Ce système incompétent et corrompu navigue à vue, il prend des décisions de manière cavalière sans en mesurer les conséquences.
Un exemple parmi d'autres.
On ne peut pas gérer un pays de 44 millions avec ce je m'en foutisme, avec de l'à peu près...
Ceux qui soutiennent ce régime réveillez vous!!!!
Un exemple parmi d'autres.
L’Algérie est passée à deux doigts d’une grave crise économique qui aurait pu provoquer une pénurie de produits alimentaires ou pharmaceutiques, en tout cas de première nécessité, en raison d’un nouveau règlement bancaire étonnamment insensé. En effet, tout a commencé le 30 septembre dernier lorsque l’ABEF (association des banques algériennes) a annoncé les nouvelles barrières aux importations prises par le Ministre des finances. Ces nouvelles mesures concernent la règle Incoterms “FOB (Free on Board)” et le recours au différé de paiement de 9 mois sont obligatoires sur les produits de la téléphonie et de l’électroménager exportés en pièces détachées ou en kit en vue d’assemblage en Algérie.
La note a indiqué que « les importateurs doivent recourir, en priorité, aux capacités nationales de transport maritime », d’où l’Incoterm FOB imposé aux exportations vers l’Algérie. Il obligera le destinataire algérien à organiser le transport principal et à payer le fret maritime en dinar. Objectifs : promouvoir l’utilisation de la flotte maritime nationale, réduire le recours aux moyens de transport étrangers en vue de réduire les dépenses en devises pour aider à l’importation de produits de première nécessité, notamment infantiles.
Le 3 décembre dernier, ces nouvelles barrières ont été étendues à l’ensemble des exportations à destination de l’Algérie. Et depuis cette date-là, ces nouvelles mesures ont jeté un froid sur les échanges entre les armateurs et fournisseurs étrangers avec l’Algérie, déjà mis à mal par l’obligation de bloquer 120 % des achats sur un compte en banque et autres exigences documentaires déjà en vigueur. En plus, ces Les compagnies maritimes algériennes ont-elles la capacité d’absorber de tels flux ? Malheureusement, non !
La note a indiqué que « les importateurs doivent recourir, en priorité, aux capacités nationales de transport maritime », d’où l’Incoterm FOB imposé aux exportations vers l’Algérie. Il obligera le destinataire algérien à organiser le transport principal et à payer le fret maritime en dinar. Objectifs : promouvoir l’utilisation de la flotte maritime nationale, réduire le recours aux moyens de transport étrangers en vue de réduire les dépenses en devises pour aider à l’importation de produits de première nécessité, notamment infantiles.
Le 3 décembre dernier, ces nouvelles barrières ont été étendues à l’ensemble des exportations à destination de l’Algérie. Et depuis cette date-là, ces nouvelles mesures ont jeté un froid sur les échanges entre les armateurs et fournisseurs étrangers avec l’Algérie, déjà mis à mal par l’obligation de bloquer 120 % des achats sur un compte en banque et autres exigences documentaires déjà en vigueur. En plus, ces Les compagnies maritimes algériennes ont-elles la capacité d’absorber de tels flux ? Malheureusement, non !
Ceux qui soutiennent ce régime réveillez vous!!!!
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