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Le pouvoir algérien a un plan pour stabiliser sa situation et faire régénérer le régime

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  • Le pouvoir algérien a un plan pour stabiliser sa situation et faire régénérer le régime

    Plusieurs informations recoupées montrent que le pouvoir algérien a désormais un plan pour stabiliser sa situation et faire régénérer et pérenniser le régime.

    Premièrement si le pouvoir, incarné alors par le général Ahmed Gaïd Salah, a déployé tous ses efforts pour « légitimer » les institutions, c’est pour reprendre en main la situation. C’est le seul moyen qui lui permettait de reprendre le contrôle de la situation. C’était donc une première étape incontournable.

    Deuxièmement, l’enjeu désormais pour le pouvoir consiste à faire cesser les marches hebdomadaires qui, en l’absence de structuration, d’une véritable élite et d’une proposition politique forte sont en train de se laisser vider de leur substance initiale. Cette non structuration du mouvement, encouragée d’ailleurs par tous les agents visibles et invisibles du régime, est un atout pour le pouvoir. En face de lui, il y a un peuple qui ne manifeste plus. Il y a des gens qui marchent avec des slogans, non traduits politiquement. Ce qui arrange, je le répète, les affaires du régime.

    Troisièmement, les événements grave survenus le vendredi 27 décembre, notamment à Annaba, Bordj Bou Arreridj notamment, sont la suite logique de ce qui s’est produit deux semaines auparavant à Oran. Le régime, à travers notamment la police politique, injecte dans les marches des voyous et des agents provocateurs chargés de provoquer des troubles, des agressions et des violences de basse intensité. L’objectif étant de faire rentrer chez eux les familles, les femmes, les mères de famille, les jeunes enfants et les cadres, en somme la classe moyenne, peu encline à l’affrontement. Il est question pour le régime d’ôter le caractère pacifique des marches.

    Quatrièmement, les semaines à venir vont montrer que les signes de la division vont s’accentuer. D’abord entre les partis politiques, ceux qui veulent négocier et ceux qui refusent d’aller à la négociation, ce qui, espère le régime, se traduira dans le mouvement de contestation par d’autres divisions que le pouvoir se chargera d’amplifier.

    Cinquièmement, le pouvoir entend aussi favoriser des petits dérapages pour créer des situations semi-chaotiques, hors de la capitale (notamment Oran, Sétif, Mostaganem, Relizane, Annaba, Jijel etc) pour justifier de nouvelles arrestations et des mesures sécuritaires mais aussi pour dégrossir les rangs des manifestants.

    Sixièmement, le pouvoir compte utiliser la situation internationale, notamment les menaces (réelles) qui pèsent sur l’Algérie notamment au niveau de la frontière sahélienne et de la frontière algéro-libyenne qu’il va amplifier à l’envi. Il entend jouer sur le sentiment nationaliste et le manipuler. Connaissant la rue algérienne et sa perméabilité aux discours populiste aux relents nationalistes, il sait que cette situation lui sera bénéfique.

    Septièmement, le pouvoir a commencé à user de sa capacité corruptrice. D’abord en direction de certains leaders de partis. Certains se voient déjà proposer des macarons ministériels. Quelques barons locaux en région qui ont de l’influence sur la rue se voient proposer des privilèges économiques ou économiques. En somme l’ancienne clientèle du régime et en concurrence avec tous ceux qui veulent aussi leur part du gâteau. Des mesures - type Ansej - en direction des jeunes permettront de calmer une partie de la jeunesse.

    En définitive, le pouvoir table sur la logique du détricotage non sans s’allier au temps. Chaque jour qui passe est désormais en sa faveur. Pendant que la rue vocifère, le pouvoir place ses pions.

    Par conséquent, si je dis les choses franchement - et parfois brutalement - c’est pour inciter les Algériens à réagir s’ils veulent vraiment provoquer un réel changement en profondeur et atteindre l’aspiration démocratique.

    S’ils ne s’organisent pas. S’ils ne portent pas la cause algérienne devant les instances internationales, si la diaspora ne se mobilise pas davantage et ne se structure pas, si l’élite continue de se confiner dans sa lâcheté habituelle en somme, si chacun n’assume pas son rôle historique, ce mouvement formidable né en février 2019 est condamné à mourir. Et il n’aura même pas droit à des funérailles nationales comme Gaid Salah.

    PS : ce mouvement qui doit être uni ne doit pas être uniforme. L’uniformité c’est le fascisme et le populiste, l’unité entre plusieurs pôles idéologique c’est le patriotisme et la démocratie.

