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Sahara Nememcha à Khenchela : Prémices du mégaprojet de mise en valeur de 16 000 ha

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  • Sahara Nememcha à Khenchela : Prémices du mégaprojet de mise en valeur de 16 000 ha

    L’eau pour redonner vie à la Sahara "miyta"

    PUBLIE LE : 26-12-2019
    Avec une production de 5.000 quintaux de céréales sur 1.000 hectares, réalisée en 2019 dans le cadre du méga chantier de mise en valeur de 16.000 ha de l’entreprise Cosider-agriculture, au périmètre Kerkit-Sfiha à Babar dans le Sud de Khenchela, au Sahara de Nemamcha, les prémices d’un projet augurant richesse et prospérité sont de plus en plus palpables. Ici, au Sahara (qu’on appelle à tort) "miyta" (morte), à 150 km du chef-lieu de wilaya, les champs d’or d’épis de blé mûrs enchantent les initiateurs de ce projet et confortent leur détermination à défier la cruauté des conditions de vie et des caractéristiques peu enviables de la terre et de son sol sablonneux. L’expérience, la première du genre dans cet immense étendu du désert a permis de créer 100 postes d’emploi au profit des jeunes des communes de Babar, El Mehmel et Ouled Rechache et tous les indices relèvent que le chiffre sera revu à la hausse au fur et à mesure de l’entrée en exploitation des 1.500 autres hectares du projet de mise en valeur versé aussi dans l’arboriculture et la culture fourragère.

    L’eau pour redonner vie à la Sahara "miyta"

    Pour M. Bouzid Sadam-Hocine, directeur du projet Cosider-agriculture au périmètre Kerkit Sfiha, l’entreprise a bénéficié de plusieurs facilités accordées par les deux directions locales des services agricoles et des ressources en eau lui ayant permis durant la première saison de mettre en exploitation 23 puits profonds tandis que 10 autres forages se trouvent actuellement en phase de fonçage pour être prêts à la prochaine saison agricole.
    L’entreprise a procédé dans la cadre de la mobilisation des ressources hydriques nécessaires à la réalisation de 7 bassins d’une capacité de 20.000 m3 équipés de station de pompage assurant un débit de 150 litres/seconde, a indiqué le même cadre. Les ingénieurs en hydraulique et agronomie de l’entreprise exploitent présentement 36 pivots d’irrigation à travers les 6 unités de ce périmètre du Sahara des Nememcha et chaque pivot assure l’arrosage de 40 hectares, a ajouté M. Bouzid. Pour faciliter les déplacements entre les unités de ce périmètre de concession agricole, Cosider-agricole a aménagé 20 km de pistes principales et 16 km de pistes secondaires, selon encore la même source.
    Le raccordement du périmètre à l’électricité rurale élargira la surface cultivée. Le directeur de Cosider-agricole à Khenchela a souligné en outre que bien que le périmètre de Kerkit Sfiha ait été raccordé sur 23 km au réseau d’électricité agricole à la faveur de la coordination entre la direction de wilaya de l’énergie et des entreprises Sonelgaz et Karhrif, le non raccordement de parties intérieures du périmètre, des pivots d’irrigation et des stations de pompage a affecté l’optimisation de la production. "Le non acheminement durant la première saison de l’électricité aux zones mises en valeur du périmètre a eu pour effet d’augmenter les coûts de production liée à la location de groupes-électrogènes pour 40 millions DA et la consommation de 593.000 litres de carburant", a noté le même responsable.
    Les unités exploitées du périmètre sur 2.240 hectares devront toutefois être reliées au réseau d’électricité courant janvier 2020 après l’achèvement récent par Kahrif de la pose des pilons électriques, a relevé le même cadre qui a prévu des résultats positifs pour l’actuelle saison agricole en rapport à la baisse des coûts. M. Bouzid a ainsi prévu d’améliorer la production céréalière dans le Sud de la wilaya de Khenchela en quantité et qualité pour atteindre un rendement de 40 quintaux à l’hectare en attendant le lancement prochain du projet de culture intensive d’oliviers sur plus de 700 hectares actuellement préparé, a-t-il assuré, avec grands soins par les cadres de Cosider-agricole.
    el moudjahid
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Avec une production de 5.000 quintaux de céréales sur 1.000 hectares, réalisée en 2019
    5 quintaux par hectare est un rendement particulièrement bas qui ne se produit pas même en cas d'extrêmement sécheresse dans le nord.

    Produire du blé en zone désertique c'est une pure connerie beaucoup de pays ont essayé et abandonner il est bien plus rentable de produire des légumes et des fruits sous serres.

    Une tonne de blé vaut environ 180 euros la tonne.

