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Ettes Ettes (Dors, Dors)

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  • Ettes Ettes (Dors, Dors)

    Ettes Ettes (Dors, Dors) :« Dors, dors,
    Il n’est pas encore temps
    Ce n’est pas ton temps de parole
    Toi qui as perdu le sommeil


    C’est dans notre pays que tu le retrouveras
    Nous l’aimons il nous est bénéfique
    Ne t’avises pas d’enlever l’objet de notre détestation
    Qui veut se réveiller
    Nous le convions à dormir
    Et lui disons:
    Dors, Dors,
    Il n’est pas encore temps:
    La parole n’est pas à toi
    Levez-vous femmes kabyles
    Apportez-moi un rameau.
    D’où me l’apporterez-vous ?
    Apportez-le de La Mecque.
    Quiconque s’en éventera
    Sombrera dans un sommeil, d’où il ne s’éveillera pas.
    Dors, dors, il n’est pas encore temps
    Ce n’est pas ton tour de parole,
    Toi qui as perdu le sommeil…
    Plane vers Damas,
    Doux ramier, je te prie,
    Ramène le Talisman du sommeil,
    De qui a la lettre bien droite.
    Qui s’éveille, le trouvera à ses côtés,
    A sa seule vue tes yeux se referment.
    Dors, dors, il n’est pas encore temps,
    Ce n’est pas ton tour de parole,
    Toi qui a perdu le sommeil…
    Commence du fin fond de l’Egypte,
    Oiseau porte leur mon message.
    Dis leur : les caisses d’opium
    Que vous nous avez envoyées,
    Nous les avons reçues.
    Dis leur : bannissez toute inquiétude,
    Ceux que vous craignez sont tous endormis.
    Dors, dors, il n’est pas encore temps,
    Ce n’est pas ton tour de parole…
    Ils te bercent jusqu’à t’endormir,
    Te couvrent,
    Tout ce que tu désires existe
    En rêve tout est facile
    Refermes tes yeux et rendors toi,
    De peur que nous te réveillions.
    Dors, dors, il n’est pas encore temps,
    Ce n’est pas ton tour de parole.
    Toi qui a perdu le sommeil,
    Tu le retrouveras dans notre pays,
    Toi qui as perdu le sommeil »

    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Ait menguellet A ya Varwak

    dz(0000/1111)dz

    Commentaire


    • #3
      Azul Kamel de Tiaret,

      Est-ce que tu peux nous traduire à Yavarwaq et Savon n'thnache?

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      • #4
        Bonsoir Boubibtis

        elle est déjà traduite
        Ay avarwaq ( Ô asphodèle )

        Au retour, tout sera oublié
        Sauf ceux qui nous ont quittés
        Chaque année, on va pleurer
        Quand des fleurs leur seront portées.

        Si on te dit, il a fui
        Dis-leur qu'il s'occupe de lui
        S'il reste, on le sacrifie
        Son nom sera englouti


        On reviendra vers vous
        Comme le vent, ça va passer
        Si on reste avec vous
        On a peur d'être emportés
        Un jour, on revient
        Si on dort, on se souvient
        Impossible n'est pas
        Au réveil, on oubliera.

        Ô asphodèle, le temps pressant
        On se sépare, c’est le moment

        L’un avait dit, je vais rester
        Malade, il faudra la guérir
        L’un avait dit, je vais partir
        Une fois guérie, je reviendrai
        Qui ne sait pas, qui est-ce qui sait
        Les dits ont apporté cela
        Chacun sachant ce qu’il faudra
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Rouh adjiyi

          Elle vit qu’elle avait change
          Et au vent levé s’en alla
          Elle prit sur elle
          De rejeter tout son passé
          Oui va quitte-moi si tu es lasse
          Un jour viendra quelqu’un qui sera las de toi

          Tes idées ont changé je vois
          Tu as pris une voie nouvelle
          Est-ce en mieux ou en pire?
          L’avenir te le dira

          Pour ma part je ne t’en voudrai pas
          Va éprouver le vaste monde
          Tu peux prendre avec toi ce que j’ai (mes biens)
          Peut-être au soir te servira-t-il

          Je ne sais si ta quête sera longue
          Ou si la place est déjà prête
          Et si en route tu trébuches
          Ne crois pas tes peines finies

          Quand pour toi tu me vois pleurer
          Tu crois que tout le monde pleure
          Quand pour toi tu me vois conter
          Tu crois que tout le monde conte

          Ta chance brise les pierres
          Se fraie une voie dans les flots
          Mais ne pourra empêcher
          Ton cœur de se ressouvenir

          Quand tu auras changé de place
          Quelquefois interroge ton cœur
          Il te rappellera le passé
          Et tout ce que ta main à brisé

          Mais la nuit ramène la vérité
          Et tes souvenirs
          C’est quand le jour paraît
          Que sur toi retombe la nuit

          (Traduction par Tassadit Yacine)

          dz(0000/1111)dz

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