    Certains me posent la question. Comment faire ? Voilà un exemple
    Par conséquent, ceux qui se reconnaissent dans le corpus démocratique, peuvent commencer par créer un mouvement national. Type, Mouvement du changement démocratique en Algérie. Faire une assemblée générale, ramener des gens de tout le pays, louer ou se faire prêter une salle, faire une assemblée générale, faire élire un bureau et un président. Et ainsi concevoir une plate-forme. Recruter des militants. Faire signer la plate-forme à un maximum d’Algériens, faire jonction avec la diaspora. Avoir des délégués dans toutes les régions etc.

    Mohamed Sifaoui
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    Ce n'est pas son premier plan de mutation depuis le 22 02 2019

    "...ce mouvement formidable né en février 2019 est condamné à mourir..."

    Le Hirak pacifique a été condamné plusieurs fois à mourir comme par exemple après que le pouvoir mafieux ait décidé de mettre son candidat Bouteflika à la retraite puis en été 2019. Il y a insistance à vouloir le condamner à mourir même depuis la France. Le pouvoir mafieux a été humilié le 05 juillet 2019 après le premier test d'élections programmées en juillet 2019. Puis malgré un été long et chaud, avec toujours des pessimistes dont Sifaoui qui prédisaient la fin du Hirak, et plusieurs mois pour préparer la mascarade d'élections, le 1er novembre et surtout les 12 et 13 décembre le pouvoir mafieux a eu sa plus grosse défaite depuis 1962. Le Hirak termine l'année 2019 avec détermination au lendemain du décès de G-S. Il commencera l'année 2020 encore plus fort. Le vendredi 21 février 2020 le Hirak sera toujours là. C'est un long duel.

    Beaucoup de personnalités et de manifestants ont été mis en prison sans être des représentants et le Hirak s'est toujours renforcé.

    Mohamed Sifaoui peut montrer l'exemple s'il tient beaucoup à la représentativité surtout avec la diaspora. Le danger diffamations menaces de divisions est surtout là.
    Dernière modification par panshir, 28 décembre 2019, 20h07.

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    • #3
      Une compagne d'INTOX se déroule actuellement sur les réseaux sociaux contre le HIRAK

      Une compagne d'INTOX se déroule actuellement sur les réseaux sociaux contre le HIRAK

      D'ailleurs, regardez quels messages et comment les services d'INTOX veulent véhiculer à travers les agressions de ce VENDREDI contre LE HIRAK cette semaine
      A notez que ces vidéos de propagandes datent du 27 et 28 Décembre.


      ** Celui qui vous protégeait, le chahid GAID SALAH est parti, "Bandes de Zouaves" :


      ** La chasse aux zouaves / harkis est ouverte en Algerie !


      ** Sétif- les zouaves viré manu militari par les citoyens


      ** Alger - les citoyens reprennent la rue et vire les zouaves


      ** Les citoyens reprennent la rue et vire les zouaves
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Coup de gueule de l'activiste de Touggourt Abela Kemari sur la stratégie diabolique du régime pour diviser les algériens, au risque de provoquer des affrontements voir pire, une guerre civile. Stratégie héritée du système colonialiste avec la devise "diviser pour régner"
          #Algerie

          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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          • #6
            Bonjour

            Si je fais un bilan de ce que c'était la feuille de route du pouvoir :

            1- Transférer le combat de la liberté et l'état de droit vers une bataille d'identité et d'idéologie.
            2- Période de transition :
            --a) gérée par le pouvoir lui même, chose qui était rejetée.
            --b) A travers des élections : Or, une transition d'une dictature vers une démocratie doit se faire par un consensus et non par une concurrence.
            3- Les victoires précipitées, destitution de Bouteflika et la pseudo victoire du 12/12 fêtée le jour de l'enterrement de Gaid Salah.
            4- Le pseudo mendjel pour acquérir des alliés telque les badissia.
            5- politique de la répression en mettant les jeunes innocents en prison et des figures politiques susceptibles d’être des leaders populaires.
            6- Verrouillage médiatique.
            7- Crier à l’ingérence tout en rendant des compte à leur maîtres de l’étranger.
            8- Payer les mouches électroniques et ramener les gens par bus pour manifester et remplir les salles.
            9- Envoyer les baltagia.
            Ce qui en ressort est que le pouvoir est réellement en guerre contre le peuple, ou du moins la grande partie du peuple qui espèrent la dignité et la souveraineté.

            Le Hirak ne doit pas cesser ... Il faut que Ibassiw bina.

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            • #7
              Bonjour Phileas

              Phileas
              Ce qui en ressort est que le pouvoir est réellement en guerre contre le peuple ...

