ici bas mais qui dans le fond ne sont en vérité que le retour humble a la vraie forme d'humilité de la condition humaine.
                  A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
                  Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

                  Commentaire


                  • #10
                    (Ses mariages avait raisons social et politique)

                    Donc ce sont ses propres intentions et non celles de dieu (Allah) ,

                    Commentaire


                    • #11
                      Donc ce sont ses propres intentions et non celles de dieu (Allah) ,
                      Cher faycal_sghir,
                      La Révélation divine se réalise par des paroles et par des œuvres. L'excellent modèle restera définitivement le prophète béni, paix et salut éternels sur lui. Les raisons de ses mariages sont diverses, mais elles se rapportent toutes à son rôle de dirigeant de la communauté musulmane et à sa responsabilité de guider les nouveaux musulmans aux normes et aux valeurs de l'islam. A la fin de sa vie, le prophète se maria pour pourvoir à la subsistance et à la dignité de veuves ou de femmes dépourvues de tout soutien; pour consoler ou honorer les membres des tribus qui étaient enragés ou brouillés en amenant les anciens ennemis dans quelque degré de relation familiale et d'harmonie; pour gagner certains individus exceptionnellement doués à la cause de l'islam; pour établir de nouvelles normes de relations entre différentes personnes au sein de la fraternité unificatrice de la foi en Dieu; et pour honorer avec des liens de famille les deux hommes qui allaient le succéder comme dirigeants de la communauté musulmane après sa mort.
                      A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
                      Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

                      Commentaire


                      • #12
                        Peut être pour les œuvres, mais en obligeant son prochain à avoir les mêmes croyance et le même mode de vie ça laisse pantois

                        OK pour celui qui reçoit un message de dieu et le recommander à son prochain voir à l'humanité, mais pourquoi mépriser ceux qui ne veulent pas le suivre

                        Et Allah savait il pas qu'en donnant une mission à un homme cad transmettre son message une bonne parti de l'humanité pourraient resté sceptique, ne pas croire en cette homme.?

                        En plus pJe vois pas prk un bon dieu à besoin de certains hommes pour passer son message

                        Commentaire


                        • #13
                          bonjour

                          Le prophete (SAAWS) s'est marie avec Khadija quand il avait 25 ans...ils sont restes maries jusqu'a la mort de Khadija (RA) 25 ans plus tard...
                          Ce n'est qu'apres la mort de Khadija qu'il s'est remarie...


                          Commentaire


                          • #14
                            Le prophete (SAAWS) s'est marie avec Khadija quand il avait 25 ans..
                            Cher alain-terieur,
                            Vous avez plus que raison, la vie du prophète Mohamed que la paix et le salut soient éternellement sur lui, reste louable dans tout les aspects de sa vie. Rien émanant de lui ne peut être remis objectivement en cause. D'une façon brève et dans une totale honnêteté religieuse il nous faut faire valoir que le Prophète est resté fidèle à al-sayyida Khadija pendant toute la durée de leur mariage soit une période de vingt-cinq ans environ alors qu'elle avait une quinzaine d'années de plus que lui et que la polygamie était une norme chez les Arabes. Quoi de plu grand.
                            En plus pJe vois pas prk un bon dieu à besoin de certains hommes pour passer son message
                            Cher faycal_sghir,
                            Si les Prophètes n’avaient pas été envoyés, les gens auraient du mal à choisir entre le bien et le mal et à trouver la vérité, la bonne et la plus bénéfique. Alors Allah, par Sa miséricorde et Sa grâce infinies, a envoyé les Prophètes comme guides du chemin le plus droit pour les êtres humains. Les Prophètes guident l’humanité non seulement au niveau spirituel, mais ils étaient aussi des guides et des instructeurs sur la civilisation, le progrès culturel et social et les métiers artistiques, commerciaux, agricoles et autres. Votre question n'a plus de sens.
                            A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
                            Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

                            Commentaire


                            • #15
                              Dieu ne peut pas tolérer ça. C'est l'œuvre des humains. Et rassoul Allah était un humain (avec les désirs du commun des mortels)
                              "Para alcanzar lo imposible, uno debe intentar lo más absurdo".
                              Miguel de Cervantes.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X