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Pour l’institut suédois IDEA, « Le régime algérien n’est pas démocratique »

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  • Pour l’institut suédois IDEA, « Le régime algérien n’est pas démocratique »

    L’institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA) considère que le régime Algérien « n’est pas démocratique», pour l’IDEA le régime algérien est « hybride ».


    Qu’est ce que ça veut dire un régime hybride ?

    Dans une interview, deux responsables de l’IDEA, Annika Silva-Leander et Adebayo Olukoshi, ont tout expliqué à notre confrère TSA.

    « Un régime hybride est « un régime qui n’est pas considéré comme totalement démocratique, et le principal critère que nous utilisons est de savoir si le pays organise des élections un minimum compétitives. Dans notre classement, nous ne considérons pas des pays tels que l’Algérie comme des démocraties, mais nous avons cette catégorie intermédiaire car souvent de tels régimes adoptent certains mécanismes qui semblent être démocratiques en surface mais où une compétition réelle et authentique n’est pas permise », a expliqué Annika Silva-Leander, ajoutant que « jusqu’à la fin de l’année 2018, l’Algérie était classée dans notre rapport comme étant un régime hybride. Elle est classée comme tel depuis 1995 ».

    Quant à, Adebayo Olukoshi, a indiqué que « dans la majorité des pays africains, y compris l’Algérie, quelqu’un peut présenter l’argument que le pays dispose de toutes les caractéristiques d’une démocratie, y compris des élections organisées de manière périodique »

    « Mais dès qu’on commence à décortiquer le processus, on réalise qu’il y a également un éventail complexe d’éléments largement anticoncurrentiels et antidémocratiques qui sont intégrés dans le système. Donc des élections peuvent être organisées de manière routinière avec un semblant de compétitivité, mais l’accès par l’opposition à tout ce qui peut lui permettre de faire face à une concurrence loyale contre le parti au pouvoir se trouve totalement absent », a-t-il ajouté.

    « Le contrôle effectif du civil sur le militaire est un attribut clé »
    « Dans la plupart des démocraties que nous connaissons à travers le monde, le contrôle effectif du civil sur le militaire est un attribut clé », a souligné Adebayo Olukoshi.

    « cela n’a pas été le cas en Algérie pour des raisons historiques comme dans plusieurs autres pays ayant connu des mouvements de libération sur le continent africain, où les leaders du mouvement de libération se sont transformés en un véritable bloc de pouvoir, exerçant parfois le veto en coulisses ou parfois s’affichant ouvertement pour exercer le pouvoir ou le contrôle sur le civil», a-t-il expliqué.

    TSA
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    C.est d.abord c.est quoi la dèmocratie??
    La suede comme l.eurpe est une monarchie
    Le suedois est certe democrate pour faire quoi??
    Libertè a la parole??

    Allez y prendre 100, m2, pour construire une maison
    Le canada est un continent de 12 millions de km2
    Allez y voir si in canadien peut prendre 100, m2 et pourtant ya rien
    Que la neige..si c.etait la costa blance ou la cote d.azure on l.aurait compris..
    L.europens habite dans um studiot de 40m2 avec 3 personnes..

    Donc ces monarchie mieux pour elle que de se taire
    La carcasse laic democrate et le moteur monarque predateur ou reine predatrice..

    En algerie on connait les judeo chretiens
    Allez y raconter vos bobars ailleurs..

    Commentaire


    • #3
      mince alors !

      l'algerie n'est pas democratique ?

      Commentaire


      • #4
        et elle ne l'a jamais été.
        Avec Boumédiène, avec le parti unique, la pensée unique, c'était une vraie dictature.
        Avec Boutoz, la dictature s'est ramolie mais aucune démocratie. Une démocratie de vitrine, un parlement de béniouioui et des élections plus que frauduleuses.

        Commentaire


        • #5
          Pour vous encourager : même la femme de bourourou donne son avis.

          Elle veut carrément que l'armée gouverne en direct.

          C'est sympa le 17ème arrondissement, il ne faudrait pas que ça aille jusque là.

          Mais ça elle a oublié de le dire.

          ---
          Mme Boumediene soutient Gaïd Salah

          Mme Boumediene soutient Gaïd Salah
          La veuve du président Houari Boumediene, Anissa Boumediene, a plaidé pour la « stabilité » de l’Algérie, faisant l’éloge du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah et estimant que « la solution la plus sage » serait que l’armée gère les affaires du pays, rapporte ce vendredi le média britannique la BBC. « Le peuple algérien est un peuple formidable, très courageux, très patient. Mais quand il dit à un moment donné ‘’ça suffit’’ c’est que vraiment il en a par-dessus la tête et que ça suffit. Il a perdu la confiance en ses dirigeants », a affirmé Anissa Boumediene dans un entretien radio. « Je ne dresse pas des louanges [à Gaïd Salah], je constate qu’au point de vue de l’armée, ça a été du bon travail. Et ce que je souhaite avant tout c’est la stabilité de mon pays », a insisté Mme Boumediene.
          ---
          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

          Commentaire


          • #6
            Cela ne devrait étonner personne, la 1ere dame de la dictature Boumédiene ne peut être que du côté du grand bermil.
            que « la solution la plus sage » serait que l’armée gère les affaires du pays
            ca ne sera pas nouveau pour l'Algérie. L'armée a toujours été le vrai pouvoir.

