L’ÉTAT MAJOR MAFFIEUX VEUT IMPOSER LES FUTURES MASCARADES DE VOTE AUX ALGERIENS !
Au ministère de la Justice, un lobby formé par des hauts responsables qui gravitent autour du cercle restreint des collaborateurs les plus fidèles à Belkacem Zeghmati, l'actuel ministre de la Justice, travaillent discrètement sur un potentiel nouveau projet de loi qui vise à rendre le vote obligatoire en Algérie.
Ces lobbyistes ont des connections directes avec l'Etat-Major de l'ANP qui appréhende une forte abstention lors de la prochaine élection présidentielle du 12 décembre prochain puisque le Hirak, mouvement populaire algérien, rejette catégoriquement ces élections présidentielles au bout desquelles un nouveau Président de la République sera élu à la tête de l'Etat.
Il faut savoir que le pouvoir algérien envisage sérieusement d'organiser prochainement, à savoir après l'investiture du nouveau Président, de nouvelles échéances électorales avec notamment la dissolution du parlement au mois de février prochain et l'organisation de nouvelles élections législatives pour balayer les anciennes institutions parlementaires et de wilayas marquées par le sceau de l'illégitimité du régime Bouteflika.
Mais pour comme l'abstention est toujours puissante, la crédibilité de ces scrutins et projets électoraux est gravement discréditée. D'où l'idée de réfléchir sur une nouvelle option : imaginer une loi qui rendrait le vote obligatoire en Algérie. Et pour ce faire, les responsables du ministère de la Justice algérien veulent s'inspirer des lois en vigueur en Turquie ou en Egypte.
En effet, dans plusieurs pays à travers le monde, les législateurs ont adopté l'obligation de se rendre dans les urnes sous peine d'amende. Le vote est ainsi obligatoire au Brésil, en Turquie, au Mexique, en Equateur, au Pérou, au Paraguay, au Panama, en Bolivie, en Argentine, au Costa Rica, au Honduras, en République Dominicaine, en Thaïlande, en Egypte, au Gabon, au Liban, ou encore en Australie. Dans ces pays-là les taux de participation avoisinent toujours les 80%. Et pour les citoyens qui ne se rendent pas aux bureaux de vote, les sanctions vont de l'amende à la déchéance des droits civiques ou sociaux.
Algérie Part
Au ministère de la Justice, un lobby formé par des hauts responsables qui gravitent autour du cercle restreint des collaborateurs les plus fidèles à Belkacem Zeghmati, l'actuel ministre de la Justice, travaillent discrètement sur un potentiel nouveau projet de loi qui vise à rendre le vote obligatoire en Algérie.
Ces lobbyistes ont des connections directes avec l'Etat-Major de l'ANP qui appréhende une forte abstention lors de la prochaine élection présidentielle du 12 décembre prochain puisque le Hirak, mouvement populaire algérien, rejette catégoriquement ces élections présidentielles au bout desquelles un nouveau Président de la République sera élu à la tête de l'Etat.
Il faut savoir que le pouvoir algérien envisage sérieusement d'organiser prochainement, à savoir après l'investiture du nouveau Président, de nouvelles échéances électorales avec notamment la dissolution du parlement au mois de février prochain et l'organisation de nouvelles élections législatives pour balayer les anciennes institutions parlementaires et de wilayas marquées par le sceau de l'illégitimité du régime Bouteflika.
Mais pour comme l'abstention est toujours puissante, la crédibilité de ces scrutins et projets électoraux est gravement discréditée. D'où l'idée de réfléchir sur une nouvelle option : imaginer une loi qui rendrait le vote obligatoire en Algérie. Et pour ce faire, les responsables du ministère de la Justice algérien veulent s'inspirer des lois en vigueur en Turquie ou en Egypte.
En effet, dans plusieurs pays à travers le monde, les législateurs ont adopté l'obligation de se rendre dans les urnes sous peine d'amende. Le vote est ainsi obligatoire au Brésil, en Turquie, au Mexique, en Equateur, au Pérou, au Paraguay, au Panama, en Bolivie, en Argentine, au Costa Rica, au Honduras, en République Dominicaine, en Thaïlande, en Egypte, au Gabon, au Liban, ou encore en Australie. Dans ces pays-là les taux de participation avoisinent toujours les 80%. Et pour les citoyens qui ne se rendent pas aux bureaux de vote, les sanctions vont de l'amende à la déchéance des droits civiques ou sociaux.
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