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il faut regarder devant maintenant
il faut regarder devant maintenant, et arrêter de s’entêter pour toutes les parties, dialoguer sur du vrai, des dossiers clairs, et disqualifier les politiciens professionnels, les comploteurs de tous horizons, et les nihilistes de tous poils, les jeunes doivent s'affirmer sans tutelles toxique, et saisir l'offre de dialogue, avant que les boutiques politiciennes ne sautent dessus, pour discuter strapontins et prébendes comme en 93 et le reste du temps.
Il y a maintenant un président de la République, libre aux politiciens de le contester ou de faire monter les enchères pour des fins qui n’intéressent qu'eux et leurs officines, le peuple dans sa composante juvénile et ses élites constructives, n'a pas à s'inscrire dans un processus sans issue, ni résultat autre que celui que les Urnes ont fait naître.
Mais à faire le point sur ses aspirations, ses visions et projections, pour une refonte salutaire de l’état, et mobiliser sur des projets politiques, à soumettre à discussions dans la société, et avec qui de droit, pour arriver à cette nouvelle république à laquelle aspirent les jeunes.
La politique, n'est pas question de folklore, ni de slogans, et encore moins de rumeurs et diffamations lancées de capitales étrangères par de sinistres individus, même si le gros des opposants vivant à l’étranger est étranger à cette qualification et parle pour le bien de son pays de naissance!.
C'est une question de vues convergentes et divergentes, avec comme point de mire unique le pays commun, et un avenir commun d'ou ne peuvent être exclus que ceux qui ont pour vocation à instaurer une dictature, ou un chaos, ou les autres sont exclus de facto.
J'avais déjà écrit que je discuterai avec le diable s'il propose un projet pour le pays, avec un plan précis pour le sortir de son enlisement, et il se trouve que présentement, il s'agit de discuter entre Algériens, en posant les problèmes, les doléances, les préalables, intéressant la société, et pas les clans aux prises pour leurs intérêts, ou des parties comme celles citées dans cette émission, dont l'agenda est tout sauf digne d’être discuté.
F.A.ALI
Il y a maintenant un président de la République, libre aux politiciens de le contester ou de faire monter les enchères pour des fins qui n’intéressent qu'eux et leurs officines, le peuple dans sa composante juvénile et ses élites constructives, n'a pas à s'inscrire dans un processus sans issue, ni résultat autre que celui que les Urnes ont fait naître.
Mais à faire le point sur ses aspirations, ses visions et projections, pour une refonte salutaire de l’état, et mobiliser sur des projets politiques, à soumettre à discussions dans la société, et avec qui de droit, pour arriver à cette nouvelle république à laquelle aspirent les jeunes.
La politique, n'est pas question de folklore, ni de slogans, et encore moins de rumeurs et diffamations lancées de capitales étrangères par de sinistres individus, même si le gros des opposants vivant à l’étranger est étranger à cette qualification et parle pour le bien de son pays de naissance!.
C'est une question de vues convergentes et divergentes, avec comme point de mire unique le pays commun, et un avenir commun d'ou ne peuvent être exclus que ceux qui ont pour vocation à instaurer une dictature, ou un chaos, ou les autres sont exclus de facto.
J'avais déjà écrit que je discuterai avec le diable s'il propose un projet pour le pays, avec un plan précis pour le sortir de son enlisement, et il se trouve que présentement, il s'agit de discuter entre Algériens, en posant les problèmes, les doléances, les préalables, intéressant la société, et pas les clans aux prises pour leurs intérêts, ou des parties comme celles citées dans cette émission, dont l'agenda est tout sauf digne d’être discuté.
F.A.ALI
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