La transition par la dictature, 57 ans Barakat !
Par Sofiane Benyounes
Gaïd Salah et la junte militaire refusent toute transition démocratique, alors que nous la vivons depuis le 9 juillet 2019, date depuis laquelle nous sommes rentrés officiellement dans le vide constitutionnel. Sauf que celle-ci se fait sans le peuple et contre le peuple.
À défaut de volonté de passer la main à un pouvoir civil, seul garant de la mise en place d’un processus de démocratisation, l’État-major de l’Armée a installé un État de non droit où le fait du prince règne en maître et les institutions sont mises au service des caprices d’un Général raciste et liberticide.
Une élection présidentielle volontairement loufoque, de par la piètre qualité de ses acteurs, va disqualifier le plan A.
Elle va voir émerger un plan B consistant en une période d’exception qui va associer quelques rébus politiques. Ces derniers vont accepter de rejoindre une transition tronquée dont le seul objectif est de maintenir l’autorité de l’État-major et faire reculer l’échéance d’un État Civil.
Les négociations ont commencé avec des parties dont certaines ont rejoint tardivement la Révolution et d’autres, qui essayent de la récupérer ou la transférer des Émirats Arabes Unis au Qatar.
Comme disait Abane Ramdane : ni occidentale, ni orientale, l’Algérie est algérienne ! N’écoutons pas ceux qui disent que «ce n’est pas le moment» à chaque revendication démocratique. Ne commettons pas les mêmes erreurs qu’en 1962. Des erreurs qui nous ont coûté 57 ans et que veulent rééditer des chargés de mission infiltrés dans la Révolution.
Quand nous parlons de droits, de libertés, de justice, d’identité, d’égalité et de démocratie, c’est toujours le moment ! C’est la règle depuis le 22 février. Cela demeurera la règle dans la 2ème République.
Djazaïr Houra Dimocratiya, Algérie Debout, plus jamais au garde-à-vous
Par Sofiane Benyounes
Gaïd Salah et la junte militaire refusent toute transition démocratique, alors que nous la vivons depuis le 9 juillet 2019, date depuis laquelle nous sommes rentrés officiellement dans le vide constitutionnel. Sauf que celle-ci se fait sans le peuple et contre le peuple.
À défaut de volonté de passer la main à un pouvoir civil, seul garant de la mise en place d’un processus de démocratisation, l’État-major de l’Armée a installé un État de non droit où le fait du prince règne en maître et les institutions sont mises au service des caprices d’un Général raciste et liberticide.
Une élection présidentielle volontairement loufoque, de par la piètre qualité de ses acteurs, va disqualifier le plan A.
Elle va voir émerger un plan B consistant en une période d’exception qui va associer quelques rébus politiques. Ces derniers vont accepter de rejoindre une transition tronquée dont le seul objectif est de maintenir l’autorité de l’État-major et faire reculer l’échéance d’un État Civil.
Les négociations ont commencé avec des parties dont certaines ont rejoint tardivement la Révolution et d’autres, qui essayent de la récupérer ou la transférer des Émirats Arabes Unis au Qatar.
Comme disait Abane Ramdane : ni occidentale, ni orientale, l’Algérie est algérienne ! N’écoutons pas ceux qui disent que «ce n’est pas le moment» à chaque revendication démocratique. Ne commettons pas les mêmes erreurs qu’en 1962. Des erreurs qui nous ont coûté 57 ans et que veulent rééditer des chargés de mission infiltrés dans la Révolution.
Quand nous parlons de droits, de libertés, de justice, d’identité, d’égalité et de démocratie, c’est toujours le moment ! C’est la règle depuis le 22 février. Cela demeurera la règle dans la 2ème République.
Djazaïr Houra Dimocratiya, Algérie Debout, plus jamais au garde-à-vous
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