- Des levées d'immunité inquiètent la Suisse et l'ONU
Mercredi à Genève, la haut-commissaire aux droits de l'homme a dénoncé le «harcèlement continu» contre le président autoproclamé Juan Guaido.
Lundi, l'Assemblée constituante vénézuélienne, favorable au gouvernement du président Nicolas Maduro, avait retiré leur immunité à plusieurs députés de l'opposition, majoritaires à l'Assemblée nationale.
Désormais, trente opposants sont visés par ces restrictions, a déploré Michelle Bachelet devant le Conseil des droits de l'homme. De son côté, la Suisse a relevé qu'elle restait «gravement préoccupée» par ces levées «continues» d'immunité.
La plupart de ces parlementaires sont poursuivis pour des accusations de tentative de coup d'Etat contre Nicolas Maduro. Parmi eux figure Juan Guaido, reconnu comme chef de l'Etat par des dizaines de pays. Selon Michelle Bachelet, l'année 2020 sera «cruciale» dans le contexte de la crise politique dans ce pays.
Elle appelle à garantir les libertés fondamentales pour des législatives «crédibles» fin 2020. Plus largement, depuis août, les accusations d'exécutions extrajudiciaires perpétrées par une unité d'élite de la police se poursuivent-.
TDG.Ch
Mercredi à Genève, la haut-commissaire aux droits de l'homme a dénoncé le «harcèlement continu» contre le président autoproclamé Juan Guaido.
Lundi, l'Assemblée constituante vénézuélienne, favorable au gouvernement du président Nicolas Maduro, avait retiré leur immunité à plusieurs députés de l'opposition, majoritaires à l'Assemblée nationale.
Désormais, trente opposants sont visés par ces restrictions, a déploré Michelle Bachelet devant le Conseil des droits de l'homme. De son côté, la Suisse a relevé qu'elle restait «gravement préoccupée» par ces levées «continues» d'immunité.
La plupart de ces parlementaires sont poursuivis pour des accusations de tentative de coup d'Etat contre Nicolas Maduro. Parmi eux figure Juan Guaido, reconnu comme chef de l'Etat par des dizaines de pays. Selon Michelle Bachelet, l'année 2020 sera «cruciale» dans le contexte de la crise politique dans ce pays.
Elle appelle à garantir les libertés fondamentales pour des législatives «crédibles» fin 2020. Plus largement, depuis août, les accusations d'exécutions extrajudiciaires perpétrées par une unité d'élite de la police se poursuivent-.
TDG.Ch
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