Les deux Etats fascistes israélien et marocain doivent être traité à la même aune.
-Un arrêt rendu par la Cour de justice de l’Union européenne exige que les denrées alimentaires fabriquées dans les colonies israéliennes soient étiquetées comme telles. Une eurodéputée appelle maintenant à étendre la mesure aux produits du Sahara. Une menace réelle?
C’était une décision très attendue, qui met fin à une longue période d’ambigüité. Le 12 novembre, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt qui recommande aux États-membres l’étiquetage “Colonie israélienne” sur les produits fabriqués dans les territoires occupés par l’Etat hébreu, en Cisjordanie et dans le Golan.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Kantz, a immédiatement condamné cette décision, critiquant le “deux poids, deux mesures” visant spécifiquement Israël, “alors qu’il y a plus de deux cents autres disputes territoriales autour du monde qui n’ont jamais fait l’objet du moindre étiquetage particulier”. Peu après la publication de l’arrêt, l’eurodéputée belge écologiste, Petra De Sutter, présidente de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs, a publié sur le site Euobserver une tribune saluant une décision “historique”.
Si l’élue se félicite que “la Cour européenne replace l’éthique au cœur des choix des consommateurs européens”, elle déplore en revanche que cet arrêté mette “en lumière les approches très contrastées, voire contradictoires, adoptées par l’UE en matière de commerce impliquant des territoires occupés”.
Tel Quel (extraits).
-Un arrêt rendu par la Cour de justice de l’Union européenne exige que les denrées alimentaires fabriquées dans les colonies israéliennes soient étiquetées comme telles. Une eurodéputée appelle maintenant à étendre la mesure aux produits du Sahara. Une menace réelle?
C’était une décision très attendue, qui met fin à une longue période d’ambigüité. Le 12 novembre, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt qui recommande aux États-membres l’étiquetage “Colonie israélienne” sur les produits fabriqués dans les territoires occupés par l’Etat hébreu, en Cisjordanie et dans le Golan.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Kantz, a immédiatement condamné cette décision, critiquant le “deux poids, deux mesures” visant spécifiquement Israël, “alors qu’il y a plus de deux cents autres disputes territoriales autour du monde qui n’ont jamais fait l’objet du moindre étiquetage particulier”. Peu après la publication de l’arrêt, l’eurodéputée belge écologiste, Petra De Sutter, présidente de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs, a publié sur le site Euobserver une tribune saluant une décision “historique”.
Si l’élue se félicite que “la Cour européenne replace l’éthique au cœur des choix des consommateurs européens”, elle déplore en revanche que cet arrêté mette “en lumière les approches très contrastées, voire contradictoires, adoptées par l’UE en matière de commerce impliquant des territoires occupés”.
Tel Quel (extraits).
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