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Saisie record de plus deux tonnes de haschich dans le sud de l'Algérie

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  • Saisie record de plus deux tonnes de haschich dans le sud de l'Algérie

    Bonjour

    ALGER (AP) - Plus de deux tonnes de kif traité ont été saisies jeudi au lieu dit En'Ghis, dans le département de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie, ont annoncé les douanes dimanche.

    Selon le communiqué, les agents de la brigade mobile de Tindouf ont tenté d'intercepter trois véhicules en provenance de la frontière algéro-marocaine, en direction de la Mauritanie.

    Après une course poursuite de plusieurs heures dans le désert, les douaniers ont stoppé un véhicule transportant 2.064kg de kif, d'une valeur estimée à plus de 82 millions de dinars algériens (environ 900.000 euros). Les deux personnes qui se trouvaient à bord ont été arrêtées.

    C'est la plus importante saisie de drogue depuis décembre 2003 lorsque des trafiquants avaient réussi à faire passer d'Algérie deux tonnes de résine de cannabis avant d'être arrêtés à Marseille. AP

  • #2
    2 Tonnes, et si les frontières avec sont ouvertes

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    • #3
      2 Tonnes, et si les frontières avec sont ouvertes
      il y aura du bon business

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      • #4
        Ce n est que le bout de l icberg, carles douanes et l armee marocaines ferment les yeux sur ce trafic, qui a etait boucler et verouiller vers l europe via tangeret autres.
        Alors reste l autre rive facile, l algerie, comment des personnes qui utilisent les routes les plus semsibles pour les marocains et ce dans le sud, avec la menace du polisario et des terroristes peuvent ils traverser cette zone, avec aisance et facilite, de plus que la circulation dans cet axe etvite reperer.
        Oui la reponse les algeriens la connaisse.

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        • #5
          Revolutionna

          Redescend sur terre Ce qui pousse au Maroc pousse aussi en Algérie.....même climat et même terre. Déjà que les temps sont durs tu ne crois pas qu'ils sont stupides au point de tenter de passer autant de frontières ; quoi que avec un bon bakchiche on peut en passer des frontières mais qui sont les plus corruptibles ?????
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            2 Tonnes, et si les frontières avec sont ouvertes
            ça sera le tsunami !!

            Heureusement que l'Etat Algérien n'est pas dupe.

            Déjà avec la frontière fermée et on subit tellement de préjudices de la part de ce royaume.

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            • #7
              @mendz
              wa 3i6 w fi6 a chafi6 les trafficants de drogues n'ont rien a foutre que la frontiere soit fermée ou pas,s'il fallait faire passer 500tonnes de cannabis ils l'auraient fait,il suffit de donner 120000da au garde frontiere algerien(10 fois son salaire),il y a des complices au sein meme de la guardia civil espagnol qui est un corps d'elite,on dirait que tu ne lis pas les journaux,ahhhhh si tu connaissait la mafia du nord du maroc!!!!!!!!

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              • #8
                ca me fait vraiment rire ca, des gens qui parlent de frontieres dont ils ne connaissent absolument. Je vous explique une chose, de part leur geographie les frontieres maroco-algeriennes sont une passoire, frontiere fermee, frontiere ouverte, qu'il pleuve ou qu'il neige, je connais des gens qui habitent a Nador, lorsqu'ils veulent aller voir leur famille en Algerie, ils paient le passeur, ils disent que ca coute moins cher que de prendre l'avion de casa. Alors si M. lambda peut traverser sans etre intercepte, les traficants de drogue n'en parlons meme pas...

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                • #9
                  Redescend sur terre Ce qui pousse au Maroc pousse aussi en Algérie.....
                  Zwina, si tu connais une région en Algerie où 72.000 hectares (soit l'équivalent de 150.000 terrains de foot) sont dédiés à la cuture du Haschich... je suis tout ouie.

