Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Révélation : deux experts de la fraude dirigent l’autorité de Charfi dans l’ombre

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Révélation : deux experts de la fraude dirigent l’autorité de Charfi dans l’ombre

    Révélation : deux experts de la fraude dirigent l’autorité de Charfi dans l’ombre

    AP - novembre 29, 2019 - 8:35

    Mohamed Charfi, président de façade de l'autorité de gestion de l'élection. D. R.
    Par Nabil D. – Les dessous de l’instance en charge du tripatouillage de la présidentielle du 12 décembre commencent à apparaître au grand jour. On apprend, ainsi, que cette «autorité» dont la présidence a été confiée à l’ancien ministre de la Justice Mohamed Charfi est, en fait, dirigée dans l’ombre par deux éléments clés. L’un est un colonel détaché par l’état-major de l’armée et l’autre est un ancien directeur central au ministère de l’Intérieur lorsque Noureddine Bedoui présidait aux destinées de ce département, impliqué dans la fraude de toutes les élections précédentes.

    Selon le journaliste exilé en Grande-Bretagne Saïd Bensedira, les jeux de la prochaine présidentielle sont faits et les résultats seront confectionnés par ces deux «spécialistes de la fraude» en aval, et non plus au niveau des bureaux de vote. «Avant, la magouille consistait à remplacer les urnes contenant les véritables bulletins de vote par d’autres bourrées auparavant de fausses voix en faveur du candidat du système. Maintenant, avec les nouvelles technologies acquises par le pouvoir, cette falsification des résultats du scrutin se fera de façon plus subtile», a expliqué le lanceur d’alerte dont les comptes sur les réseaux sociaux ont été bloqués pour avoir dénoncé la corruption au sommet de la hiérarchie militaire.

    Cette révélation du journaliste, qui obtient ses informations de sources proches ou au sein même des cercles du pouvoir, confirme les intentions malveillantes des résidus du système Bouteflika qui poussent les millions de citoyens qui manifestent depuis plus de neuf mois à rejeter l’échéance électorale du 12 décembre prochain, imposée par l’état-major de l’armée à partir d’une caserne. Une échéance dont les enjeux impliquent une jonction d’intérêts étroits qui lient les tenants du pouvoir à des puissances étrangères et qui mettent en péril la souveraineté nationale.

    ****************** a révélé dans un précédent article comment le pourvoir post-Bouteflika reprend les mêmes réflexes ataviques, en cachant la vérité au peuple à travers la manipulation éhontée des images du Conseil des ministres qui ne s’est pas tenu ou s’est réuni sans le chef de l’Etat intérimaire, Abdelkader Bensalah.

    La grande arnaque a donc déjà commencé.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Charfi et Karim Younes, deux proches de Benflis, dont l'un n'a été que son secrétaire général au ministère de la justice, une veille connaissance depuis Constantine, ne servaient qu'à convaincre le lièvre de participer à cette farce électorale... éternel dindon de la farce...

    Instruction aurait été donnée de soutenir Mihoubi après les sorties clownesques de Tebboun qui s'est réellement pris pour un président...

    Yakhi carnaval feddechra...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      T'as pas à être expert pour frauder. Il suffit d'être un grand menteur pour annoncer de faux taux !
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

      Commentaire

      Chargement...
      X