quatres saisons
ses sentiments sont ils une page qui saurait être tournée?
à la déclaration: je suis contente que tu ais tourné la page...
ses sentiments sont ils un début d'amitié dont on saurait se contenter?
à l'affirmation: nous sommes des amis...
celui qui part, m'échappe, me manque
qui me pèse, me bouffe, me lève
celui qui ne partira jamais assez loin pour ne pas revenir
ce brun qui m'embrume...
et le temps.
pauvre temps, qui dès le début, me l'avait faite
et ces circonstances.
pauvres circonstances, qui dès le début s'étaient soustraites
ni de témoin, ni de projet
aucune promesse, ni d'ailleurs aucune faiblesse
tout...tout nous sera commun
à nous autres, éternels et imparfaits
je t'aime
alors je décide de t'oublier
je t'aime
alors je décide de tout effacer
ces marques de toi sur moi
moi emprunt de toi
ton corps contre le mien
et tes yeux sur les miens
tes lèvres au baiser des miennes
et tes mains au toucher de moi
moi contre toi...
éternel bras de fer
deux qui ne savent pas aimer
qui se détestent de jouer à l'amour ou à ses sentiments
sans s'arrêter pour autant
je me serais désavouée, plutôt que te désaimer
ah...le bras de fer
deux lâches qui s'attirent et s'évitent
deux coeurs qui s'effritent
au contact de la fierté et de la timidité
ne plus oser.
ne plus ouvrir la porte à toutes ces évidences
ne plus s'user à les renier...ni leur laisser libre court
au diable l'amour! et au diable tout court...
maudites évidences
je ne trompe ni ne mens...
mais j'ai larmes et sentiments
chaque jour sans toi de passé
est un de gagné
mais chaque jour sans toi reste pensé
chacun...
toi madone de l'amour
m'en auras donné les plus beaux émois
toi...
ah....
complice de ma calice
sans délice ta douleur
édifice tombé
en ruines.
ses sentiments sont ils une page qui saurait être tournée?
à la déclaration: je suis contente que tu ais tourné la page...
ses sentiments sont ils un début d'amitié dont on saurait se contenter?
à l'affirmation: nous sommes des amis...
celui qui part, m'échappe, me manque
qui me pèse, me bouffe, me lève
celui qui ne partira jamais assez loin pour ne pas revenir
ce brun qui m'embrume...
et le temps.
pauvre temps, qui dès le début, me l'avait faite
et ces circonstances.
pauvres circonstances, qui dès le début s'étaient soustraites
ni de témoin, ni de projet
aucune promesse, ni d'ailleurs aucune faiblesse
tout...tout nous sera commun
à nous autres, éternels et imparfaits
je t'aime
alors je décide de t'oublier
je t'aime
alors je décide de tout effacer
ces marques de toi sur moi
moi emprunt de toi
ton corps contre le mien
et tes yeux sur les miens
tes lèvres au baiser des miennes
et tes mains au toucher de moi
moi contre toi...
éternel bras de fer
deux qui ne savent pas aimer
qui se détestent de jouer à l'amour ou à ses sentiments
sans s'arrêter pour autant
je me serais désavouée, plutôt que te désaimer
ah...le bras de fer
deux lâches qui s'attirent et s'évitent
deux coeurs qui s'effritent
au contact de la fierté et de la timidité
ne plus oser.
ne plus ouvrir la porte à toutes ces évidences
ne plus s'user à les renier...ni leur laisser libre court
au diable l'amour! et au diable tout court...
maudites évidences
je ne trompe ni ne mens...
mais j'ai larmes et sentiments
chaque jour sans toi de passé
est un de gagné
mais chaque jour sans toi reste pensé
chacun...
toi madone de l'amour
m'en auras donné les plus beaux émois
toi...
ah....
complice de ma calice
sans délice ta douleur
édifice tombé
en ruines.
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