              Tout à fait.

              Ca devient de plus en plus clair et il ne s'en cache plus maintenant avec les insultes, les accusations mensongères, la repression tout azimut dans les médias à sa solde !
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                encore de la lecture qui va dans le même sens ( ce n'est pas de moi, mais ça reste interessant à rajouter aux débats )




                Les contre-manifestations leur sens et leurs risques


                Ceux qui ont pris la décision de recruter des « mercenaires » pour briser le Hirak dans les villes de Constantine, Annaba, Tiaret etc… se sont engagés sur une voie extrêmement dangereuse pour la stabilité du pays, éloignant un peu plus la solution politique, la seule possible et raisonnable pour mettre fin à la crise actuelle. Visiblement le scénario concocté par les officines était partout le même, il répond à une stratégie de contre-manifestation usant de vieilles ficelles, de méthodes éculées, mais aux conséquences totalement imprévisibles. De quoi s’agit-il.
                A Constantine aujourd’hui, vers 14 h un bus à ramené un groupe de jeunes, entre 25 et 45 ans , cheveux bien coupés, taille athlétique, pour les déposer près d’El Khalifa, en plein centre-ville. Ce groupe occupe la placette de la maison de la culture, lieu symbolique d’où le Hirak prend habituellement son départ, c’est aussi un lieu de débat et de discussions. Dès leur arrivée les mercenaires se mettent à scander le slogan « Armée-Peuple Khawa Khawa et El Gaid Salah avec les Chouhadas ». Quelques minutes plus tard les manifestants commencent à arriver, ils encerclent les mercenaires et les submergent physiquement et par leurs cris. Les mercenaires se dispersent , pour se reconstituer plus loin le long de la rue Boudjeriou sur le trajet du Hirak, pour se remettre à la tête de la marche en scandant leurs slogans. C'est la confusion totale. Les marcheurs les repoussent , tel un raz de marée qui se déverse et entreprennent de mieux s’organiser, ils constituent un cordon de sécurité autour de la marche, avancent plus lentement laissant un espace vide avec les mercenaires pour les isoler totalement.
                La marche se fait plus déterminée, les slogans fusent violents, des yous-yous provoquent une extraordinaire émotion parmi les marcheurs. C’est alors que des mercenaires se mettent à lancer des pierres, à insulter, à donner des coups cherchant visiblement à provoquer une réaction violente des marcheurs. Les très nombreux policiers en civil et en tenue présents sur les lieux refusent d’intervenir. Quand les manifestants les interpellent, ils restent de marbre, pourtant la situation est de plus en plus électrique. Ce jeu va continuer durant deux heures.
                Un ’hélicoptère ne s’est pas arrêté de tournoyer au-dessus de la ville rappelant que tout cela se déroule sous l’œil bienveillant des maîtres de l’heure.
                Que retenir de tout cela :
                1- Le pouvoir a donc décidé de briser par la violence le Hirak, en faisant intervenir des mercenaires en petit nombre, certes mais extrêmement déterminés. Rien, ne dit que ce n’est pas là une expérimentation pour tester un mode opératoire appelé à prendre plus d’ampleur
                2- Ces contre-manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de l’intérieur . En épargnant Alger et les villes de Kabylie, le Pouvoir semble avoir pour objectif d’abord d’éteindre le Hirak dans la périphérie. En second lieu ce sera Alger. Il ne s’attaquera pas à la Kabylie pour mieux l’isoler et la laisser seule dans le Hirak.
                La tactique des contremanifestations
                3- Occuper les espaces libérés par le Hirak et qui sont devenues symboliques
                4- Semer la confusion et le trouble dans les esprits
                5- Pour cela reprendre les mêmes chants , les mêmes slogans du Hirak ;, mais en les détournant en faveur de Tebboun, de Gaid Salah etc…
                6- Enfin singulariser les marcheurs en les qualifiant de Zouaves….
                Les objectifs à atteindre pour casser le Hirak
                7- Semer la peur, le trouble pour faire perdre au Hirak sa convivialité pour ...
                8- Pousser les femmes , les personnes fragiles et les indecis à quitter le Hirak
                9- Réduire ainsi de semaines en semaines le nombre de manifestations jusqu’à épuisement.
                En s’attaquant aux villes de l’intérieur, le Pouvoir veut isoler Alger et ensuite la Kabylie, quitte à laisser le Hirak dans cette région pour valider sa propagande selon laquelle le Hirak serait exclusivement d’émanation régionale.
                Quelle a été la réaction des manifestants et qu’est-ce qu’elle laissent présager ?
                1- La population ne s’est pas associée aux mercenaires et ils sont restés isolés, ce qui démontre s’il en était besoin l’origine téléguidée de l’opération.
                2- Les manifestants ont compris la nécessité de se protéger en organisant service d’ordre, ce qui avait manqué jusque-là.
                3- Les attaques des mercenaires ont provoqué un supplément de détermination chez les marcheurs ;
                4- Enfin parmi les manifestants, sont apparus des éléments extrêmement décidés et prêts à en découdre. La Silmiya a montré ses limites dans un contexte de provocation.