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            • #7
              Autoritarisme, hybridation...démocratique.....
              chaque régime se caractérise par un mécanisme connue

              Un régime présidentiel est un régime politique représentatif fondé, de par sa constitution, sur une stricte séparation des pouvoirs, exécutif, législatif, et judiciaire. Le pouvoir exécutif est entre les mains du chef de l'État (le président), généralement élu au suffrage universel.

              Dans un régime présidentiel, l'exécutif n'est pas responsable devant le corps législatif, contrairement au régime parlementaire. De ce principe il découle que le gouvernement ne peut être renversé par le parlement. Inversement le pouvoir exécutif ne peut dissoudre le parlement. Le pouvoir judiciaire dispose d'une place particulièrement importante, dans la mesure où il peut être conduit à arbitrer les différends entre les deux autres pouvoirs.

              L'expression "régime présidentiel" est une source d'ambigüités, car elle laisse entendre que le chef de l’exécutif aurait une prééminence sur les autres pouvoirs dans l’organisation politique et administrative de l’État, ce qui n’est pas le cas.
              Un régime parlementaire est un régime politique fondé sur une séparation souple des pouvoirs, contrairement au régime présidentiel où la séparation est stricte. Dans le régime parlementaire, le Gouvernement qui incarne le pouvoir exécutif, peut être renversé par le Parlement devant lequel il est politiquement responsable. Les membres du Gouvernement ne sont pas élus, mais sont issus de la majorité parlementaire à laquelle ils doivent leur pouvoir.

              Le pouvoir de renversement peut être réciproque lorsque l'exécutif (le chef de l'Etat) dispose de la faculté de révoquer le Parlement (pouvoir de dissolution), ce qui incite les deux pouvoirs à collaborer.

              Si le Gouvernement n'est responsable que devant le Parlement alors le régime parlementaire est qualifié de "moniste". Exemples : Angleterre, Japon, Inde, Canada...
              Dernière modification par katiaret, 24 novembre 2019, 21h30.
              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Bachi, bonsoir.

                Pas mal le commentaire de ce gas en réaction à bobonne bourourou :

                Amar El Koléra
                @Amar_Baguitta
                Revenons un peu sur Boumediene-le-chancre.
                Ses jeunes groupies, entre autres exploits, lui attribuent l’atmosphère de dolce vita dans laquelle baignait selon eux l’#Algérie dans les années 60-70
                Ils lui attribuent également le progressisme politico-social de ces années-là
                Mettons les choses au clair :
                La dolce vita était réelle
                Le progressisme aussi
                Mais ni l’un ni l’autre n’était dû à Boumediene
                C’est au contraire sous son règne que l’une et l’autre furent liquidés

                La dolce vita était due à l’extraordinaire élan vital et optimiste qui suivit l’indépendance et, quoi que les cons en pensent, aux derniers feux de la présence française : ignoré 132 ans durant, l’« indigène » aspirait à ce dont on l’avait privé : être civilisé, propre et digne

                Notons en vitesse que Boumediene et sa bande n’eurent nulle utilité dans la fin de cette présence humiliante qui faisait de l’« Indigène » un sauvage, sale, indigne
                L’Histoire retiendra que Boumediene liquida l’élan vital et Bouteflika, giton de Boumediene, liquida l’#Algérie

                En militaire rigide, les cons disent ascétique, Boumediene vomissait la dolce vita, maladie civile dévirilisante et en baâthiste borné, le progressisme qui aspire à la libération et l’émancipation des peuples et des individus. Il a tout fait pour imposer baâthisme et militarisme

                Le progressisme était l’œuvre de la gauche #algérie|nne, aile politique du Fln et électrons libres, créative, enthousiaste, cultivée. Ces cons de gauchistes semaient le désordre dans la société et persuadaient les #Algérie|ns qu’ils pouvaient eux aussi être modernes et libres

                En bon militaires, les Boumediene Boys n’aimaient ni le désordre créatif ni la liberté échevelée. Ils créèrent la SM pour fliquer et torturer les agitateurs, caporalisèrent le Fln et en firent un parti totalitaire où la trahison et la corruption morale tenaient lieu de projet.

                La glaciation idéologique baâthiste tua la dolce vita et l’instauration progressive de la dictature se fit sur le dos (zebré au nerf de bœuf) des militants progressistes.
                Quand tu mouilles ta culotte à l’évocation de Boumediene, dis-toi que ce qui sourd de ton vagin est pur venin

                Il ne faut pas en vouloir aux jeunes #Algérie|ns que des décennies de propagande lobotomisèrent et préparèrent méthodiquement à l’indigence idéologique et à l’islamisme criminel.
                Le hirak de 2019 est la cruelle défaite de Boumediene
                Qu’elle soit éternelle !
                “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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