    100 hectares ne pourront rapporter à peine plus de 9000 euros sur un an ! Si on rapporte ça au temps et au nombre d'employés on voit bien que le projet ne sera jamais rentable.

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    • #3
      Produire du blé en zone désertique c'est une pure connerie beaucoup de pays ont essayé et abandonner il est bien plus rentable de produire des légumes et des fruits sous serres.
      Ça va juste épuiser la nappe phréatique.
      Et puis ce genre de méga projet d'agriculture intensive est anti écologique : épuisement des nappes, appauvrissement et pollution des terres. L'Algerie a toujours un train de retard, a l'heure où dans les pays avances on retourne vers des productions artisanale et sans pesticide après des décennies d'agriculture intensive, la on fait un type d'agriculture dépasse.
      Dernière modification par snake78, 26 décembre 2019, 17h14.
      "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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      • #4
        Avec une production de 5.000 quintaux de céréales sur 1.000 hectares, réalisée en 2019
        5000 quintaux pour 1000 hectares, correspond à 5 quintaux par hectare

        Alors la moyenne mondiale est à 35 quintaux
        par hectare !!

        Il y a un problème là.
        je crois plus que c'est une erreur de journaleux !
        Dernière modification par Pomaria, 26 décembre 2019, 18h07.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Les fortes températures sahariennes poussent le blé à une maturation rapide elles ne laissent pas le temps aux épis de développer des grains qui pourraient grossir lentement et prendre du volume après je ne parle même pas de la salinisation des sols qui au bout de quelques années empêche toutes productions.

          Il faudrait prendre exemple sur ce qui se fait au Maroc ou en Espagne. Il faut réserver les zones les plus tempérées pour les céréales. Pour les zones arides il faut favoriser la culture des fruits et des légumes sous serre.

          L'expertise algérienne au niveau agricole est très défaillante. Je ne sais pas comment sont formés les agronomes algériens mais la culture du blé en milieu saharien est à proscrire pour des raisons écologiques, économique et de bon sens.

          Avant d'envisager des cultures agricoles non adaptées à ce milieu il faut changer le climat de la région et le seul moyen efficace à long terme c'est le reboisement à grande échelle avec des essences multiples qui par évaporation naturelle à grande échelle contribuera à modifier le climat durablement.

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          • #6
            je crois plus que c'est une erreur de journaleux
            exact . un journaleux qui ne maitrise pas sont sujet ..

            si a adrar l'exploit de deux recolte annuel a ete atteint . que dire de khenchla qui est loin d'etre un desert au sens propre du mot ..

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            • #7
              Du blé en plein désert c'est une absurdité sans nom !

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              • #8
                Khenchela (en berbère: Xencelt ; en arabe: خنشلة), antique Mascula2, est une commune d'Algérie et le chef-lieu de la wilaya de Khenchela. Située dans les Aurès, elle se trouve à 1122 mètres d'altitude moyenne. La population de la ville est d'environ 108 580 habitants lors du dernier recensement de 2008.



                Géographie
                Localisation
                Le territoire de la commune de Khenchela est situé au nord de la wilaya de Khenchela, à 470 km à l'est d'Alger et 100 km à l'est de Batna.

                Rose des vents Constantine 138 km Oum El Bouaghi 56 km Meskiana 62 km
                Ain Beida 47 km Rose des vents
                Batna 105 km N Tebessa 102 km
                O Khenchela E
                S
                Biskra 190 km Babar 31 km Ouled Rechache 26 km
                Communes limitrophes
                Communes limitrophes de Khenchela
                El Hamma El Hamma, Baghai Baghai
                El Hamma Khenchela Baghai, Ensigha
                El Hamma El Hamma, Ensigha Ensigha
                Relief, géologie, hydrographie

                La ville de Khenchela est construite au pied des contreforts du massif de l'Aurès, elle est dominée à l'ouest par le mont Ras Sardhoun à 1263 mètres. À l'est, elle est bordée par l'Oued Baghaï.

