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Tebboune reçoit Benbitour

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  • Tebboune reçoit Benbitour

    Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a reçu, ce dimanche 29 décembre, l’ancien Premier ministre Ahmed Benbitour, a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.

    La rencontre a permis d’évoquer la situation globale du pays, la situation économique et les perspectives d’un travail visant à mobiliser les compétences nationales pour asseoir les bases de la nouvelle République, selon la même source.


    TSA

  • #2
    Hachmou i9oulou il lui a claqué la porte au nez ?
    La mer apportera à chaque homme des raisons d'espérer , comme le sommeil apporte son cortège de rêves C.C.

    Commentaire


    • #3
      Plus de 30 personnalités réunies à Genève exigent le « départ des symboles restants du pouvoir déchu »

      Dans une déclaration rendue publique aujourd’hui par l’association Algériens sans frontières (ASF), qui a organisé une conférence qui a rassemblé des experts, des intellectuels, des personnalités politiques, des militants associatifs et des citoyens algériens, le 9 & 10 novembre 2019 à Genève (Suisse) dans le but d’échanger des points de vue sur les solutions possibles de sortie de crise, plus de trente personnalités nationales ont signé une déclaration dans laquelle ils demandent le « départ des symboles de l’ancien Système. »

      Pour la première fois depuis l’indépendance, en l’honneur, pour mémoire et dans le respect des valeurs de l’appel du 1er novembre 1954, des citoyens algériens d’Algérie et du monde entier, se sont réunis dans le seul souci de l’avenir de la patrie et pour une Algérie algérienne, État de droit, de démocratie et d’égalité sociale.
      Les conférenciers ont exposé et soumis à débat, dans une parfaite symbiose patriotique, leurs propositions de sortie de la crise multidimensionnelle que vit l’Algérie depuis le 22 février 2019.

      Conscients des enjeux, animés par l’intérêt suprême du pays et soucieux de sa stabilité et de son unité, les conférenciers ont exprimé chacun à sa façon leur conviction que l’avenir démocratique du pays ne passe pas par une élection présidentielle imposée d’autorité à un peuple qui la rejette. Le peuple algérien, au demeurant source de toute souveraineté, est échaudé par les manipulations électorales. Il est conscient que la solution imposée annonce la reconduction d’un système dont on voit, chaque jour qui passe, les tares et les turpitudes qui sont le contraire même du progrès social, de la démocratie et de la stabilité du pays.

      Fidèles aux valeurs du 1er novembre 1954 dont se revendique avec force le mouvement populaire depuis plusieurs mois, les conférenciers croient avec une forte conviction que la sortie de crise passe par une période de transition qui permettra au pays de résoudre ses problèmes, en vue d’une refondation de l’Etat et de la nation sur des bases nouvelles saines unitaires et démocratiques.

      Pour les modalités pratiques de la transition et de la sortie de crise, plusieurs solutions ont été proposées : passage à une assemblée nationale constituante, une convention nationale d’ou émergera une autorité de transition, une conférence nationale souveraine ou la mise sur pied d’une haute instance politique sous la forme d’un directoire national souverain de transition.

      Quelque soient leurs formes, les institutions de transition mettrons en place les conditions d’un renouveau politique, terreau indispensable à l’émergence des nouvelles instances légitimes auxquelles reviendra la responsabilité de définir un nouveau projet de société, qui répondra aux aspirations de la nation algérienne.
      Pour ce faire, une période de transition est incontournable, avec un «directoire national souverain de transition », constitué de personnalités consensuelles et dont le principal but sera d’aller vers des élections libres et transparentes à tous les niveaux de gouvernance.
      Un travail d’envergure devra être réalisé durant cette période, et par étapes :
      Réconcilier le peuple avec le politique:

      Il faut rétablir la confiance entre la population et les nouveaux dirigeants de la transition. Pour ce faire, les mesures d’apaisement et de bonne foi suivantes devront être entreprises :

      • Le départ des symboles restants du pouvoir déchu.
      • La libération immédiate et sans condition des détenus d’opinion.
      • Le respect du droit constitutionnel de manifester pacifiquement.
      • L‘instauration sans condition de la liberté d’expression et la liberté de la presse.
      • L’invitation à un dialogue sérieux et responsable avec les partis de l’opposition, les personnalités politiques, la société civile, les associations notamment celles émanant du Hirak et les syndicats.

      Écrire les feuilles de route pour les différents volets de la transition:
      • Organisation des élections législatives.
      • La mise en place d’un programme pour la refondation de l’État, basé sur la participation et le traitement égal de tous les citoyens, chacun dans son domaine de prédilection, par la promotion des compétences nationales.
      • Révision de la constitution consacrée essentiellement à la protection des valeurs nationales, des libertés individuelles, à la séparation des pouvoirs et régissant les responsabilités des personnalités occupant de hautes fonctions. Les articles établissant une discrimination quelconque entre algériens en Algérie et algériens vivant à l’étranger, doivent être abrogés.