                Si le Pouvoir persiste dans cette démarche en renouvelant ces attaques, il risque effectivement d’atteindre en partie son but, mais du même coup cela risque d’entrainer une radicalisation des éléments les plus engagés du Hirak. Cette radicalisation peut prendre différentes formes, y compris des formes violentes. Le ressenti qui a prévalu aujourd’hui parmi les manifestations, c’est de la colère mêlée à un sentiment de « Hogra » . Les hélicoptères dans le ciel, la police tout autour et des mercenaires provocateurs agissant en toute impunité… c’est très dur à supporter. Or les manifestants, par leur nombre et leur détermination auraient pu n’en faire qu’une bouchée de ces mercenaires, s’ils ne l’ont pas fait c’est grâce à l’intervention des vieux et des plus sages. Cette retenue devant l’injustice, à donner au Hirak d’aujourd’hui une dramatisation sans pareille.
                Ceux qui ont donné les ordres pour opérer ces contre-manifestations ont fait un calcul périlleux. Briser le Hirak par la terreur risque de conduire à une radicalisation aux risques incommensurables. Cela ne réglera pas la crise, mais accentuera les facteurs déstabilisants de la société et du pays. Briser le Hirak c’est tuer l’espoir de changement né avec le 22 février. Le désespoir n’est pas un bon conseiller, ni même un bon remède pour remettre le peuple au travail. La confiance dont manque outrageusement le nouveau Président , ne fera qu’empirer si celui-ci ne se démarque pas publiquement de ce qui vient de se passer et s’il ne prend pas immédiatement des décisions à même d’ouvrir une voie vers une solution réelle, honnête et crédible à la crise.


                sources : Arab Izarouken, Historien
                Dernière modification par tizi oualou, 29 décembre 2019, 10h55.

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                • #9
                  Mohamed Sifaoui
                  On veut relancer le maitre du "qui tue qui" .

                  Marginaliser en France , il essaie de reprendre pied .

                  Article complétement débile . Sans tête ni queue .

                  S'en servir pour les toilettes .
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #10
                    Le pouvoir est, contrairement à ce qui est dit très fragilisé.

                    C'est pour cela qu'il se retourne vers ses copains clampins voyous.

                    Pourtant il a pris le risque que cela se voit.

                    Car vu leur niveau d'instruction, ils sont faciles à repérer.....

                    Pendant 10 mois, le système a essayé de garder une image de répression gallek mesurée (comparaison aux gilets jaunes...)

                    Chengriha nous est présenté de 2 manières contradictoires :

                    1) très méchant pour faire peur
                    2) parfois très gentil pour amadouer. (Semmar nous dit par exemple qu'il était contre la répression et les emprisonnement)
                    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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                    • #11
                      on ne peux pas donner les adjectif ( forts ou fragilisés ) pour un pouvoir tel que celui de l'algérie
                      il est au de la de cette fausse idée qu'on doit absolument le voir en fort, en faible ou en voie de faiblesse

                      d'une, Sifaoui ( que je ne respecte pas ) son profil ouvertement sioniste, son attachement plus à la france qu'a son pays d'origine ne plaide pas en sa faveur pour étre écouté ( c'est pas une accusation, il l'avait dit lui meme, et il est seulement respectable pour cette seule vérité )
                      donc, sa voix ne compte pas, il n'est pas un simple émigré, il est un des "pions" ou des "arabes de service' qu'on utilise en france, systeme de bachagas et d'indigènes qu 'on connais trop bien

                      ceci dit, sifaoui dit quelques vérité, ca serait le comble s' il se trompe sur toute la ligne, il n'est pas la pour ça

                      oui le régime algérien est machiavélique ( comme celui de la france avec ses gilets jaunes, en gros ses pauvres)

                      à la différence près, que l'algérie risque l'éclatement imminent en mille morceaux, alors que la france a encore une petite chwiya de distance avant d'exploser à son tour,
                      rassurant non ? lol
                      Dernière modification par tizi oualou, 29 décembre 2019, 13h00.

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