20 décembre 2019 - 19h30
En transitant par les enclaves espagnoles, Sebta et Melilla, les nouveaux cartels algériens de la cocaïne entrent en concurrence avec le principal fournisseur du marché marocain, le dénommé « la Scie », et provoquent un branle-bas chez les services de sécurité marocains qui ignorent tout de leur mode opératoire.
Depuis des semaines, le trafic de cocaïne dans les deux présides a été complètement chamboulé par l’arrivée des trafiquants originaires d’Algérie, dont la poudre blanche attire une forte demande de par sa qualité.
En provenance d’Afghanistan et du Nigéria, la poudre, appelée « Étoiles », est acheminée en grande quantité dans les canots de la mort vers les deux cités espagnoles, avant d’être écoulée au Maroc par le biais de nombreux intermédiaires.
Auparavant, les trafiquants avaient l’habitude d’envoyer leurs marchandises en France et en Italie, mais les récents changements politiques dans les présides ont attiré un nombre important de réseaux de trafic de drogue dans la région.
Les cartels algériens sont généralement secondés par des intermédiaires espagnols ou marocains porteurs de la double nationalité, dont la majorité font l’objet de mandats d’arrêt internationaux et traînent de lourds antécédents judiciaires.
Bladi
En transitant par les enclaves espagnoles, Sebta et Melilla, les nouveaux cartels algériens de la cocaïne entrent en concurrence avec le principal fournisseur du marché marocain, le dénommé « la Scie », et provoquent un branle-bas chez les services de sécurité marocains qui ignorent tout de leur mode opératoire.
Depuis des semaines, le trafic de cocaïne dans les deux présides a été complètement chamboulé par l’arrivée des trafiquants originaires d’Algérie, dont la poudre blanche attire une forte demande de par sa qualité.
En provenance d’Afghanistan et du Nigéria, la poudre, appelée « Étoiles », est acheminée en grande quantité dans les canots de la mort vers les deux cités espagnoles, avant d’être écoulée au Maroc par le biais de nombreux intermédiaires.
Auparavant, les trafiquants avaient l’habitude d’envoyer leurs marchandises en France et en Italie, mais les récents changements politiques dans les présides ont attiré un nombre important de réseaux de trafic de drogue dans la région.
Les cartels algériens sont généralement secondés par des intermédiaires espagnols ou marocains porteurs de la double nationalité, dont la majorité font l’objet de mandats d’arrêt internationaux et traînent de lourds antécédents judiciaires.
Bladi
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