                Climat
                Relevés de la station météorologique d'El Hamma (période : 2002-2011)
                Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
                Température minimale moyenne (°C) 1,8 5,2 7,3 8,8 10,9 15,9 18,9 18,1 15,1 12,2 6,2 3,1 10,2
                Température moyenne (°C) 6,5 9 14,9 17,4 17,8 23,3 26,9 25,2 21,5 17 12,1 7,4 16,6
                Température maximale moyenne (°C) 11,2 12,8 22,5 26 24,4 30,8 34,9 33,6 27,8 22,7 18,1 11,7 23
                Précipitations (mm) 31,9 31,6 35,1 48,9 27,7 28,5 25,5 22 38,9 41,4 32,7 41,8 406,1
                Source : THESE - Contribution à l’étude du comportement écophysiologique du genre Tamarix dans différents biotopes des zones arides de la région de Khenchela - Université Mentouri Constantine - KHABTANE Abdelhamid - pages 32 [1] [archive]
                Diagramme climatique
                J F M A M J J A S O N D
                11,21,831,9
                12,85,231,6
                22,57,335,1
                268,848,9
                24,410,927,7
                30,815,928,5
                34,918,925,5
                33,618,122
                27,815,138,9
                22,712,241,4
                18,16,232,7
                11,73,141,8
                Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm
                Voies de communication et transports
                Routes
                La commune est traversée par trois routes nationales, RN32, RN80 et RN88 de six directions différentes.

                Une rocade à double voie de 11 km contourne la ville du nord au sud en arc de cercle par l'est.

                Un premier tronçon de 100 km de l'Autoroute des Hauts Plateaux est en construction entre Batna et Khenchela depuis 2014.

                Train
                Khenchela était desservie par train dès 1905 par un embranchement depuis Ain Beida mais la ligne a été abandonnée dans les années 1970.

                Aéroport
                La ville ne possède pas d'aéroport mais se trouve à 100 km des aéroports internationaux de Batna et Tebessa.

                Il y avait un aéroport militaire jusqu'en 1968 mais celui-ci a disparu au profit de celui d'Oum El Bouaghi situé à moins de 60 km.

                Toponymie
                La ville est appelée Khenchela du nom de la fille de la reine Dihya (Kahena). Khenchela est dite aussi Khenshala ou Hansala selon les documents. Khen ou Hen signifie colombe, oiseau ou poule, et Chela, Shala ou Sala signifie la paix. Khenchela signifie la messagère de la paix.

                Histoire
                2017-fr.wp-orange-source.svg
                Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (juin 2017).
                Antiquité
                Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
                Statue de la Reine guerrière Kahena
                Statue de la Reine guerrière Kahena à Baghaï
                Mascula est une ancienne capitale militaire de la Numidie du sud ou Numidia Militaria, elle fut toujours le siège de combats et de guerres dans les Aures avec les Romains. À la fin du ve siècle, le djebel Djaafa était le château du roi Iaudas. Au début du viie siècle, face à l'arrivée des Arabes, Baghaï bâtit le château de la Kahena.

                Présence turque
                Les Amamras de la Région de Khenchela, détenant le contrôle du passage des Hauts Plateaux aux parcours sahariens, ce fut une source de conflits avec les Haraktas, les Segnias et les Nemanchas. Conflits se traduisant par des affrontements sanglants aux point d'eau comme l'a révélé le charnier découvert à la source d'Aïn Tamaiourth à l'occasion de la construction de la route du sud.

                XIXe siècle
                L'armée française atteignit Khenchela en 1850 après de violents combats et une résistance des plus ardues et mit en place une administration militaire. Des travaux d'organisation de la ville furent entrepris. Les premiers colons français furent autorisés à partir de 1878. Des fermes furent construites et des plantations effectuées. La vallée de l'Oued Boughegal débroussaillée et déroncée donna naissance à des prairies naturelles, permettant l'élevage de bovins et l'alimentation de la population en produits laitiers frais (lait, beurre, fromage).

                En octobre 1905, l’inauguration de la ligne du Chemin de fer d'Aïn Beïda à Khenchela à voie métrique va assurer un service journalier avec le Nord du pays. L'administration militaire dura jusqu'en 1912.

                En 1982, un charnier comprenant plus de 1200 cadavres, datant de la guerre d'Algérie y est découvert. Il serait le plus important jamais découvert en Algérie. Les autorités et la presse algérienne l'attribuent à l’armée française. D'autres y voient un massacre de harkis commis après l'indépendance. Pour l'historien Guy Pervillé, aucune preuve incontestable n’a été trouvée, « ni à l’appui d’une thèse, ni à l’appui de l’autre » tout en regrettant qu'aucune analyse n’ait été faite sur les restes humains pour tenter de dater le massacre3.

                Depuis, la population a augmenté particulièrement vite : 12 000 habitants en 1954, 28 000 en 1962, 70 000 en 1987, 87 196 en 2002. Cette augmentation s'explique en partie par des déplacements de population pendant la guerre d'Algérie, la région étant un lieu de refuge pour les combattants. Ceci a posé et continue de poser des problèmes d'urbanisme (logement, eau, égouts, électricité).