      L’achèvement de la transition :
      Organiser une élection présidentielle, transparente et libre.
      A l’issue de cette Conférence Algérienne de Genève, organisée par « Algériens Sans Frontières », l’ensemble des participants ont convergé vers la nécessité d’une période de transition, qui s’accorde avec les revendications du peuple algérien et qui est la meilleure solution pour aller vers une nouvelle république démocratique, dans le respect de l’unité et de la stabilité du pays.

      Les concertations se poursuivent entre les participants à la conférence algérienne de Genève pour déterminer et implémenter des actions communes dans le but de construire une Algérie démocratique.

      Signataires : (par ordre alphabétique):
      Abidi Hasni, Professeur, Global Studies Institute- Université de Genève.
      Achi Habib, Ancien magistrat & doctorant.
      Aït-Mansour Hamid, Diplomate.
      Aggoun Redha Chawki, Doctorant, Collectif des Alpes Maritimes.
      Ammar-Khodja Youssef, Activiste politique indépendant.
      Amokrane Djaffar, Journaliste.
      Atek Mustapha, Médecin psychiatre.
      Belhocine Lachemi, Avocat.
      Benaissa Mohamed, Master en science politique & militant droit de l’homme.
      Benhacine Mohamed, Administrateur Réseau.
      Ben Bitour Ahmed, Ancien premier ministre, économiste.
      Ben Guesmia Chafik, Journaliste.
      Bourezak Rym, Chirurgien cardiaque.
      Bengramez Aoutef, Médecin.
      Benzaghou Othmane, Conseiller en Stratégie d’entreprise.
      Mustapha Debieb, Retraité, Collectif des Alpes Maritimes.
      Derdiri Zina, Entrepreneur.
      Djilali Bachir, Médecin vétérinaire.
      Guemmar Reza, Chef de projet, neveu de Krim Belkacem.
      Hamdi-Pacha Kamel, Enseignant.
      Kadri Malika, Enseignante, Collectif des Alpes Maritimes.
      Laibi Salim, Médecin dentiste et auteur.
      Lehachi Soumeya, Enseignante.
      Ledjiar Mohamed, Ingénieur.
      ALGERIENS SANS FRONTIERES www.algerienssansfrontieres.com
      Maarfia Fayçal, Entrepreneur et auteur.
      Maiga Hind Amira, Physiothérapeute.
      Mehenni Hamid, Gastro-entérologue.
      Mohand Saidi Nordine, Infirmier anesthésiste.
      Magherbi Wahid, Journaliste, Editeur-en chef de la Voix du Maghreb, Canada.
      Naas Halima, Enseignante.
      Radjef Tarek, Ingénieur Retraité,- fils du Moudjahid Belkacem Radjef 1er conseiller de Messali Hadj-.
      Radjef Patrick, Trésorier FFA, -fils du Moudjahid Belkacem Radjef 1er conseiller de Messali Hadj-.
      Rouibah Hicham, Chercheur.
      Reikibi Youcef, Infirmier anesthésiste.
      Sadoudi Mouloud, Ingénieur de conception
      Tariket Zohra, Assistante de direction.


      Publié Ie 23 novembre 2019

      Par Bouzid ICHALALENE
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        benbitour chargé de la revision constitutionnel?
        avec un panel de la societe çivil et de la communaute universitaire pour sa redaction ce serai un pas en avant en direction du hirak et il ne resterai que 9 autres

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        • #5
          Hachmou i9oulou il lui a claqué la porte au nez ?
          C'est ta lecture, moi, je dis qu'il a repondu à l'appel.

          Commentaire


          • #6
            Benbitour a donné à TEBBOUNE sa vision des choses,
            et a surtout a refusé tout poste dans l'exécutif.

            Et il a entièrement raison. Car ce pouvoir n'a strictement AUCUNE LEGITIMITE et est totalement soumis AUX MILITAIRES.

            Que ce POUVOIR ILLEGITIME commence d'abord à libérer tous les détenus politiques, avant de décider quoique ce soit avec le HIRAK.

            Dans l'immédiat, ce POUVOIR MAFFIEUX fait :

            - de la répression tout azimut,
            - de la baltagias,pour terroriser le HIRAK
            - la division des algériens pour casser le HIRAK
            - les mensonges et les INTOX qui continuent.

            Dernière modification par Pomaria, 29 décembre 2019, 19h48.
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #7
              Benbitour a donné à TEBBOUNE sa vision des choses,
              Il a repondu à l'appel.

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              • #8
                AigleNoir
                Il a repondu à l'appel.
                De quel appel tu parles pardi ? une réunion avec Tebboune ?

                TEBBOUNE qu'il se met un doigt dans l'oeil s'il veut obtenir un peu de la légitimité, en mettant BENBITOUR dans son gouvernement, alors que lui même a les points et mains liés.

                TEBBOUNE posé à ce poste par les Généraux, ne contrôle rien du tout, et ne peut rien faire sans l'aval de ses maitres. RIEN.

                Il est 'Khodra fouk tâam' !
                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                Commentaire


                • #9
                  De quel appel tu parles pardi ? une réunion avec Tebboune ?
                  Exactement.
                  Ils ont échangé leurs points de vue et c'est enrichissant.

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