Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Ali Benflis insinue ou délire : «Je serai le premier Président légitime du pays !»

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Ali Benflis insinue ou délire : «Je serai le premier Président légitime du pays !»

    Ali Benflis insinue ou délire : «Je serai le premier Président légitime du pays !»

    AP - novembre 26, 2019 - 9:10

    Par Mohamed K. – Nouvelle sortie abracadabrantesque d’Ali Benflis. Dans un entretien accordé au journal Asharq Al-Awsat, le candidat malheureux aux élections présidentielles truquées de 2004 et 2014 a affirmé, sans sourciller, que l’Algérie «aura son premier Président légitime après le 12 décembre», échéance pourtant imposée par le chef d’état-major de l’armée à partir d’une caserne.



    «De deux choses l’une, rétorque une source informée : soit Benflis a reçu des garanties et se jette ainsi des fleurs car il sait que c’est lui qui sera déclaré vainqueur par l’administration de Bedoui le 13 décembre prochain, soit il donne un quitus à un des quatre autres pions que Gaïd-Salah aura déjà désigné comme futur chef de l’Etat quand bien même il sait que les bureaux de vote seront aux trois-quarts vides le jour de l’élection.»

    Le fondateur de Talaie El-Houriyet, qui a intégré à son programme des mises en scène qui voudraient qu’il soit à l’écoute, y compris des opposants – ô combien nombreux ! – à la mascarade électorale dans laquelle il a obtenu le pathétique rôle de comparse, a ressassé sa rhétorique sur l’impérative nécessité d’aller aux élections car elles «font partie des solutions théoriques existantes qui prouvent qu’elles sont les plus rationnelles, les plus objectives, les plus sages et les plus pratiques pour permettre une sortie de crise rapide et définitive».

    Ali Benflis, qui se cache ainsi derrière la «menace» que la période de transition réclamée par le peuple mais rejetée par lui et son mentor, le chef d’état-major de l’armée, ferait peser sur le pays, se trahit lorsqu’il jure par tous les dieux que, contrairement à sa bérézina électorale de 2004 et 2014, «cette fois-ci, le nom du vainqueur n’est pas connu à l’avance».

    «On ne sait toujours pas, plusieurs jours après le début de la campagne électorale et plusieurs semaines après son annonce de défier le peuple majoritaire et de se placer dans le camp des résidus du système Bouteflika dont lui-même est accusé de faire partie, si Ali Benflis agit par perversion ou par ruse», s’interrogent des sources qui décèlent chez l’ancien chef du gouvernement les mêmes «symptômes de déni de la réalité» que chez l’ensemble des membres qui constituent le pouvoir illégitime actuel.

    «Comment expliquer ces propos complètement insensés et délirants autrement que par un comportement inconscient de négation chez ce prétendant à la fonction suprême ?» commentent nos sources, selon lesquelles «Ali Benflis présente des signes évidents de frustration et de privation pour avoir échoué à occuper le siège d’El-Mouradia qu’il convoite, à vrai dire, depuis le premier mandat de Bouteflika dont il a voulu se servir comme courte-échelle qui allait, croyait-il naïvement, l’aider à escalader le mur de l’inexpugnable palais présidentiel».

    Quatre mandats de Bouteflika plus tard, l’éternel perdant continue d’adopter l’attitude du léporidé courant dans un champ miné. A moins que son nom soit, cette-fois, sur les tablettes du chef de l’armée qui lui a préféré Bouteflika par deux fois.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Il ne sera pas déclaré vainqueur par Bedoui, mais par son ancien secrétaire général quand il était ministre, Chorfi...

    Le bougre, il a toujours été l'instrument de marionnettistes, depuis qu'il a été repéré par Belkheir à Constantine en 1986, tient, Chorfi aussi était à Constantine...

    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      Opportuniste qu'il est , il ne sera jamais président apparemment, il veut s'enrichir encore , il n'est pas rassasié
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

      Commentaire


      • #4
        Que de rebondissements...

        En même temps les lapins ça fait des bonds.