                Démographie
                Pyramide des âges
                Pyramide des âges de la commune de Khenchela en 2008 en pourcentage4
                Hommes Classe d’âge Femmes
                0,18
                85 ans et +
                0,16
                0,24
                80 à 84 ans
                0,26
                0,54
                75 à 79 ans
                0,48
                0,71
                70 à 74 ans
                0,69
                0,84
                65 à 69 ans
                0,9
                0,88
                60 à 64 ans
                0,98
                1,68
                55 à 59 ans
                1,53
                2,18
                50 à 54 ans
                2,05
                2,51
                45 à 49 ans
                2,65
                3,18
                40 à 44 ans
                3,17
                3,15
                35 à 39 ans
                3,34
                3,68
                30 à 34 ans
                3,92
                4,81
                25 à 29 ans
                4,73
                5,45
                20 à 24 ans
                5,31
                5,51
                15 à 19 ans
                5,39
                5,29
                10 à 14 ans
                5,08
                4,66
                5 à 9 ans
                4,38
                4,92
                0 à 4 ans
                4,55
                0,02
                nd
                0,03
                Graphique de l'évolution démographique
                Population de la commune de Khenchela de 1901 à 20085
                1901 1954 1977 1987 1998 20026 2008
                35 000 12 200 50 300 69 700 86 600 87 196 108 580
                Économie
                La population active est évaluée à 40 % de la population totale : 41 % dans l'agriculture, 10 % dans l'industrie, 11 % dans les travaux de bâtiment, 38 % dans les services.

                La ville dispose d'une usine d'armement léger qui dépend du ministère de la défense, l'Entreprise de construction mécanique de Khenchela (ECMK).

                Enseignement
                Université
                L'université Abbès Laghrour de Khenchela compte 12000 étudiants et 6 facultés :

                la faculté des sciences et de technologie (6 départements : génie civil, sciences et techniques, génie mécanique, mathématiques et informatique, génie industriel et enfin les sciences de la matière)
                la faculté de droit ;
                la faculté des sciences de la nature et de la vie ;
                la faculté des lettres et langues ;
                la faculté des sciences économiques ;
                la faculté des sciences sociales.
                Actuellement, le nombre d'enseignants est de 540 dont 157 de la faculté des sciences et de technologie.

                Patrimoine
                Article détaillé : Aquae Flavianae.
                Les Romains, grands amateurs de bains, virent immédiatement le potentiel de cette région. On leur doit, entre autres, le Hammam Essalihine et le Hammam el Knif. Le Hammam Essalihine, situé à 1068 mètres d'altitude à l'ouest de Kenchela, consiste en deux grandes piscines alimentées par une source d'eau chaude (76 °C) à la base du versant nord du Ras Serdoun. Le Hammam Knif, au nord-est, sur le flanc du Krouma, exploite un puits naturel d'où sort un air chaud et sec à plus de 50 °C.

                La ville de Cedias située près de Tazougart, abrite un mausolée datant de plus de 16 siècles.


                La mosquée Ben Badis (L'ancienne église).



                Hammam Essalhine au fond des Aurès.


                La piscine circulaire Hammam essalhine khenchela aures.jpg

                Bain romain de Khenchela.jpg

                Khenchela-2.jpg
                Sport
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                Culture
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                Personnalités liées à la commune
                Le docteur Albert Barraud, résistant français, y est né en février 1907.
                Le rappeur et chanteur L'Algérino est originaire de Khenchela.
                Notes et références
                « Wilaya de Khenchela : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion » [archive]. Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
                Kh Mansouri, « Khenchela. (antique Mascula) », dans Encyclopédie berbère, Éditions Peeters, 1er juin 2005 (ISBN 9782744905384, lire en ligne [archive]), p. 4234–4236
                A propos de l’énigme de Khenchela (1982-....) (2009) [archive], Guy Pervillé, guy.perville.********, 2 février 2009
                Communes de wilaya de Khenchela — Population résidente par age et par sexe [archive]. Consulté le 23 février 2012.
                (en) historical demographical data of the urban centers [archive]
                (en) Population des communes d'Algérie [archive] sur le site Statoids
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  Du blé en plein désert c'est une absurdité sans nom !

                  goulnalek ce n est pas le desert
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Oui si tu veux c'est en pleine zone steppique des hauts plateaux. C'est une région aride ou il fait en moyenne plus de 22°c des le mois de Mars avec des précipitations mensuelles qui ne dépasse pas le 50 mm.

                    Géographiquement on est pas au Sahara mais climatiquement on y est !

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                    • #11
                      Désert Algérien cultivable: L'exemple de Oued SOUF.

                      En céréaliculture, le rendement, entre 30 et 90 quintaux par hectare

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                      • #12
                        90 quintaux par hectare !

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