On constate que sur toute la planète des Mouvements spontanés naissent afin de s'opposer au retour du fascisme qu'importe sa couleur (qu'il soit rouge (Hong-Konk, noir (Italie) ou vert (Iran), etc..etc
Prise de conscience des peuples et revivons-nous une nouvelle révolution des mentalités?
- Les «Sardines» vont se réunir à Rome samedi
Italie: Ce mouvement spontané, né il y a un mois à Bologne, se réunit pour la première fois dans la capitale italienne.
Les Sardines anti-fascistes manifestent samedi à Rome tout en s'interrogeant sur le devenir d'un mouvement qui veut «réveiller» la politique italienne, sans se transformer en un parti ni une organisation défendant une cause unique.
Ce phénomène est né il y a un mois à Bologne quand une manifestation organisée par quatre inconnus a rassemblé par surprise 15'000 personnes pour dénoncer le discours «de haine et de division» de Matteo Salvini, ex-numéro deux du gouvernement et chef de la Ligue (extrême-droite). Depuis, des dizaines de manifestations, rythmée par le chant des résistants Bella Ciao, ont rassemblé au total 300'000 personnes, à Milan, Florence, Naples ou Palerme.
(…).
Des bancs dans toute l'Italie
Comme les Sardines sont un mouvement spontané, Stephen n'avance pas de chiffres sur l'affluence de samedi et pour lui, «l'important c'est de voir plein de gens descendre dans la rue pour dire nous sommes lassés de cette culture de la haine». «Nous ne tolérons plus le langage raciste, fasciste, discriminatoire, sexiste». Il a subi lui-même menaces et insultes quand il a obtenu en juillet dernier que Facebook efface de la page «Salvini Premier ministre» des messages racistes.
24Heurs.ch (extraits).
Prise de conscience des peuples et revivons-nous une nouvelle révolution des mentalités?
- Les «Sardines» vont se réunir à Rome samedi
Italie: Ce mouvement spontané, né il y a un mois à Bologne, se réunit pour la première fois dans la capitale italienne.
Les Sardines anti-fascistes manifestent samedi à Rome tout en s'interrogeant sur le devenir d'un mouvement qui veut «réveiller» la politique italienne, sans se transformer en un parti ni une organisation défendant une cause unique.
Ce phénomène est né il y a un mois à Bologne quand une manifestation organisée par quatre inconnus a rassemblé par surprise 15'000 personnes pour dénoncer le discours «de haine et de division» de Matteo Salvini, ex-numéro deux du gouvernement et chef de la Ligue (extrême-droite). Depuis, des dizaines de manifestations, rythmée par le chant des résistants Bella Ciao, ont rassemblé au total 300'000 personnes, à Milan, Florence, Naples ou Palerme.
(…).
Des bancs dans toute l'Italie
Comme les Sardines sont un mouvement spontané, Stephen n'avance pas de chiffres sur l'affluence de samedi et pour lui, «l'important c'est de voir plein de gens descendre dans la rue pour dire nous sommes lassés de cette culture de la haine». «Nous ne tolérons plus le langage raciste, fasciste, discriminatoire, sexiste». Il a subi lui-même menaces et insultes quand il a obtenu en juillet dernier que Facebook efface de la page «Salvini Premier ministre» des messages racistes.
24Heurs.ch (extraits).
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