        On y croirait presque qu'il existe.
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

        Commentaire


        • #5
          Je ne sais pas ce que vaut cette info, mais si c'est vrai, ou le lièvre est soigneusement choisis, ou ça ressemble à l'histoire de l'ancien président de la court des comptes qui avait été récompensé par la villa de Bouteflika en 1982, et qui l'a vite vendue en 1998 quand il s'est confirmé qu'il était le président du consensus...

          Exclusif. La discrète direction numérique de Benflis hébergée dans une villa appartenant à la famille Bouteflika à El-Biar (Alger)
          algeriepart.com - Nov 25, 2019 12:28 PM

          La direction chargée de promouvoir la campagne électorale d’Ali Benflis et de plaider sa cause sur les réseaux sociaux et Internet est hébergée dans une villa appartenant à la famille de l’ex-Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a-t-on appris de sources sûres.

          Cette direction discrète de la campagne de Benflis est dirigée par un certain Faycal Hardi, fils de l’ex-ministre de l’Intérieur Mohamed Hardi, lui-même un ancien haut responsable au service de la communication de la Présidence de la République au début des années 2000 à l’époque où Ali Benflis fut le chef de cabinet d’Abdelaziz Bouteflika. Il était également entre 2001 et 2004, directeur des études au Palais présidentiel d’El-Mouradia. Aujourd’hui Faycal Hardi, avocat de formation, est l’un des plus fidèles lieutenants de Benflis.

          Aujourd’hui, ce fidèle collaborateur dirige toute une équipe hébergée dans une prestigieuse villa louée auprès de la famille Bouteflika à El-Biar, sur les hauteurs d’Alger. Un siège doté de tous les équipements informatiques les plus modernes et d’une équipe entièrement dédiée à la promotion de la campagne électorale avec pour mission de contrecarrer les activistes du Hirak qui veulent « saboter » le processus électoral pour empêcher la concrétisation de la feuille de route du régime algérien consistant à « imposer » un nouveau Président algérien dans un climat politique malsain.
          Othmane BENZAGHOU

          Commentaire


          • #6
            « Cellule de mouches électroniques » : la direction de Benflis dément

            Algerie 1 - Par Amel Benabi| 26 Novembre 2019 | 12:34

            A mesure que la campagne électorale avance, plutôt bien que mal d’ailleurs, les attaques entre candidats commencent, visiblement, comme l’ont rapporté des médias électroniques, à propos de la direction de campagne d’Ali Benflis, qui aurait mis en place « une cellule de mouches électroniques » pour lancer des trolls contre les animateurs du Hirak et des candidats concurrents.

            La direction de campagne d’Ali Benflis a réagi à cette accusation en parlant de « rumeurs », tant pour la villa (louée à la famille de l’ex président) servant de siège à cette cellule que de la cellule elle-même.

            La direction de campagne du candidat se trouve à la commune d’El Biar, alors que la direction de communication se situe à Ben Aknoun ajoute la même source.

            «La mission de la direction de l’information est de médiatiser le programme du candidat Benflis, y compris sur les réseaux sociaux », ajoute le communique en soulignant qu’il n’est pas « dans les valeurs morales du candidat Benflis, ni de celle de la direction de sa campagne de s’attaquer aux activistes du Hirak, ni aux candidats concurrents ».

            Au demeurant ajoute le communiqué « le candidat Benflis est lui-même la cible de dénigrements de la part de ceux qui l’ont combattu politiquement depuis deux décennies ».
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              Le programme de Ali Benflis, semble séduisant sur les grandes lignes... le diable est dans les petites lignes, surtout quand il lance la boutade qu'il ne sait pas trop compter... abd kdim avec un discours kdim, quasi inchangé depuis 2004... à l'image de la loi sur les hydrocarbures en 2004... toc toc toc missiou Benflis, cette loi est en train de passer en 2019, et aucune dénonciation de notre lièvre favoris...

              Normal, il n'a aucune capacité de dire non à un général le Benflis... toujours, oui mon général...

              Othmane BENZAGHOU

              Commentaire


              • #8
                Un siège doté de tous les équipements informatiques les plus modernes et d’une équipe entièrement dédiée à la promotion de la campagne électorale
                Et cerise sur le gâteau, ce sont des experts de la communication qui tapotent derrière les écrans.

                En somme, Benflis met le paquet..

                J'y reviendrai


                Mdrr..

                Commentaire

                Chargement...
                X