Avec le décès de GS, un des pilliers du régime vient de s'écrouler, le régime était déjà boiteux depuis au moins 2013, il perdait successivement ses jambes en bois les unes derrières les autres, gangréné par des affaires d'argent et des luttes intestines, il continue encore à utiliser ses béquilles mais comme prévu il n'a pas lâché le morceau.
Il est à peu près sûr aujourd'hui, qu'à l'issue des élections truquées, qui mis sur le trône un président dont le fils est en prison accusé dans plusieurs affaires de stupéfiants, la lutte intestine a eu raison d'un des têtes (peu importe, crise cardiaque, glissade dans la salle de bain, etc). On ne peut pas exclure que le hirak du peuple algérien a joué un rôle dans la mort de ce que le régime présente comme un héros national.
Une page est tournée, et je reste persuadé que la lutte pour la liberté a commencé après le 12 décembre, et qu'ils ne lâcheront pas de sitôt, car ils sont encore nombreux à vouloir traire le lait qui reste encore de les mamelles de cette Algérie.
Tahya El Djazair.
Il est à peu près sûr aujourd'hui, qu'à l'issue des élections truquées, qui mis sur le trône un président dont le fils est en prison accusé dans plusieurs affaires de stupéfiants, la lutte intestine a eu raison d'un des têtes (peu importe, crise cardiaque, glissade dans la salle de bain, etc). On ne peut pas exclure que le hirak du peuple algérien a joué un rôle dans la mort de ce que le régime présente comme un héros national.
Une page est tournée, et je reste persuadé que la lutte pour la liberté a commencé après le 12 décembre, et qu'ils ne lâcheront pas de sitôt, car ils sont encore nombreux à vouloir traire le lait qui reste encore de les mamelles de cette Algérie.
Tahya El Djazair.
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