                  Pour ce qui est de la frontière, c'est la seule parade trouvée pour freiner (un tant soit peu) ce fléau. Les choses sont disproportionnées, un corps d'état (les gardes frontières) contre un état producteur et la maffia sous-jacentes.

                  J'ai bien envie d'utiliser un terme que j'ai récusé hier. Soyons soft, c'est le début de la journée.

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                  • #10
                    72.000 hectares

                    Il faut toute une armé et ya rabi c’est choquons vraiment surtout que le royaume ne fait rien il a des gardes au frontière lui aussi non mais mais apparemment sa fé parti de l’économie marocaine
                    Il vaut mieux être quelqu’un pendant un jour que d’être personne pendant tout une vie

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                    • #11
                      ALGER (AP) - Plus de deux tonnes de kif traité ont été saisies jeudi au lieu dit En'Ghis, dans le département de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie, ont annoncé les douanes dimanche.
                      c'est pas sympa ça qu'est ce que je vais fumer ce mois-ci?

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                      • #12
                        Vous n'avez pas honte de tenter de justifier l'injustifiable ??!!!!

                        Drogue : le Maroc premier exportateur africain
                        Premier exportateur marocain

                        dimanche 2 mars 2003

                        Le Maroc serait le premier pays exportateur de drogue selon plusieurs études internationales. Dans le royaume, la question reste complètement taboue. Le cannabis rapporterait aux trafiquants près de deux milliards de dollars. Un million de Marocains vivrait des revenus de la drogue.
                        De notre partenaire L’Economiste.

                        Les rapports se multiplient sur la drogue, en particulier sur le premier producteur africain qui est... le Maroc ! Mais au Maroc même, le sujet est tabou. Les Nations unies, elles-mêmes, viennent de sortir leur rapport annuel, le 26 février dernier. Dans ce rapport annuel de l’OICS (Organe international de contrôle des stupéfiants), le cannabis continue d’être "cultivé illicitement à grande échelle au Maroc". Les données des Nations Unies confirment les analyses réalisées par l’Observatoire international de la criminalité de l’Université belge de Louvain, qui lui aussi dit que le Maroc est devenu le premier producteur.

                        Mutisme des autorités

                        Mais essayez de confirmer ou d’infirmer ces données auprès des services marocains ! Personne pour répondre. La Douane ? "Ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant..., ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant... ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant...". Au bout d’un moment, fatigué d’attendre, vous raccrochez. A la Régie des Tabacs ? "Vous devez nous écrire selon la voie hiérarchique pour contacter les responsables. " A la Gendarmerie royale, le gentil gendarme, qui répond aux questions, avait l’air de ne pas savoir qu’il existait un service spécialisé.
                        Tout le monde est très gentil mais la protection des informations est absolue. Absolue ? Pas tout à fait, l’Agence du Nord, qui a plus le sens du service aux citoyens, répond. Le rapport de l’ONU analyse la situation mondiale en matière de contrôle de drogue. Objectif : tenir les autorités nationales informées des problèmes réels et potentiels qui risquent de compromettre la réalisation des objectifs des traités internationaux relatifs au contrôle de drogue. C’est lui qui met le Royaume du Maroc en haut de la liste africaine, comme premier producteur et premier exportateur.

                        " Principale activité agricole du Rif "
                        Un autre rapport réalisé en février 2002 par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies dresse un bilan alarmant sur le trafic du cannabis au Maroc. En effet, selon ledit rapport, « environ 90% du haschisch saisi en Europe en 1999 provenait du Rif marocain où il constitue la principale activité agricole ». Les aléas climatiques sont des facteurs déterminants dans la production du cannabis. Selon l’Observatoire géopolitique des drogues (OGD), les superficies pour l’année 95 étaient de 79.846 ha. Ceci avait été plus ou moins reconnu par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Driss Basri. Il avait même donné une évaluation de l’argent mobilisé dans les réseaux du cannabis marocain : 2 milliards de dollars, soit 20 milliards de DH environ.
                        Les autorités marocaines avaient entrepris diverses démarches pour obtenir de l’aide de la part du l’Union européenne et des pays membres, pour lutter contre la drogue. La récolte d’argent avait été mince, infiniment plus mince que les revenus tirés de la drogue, non pas par les agriculteurs, mais par les intermédiaires. Le rapport de l’ONU souligne d’ailleurs que les pays consommateurs tirent 98% des revenus de la drogue, alors que les pays producteurs doivent se contenter du reste.

