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Doing Business : Le Maroc de plus en plus proche du Top 50

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  • Doing Business : Le Maroc de plus en plus proche du Top 50

    Le Maroc est en passe d’intégrer le top 50 des meilleures économies mondiales qui contribuent à l’amélioration du climat des affaires d’ici 2021. Cette avancée intervient après sa progression de 7 points dans le classement Doing Business 2020.

    Aligné à la 53e place sur 190 pays dans le classement, le Royaume a réussi à faire un saut de 75 places, grâce à la mise en œuvre d’un ensemble de 31 réformes en 10 ans. Ceci a permis de démontrer sa force à servir de levier pour l’attraction des investissements étrangers dans le Royaume.

    Avec l’édition 2020 du rapport, qui couvre l’année 2019, le Maroc maintient sa 3e position en Afrique et se classe au 3e rang des pays de la Région MENA. Ces réformes ont permis au Maroc d’être propulsé de 27 places en un an dans le classement au titre de l’Indicateur de protection des investisseurs minoritaires, passant du 64e au 37e rang, soit un bond spectaculaire de 128 places depuis 2010.

    Selon la Map, cette bonne performance s’explique par l’adoption d’une série de mesures et réformes importantes liées aux affaires et aux activités des entreprises au Maroc, et qui s’inscrivent dans le cadre du programme de travail du Comité national de l’environnement des affaires (CNEA).

    Au nombre des réformes qui ont contribué à cet important bond, on peut citer les amendements des lois N° 17.95 et 5.96 sur les sociétés, l’indicateur du « raccordement à l’électricité », l’indicateur d’exécution des contrats, l’indicateur du « Commerce transfrontalier », l’amélioration des délais de traitement des opérations et le renforcement de la transparence et l’indicateur « Paiement des taxes et impôts ».

    Fort de ces avancées, le Maroc est en bonne voie pour la réalisation de l’objectif fixé par le programme gouvernemental visant à faire intégrer le pays parmi les 50 meilleures économies du monde en matière d’amélioration du climat des affaires d’ici à 2021, précise la même source.

  • #2
    Certes, mais concentrer le développement sur le Maroc "utile" et en tirer les indicateurs pour en faire vitrine internationale c'est pas un peu risqué ?
    J'aime surfer sur la vague du chaos.

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    • #3
      Ce classement est bon..cela dit, il y n'y a pas eu une augmentation spectaculaire des IDE, qui restent respectables au niveau africain mais modestes si on les compare aux vrais pays émergents au niveau mondial.....qu'est ce qui cloche?

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      • #4
        les marocains sont tres intelligents et travailleurs ils meritent d etres classés parmis les meilleurs MAIS ils leur manque de l argent ET AUTRE CHOSES .... TOUT LE MONDE N EST PAS PARFAIT

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        • #5
          plus il s approche du top 50 des criteres capitalistes
          plus il coule dans le classement du pnud

          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Certes, mais concentrer le développement sur le Maroc "utile" et en tirer les indicateurs pour en faire vitrine internationale c'est pas un peu risqué ?
            Les réformes qui ont permis cette progression environ 31 réformes selon l'article, s'appliquent à l'ensemble du pays sans aucune exception !

            Pour ce qui est des investissements c'est très bien concernant le Maroc si on compare aux pays africains et au voisins mais ça reste modeste en comparaison aux pays émergents.
            Dernière modification par LockDown, 26 décembre 2019, 08h48.

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            • #7
              a mon avis M+A+T+L peuvent former un ensemble cohérent et PLUS QUE FAVORABLE AU DEVELOPPEMENT DES PAYS ET DES PEUPLES .

              a condition de travailler AVEC COMME BOUSE DE TRAVAIL GAGNER SUR L EMPLOI .................

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              • #8
                Maintenant qu'on y est presque, l'important serait de se maintenir dans ce pleton de tête.

                L'avancée dans ce classement devrait se traduire par une augmentation dans les flux d'IDE entrants sur les courts/moyen termes.

                Sur les 3 à 5 prochaines années on doit pouvoir recolter les premiers fruits.

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                • #9
                  Maintenant qu'on y est presque, l'important serait de se maintenir dans ce pleton de tête.

                  L'avancée dans ce classement devrait se traduire par une augmentation dans les flux d'IDE entrants sur les courts/moyen termes.

                  Sur les 3 à 5 prochaines années on doit pouvoir recolter les premiers fruits.
                  il faudrait libéraliser le dirham pour attirer davantage d'ide.

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                  • #10
                    il faudrait libéraliser le dirham pour attirer davantage d'ide.
                    Graduellement sur une dizaine d'années, la oui. Ils ont commencé avec 5% pour donner confiance aux investisseurs.
                    Il faut se méfier de la libéralisation rapide, l'exemple égyptien est là pour nous montrer l'exemple. Le Dirham est une monnaie forte qui stabilise l'économie notamment les fondamentaux. un Dirham fort permet de réduire l'impact de la facture énérgétique, principale facture qui plombe la réserve de devise.
                    Il ne faut pas imiter le glissement incontrôlé et la dévaluaton importante de monnaies comme la livre égyptienne, le dinar tunisien ou encore le dinar algérien.

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