                        « Cultures industrielles ! »
                        En 2000, et selon des données rendues semi-publiques par le ministère de l’Agriculture marocain, le cannabis figurait sous la rubrique « Cultures industrielles » : cela ne s’invente pas !
                        Les cultures ont atteint 90 000 hectares, en l’an 2000. Quant aux quantités de haschisch produites, l’OGD fournit différents chiffres se basant sur des études réalisées par des pays concernés. Le voisin espagnol fait état de 1 750 tonnes, le département d’Etat des Etats-Unis 2 000 t. Pour l’Observatoire de la criminalité, basé à l’Université de Louvain, les chiffres sont plus alarmants. Ces recherches font état de 200.000 ha en culture au cours de l’année 2001-2002 (...) Ces données ont été rendues publiques lors du World Economic Forum à Davos.
                        Les saisies en Europe ces dernières années se situent autour de 700 t. Quant aux familles concernées par cette culture, le nombre est effrayant. L’unique source d’argent de plus de 200.000 familles provient directement du haschisch, soit 1 million de personnes. L’agronome espagnol, Pascual Moreno, note une grande différence des bénéfices que génère la culture du cannabis entre paysans et grands trafiquants.

                        En 1997, la somme a atteint plus de 1,8 milliard de dollars. Basri l’avait d’ailleurs « officieusement » confirmé. Or, les paysans n’encaissaient que 13% de cette somme. Bon nombre de trafiquants marocains disposent de la nationalité espagnole et opèrent à l’étranger puis rapatrient leurs profits au Maroc : il n’y a pas de législation qui oblige les banques à déclarer les mouvements suspects de fonds. Pas besoin de grande sophistication pour blanchir l’argent sale. Pour rendre le blanchiment encore plus facile, le Maroc a une forte économie souterraine, dans laquelle il est aisé de faire disparaître puis réapparaître l’argent suspect (...)

                        Hayat KARIM ALLAH
                        Dommage qu'on a pas un état responsable mais un gigantesque cartel de drogue comme voisin.
                        On dois toujours etre vigilents et jamais tranquille avec un régime royal mafieux pareil.

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                        • #13
                          t'inquietes mendz toufik mediene et smail lamari veillent.
                          sur leurs affaires bien sur

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                          • #14
                            t'inquietes mendz toufik mediene et smail lamari veillent.
                            sur leurs affaires bien sur
                            C'est tout ce que tu trouve à dire ?? C'est hors sujet.

                            Ne parle pas de ce que tu connais pas.

                            Au moins eux ne submergent pas un pays voisin avec tout ce qui est illicite et interdit.

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                            • #15
                              Selon le commandant Tobji, si Mohammed VI a pu se débarrasser sans grande difficulté de l’ancien ministre de l’Intérieur Driss Basri, il éprouverait de grandes difficultés à le faire avec le général Housni Benslimane.
                              Selon des extraits publiés sur un site Internet (Bakchich), le roi Mohammed VI aurait déclaré à des proches que les Généraux «Benslimane, Kadiri et Bennani... ressemblent à un plateau de table posé sur un trépied que je suis incapable de déplacer. Pauvres tewfik et Smain ( au sens propre du terme) qui sont des enfants de coeur et des mendiants devant leurs homologues
                              officiers marocians. Comme je le dis toujours " il faut balayer devant sa porte avant celle du voisin".

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