AUTEUR
Minou
Le nouveau président a été désigné dans un palais, il se retrouve dans un bazar. En effet, le plus gros chantier qui attend Abdelmadjid Tebboune est d’ordre social. Le peuple ayant été divisé par les basses manœuvres d’un clan du pouvoir, se voit aujourd’hui composé de zouaves et de badissis. Afin d’éviter une guerre de sécession version DZ, l’ancien ministre de Bouteflika choisit « la méthode choc » pour désamorcer la situation. La technique est simple, nommer des zouaves à des postes prédestinés à des badissis novembaris et inversement.
Après Oussaid et Bouzeboudjen à la présidence de la République, le chef d’état mineur poursuit ses nominations abasourdissantes, et aujourd’hui il frappe fort : Naïma Salahi est wali de Tizi Ouzou.
خلطها تصفى-شعلها تطفى
La nomination de madame Salhi a suscité un tollé. Les indignations inondent les réseaux sociaux. En effet, comment peut-on nommé celle qui s’autoproclame ennemie numéro un des kabyles wali à Tizi. “C’est un peu comme nommer Marine Le Peine à la tête d’un centre d’accueil pour migrants ou Himmler à la maire de Jérusalem, une grave provocation” commentent les internautes. La présidence a tenu à s’expliquer dans un communiqué urgent. “C’est la *****, alors autant en foutre partout. ça va bien gicler au début, mais après tout s’arrange” lit-on dans un communiqué d’El Mouradia. Madame Salhi cessera de proférer des conneries dès son arrivée à Tizi, par peur ou par repentance, selon la présidence. “Elle pourra reprendre l’école ou se lancer dans la cueillette des olives, l’important est qu’elle ferme sa gueule” conclut-il.
A noter que d’autres nominations vont suivre confirmant la nouvelle stratégie de Tebboune. Un imam à Notre Dame d’Afrique, le chanteur Idir pour la promotion de la langue d’arabe, et Fella Ababsa au centre national de toxicologie.
Minou
Le nouveau président a été désigné dans un palais, il se retrouve dans un bazar. En effet, le plus gros chantier qui attend Abdelmadjid Tebboune est d’ordre social. Le peuple ayant été divisé par les basses manœuvres d’un clan du pouvoir, se voit aujourd’hui composé de zouaves et de badissis. Afin d’éviter une guerre de sécession version DZ, l’ancien ministre de Bouteflika choisit « la méthode choc » pour désamorcer la situation. La technique est simple, nommer des zouaves à des postes prédestinés à des badissis novembaris et inversement.
Après Oussaid et Bouzeboudjen à la présidence de la République, le chef d’état mineur poursuit ses nominations abasourdissantes, et aujourd’hui il frappe fort : Naïma Salahi est wali de Tizi Ouzou.
خلطها تصفى-شعلها تطفى
La nomination de madame Salhi a suscité un tollé. Les indignations inondent les réseaux sociaux. En effet, comment peut-on nommé celle qui s’autoproclame ennemie numéro un des kabyles wali à Tizi. “C’est un peu comme nommer Marine Le Peine à la tête d’un centre d’accueil pour migrants ou Himmler à la maire de Jérusalem, une grave provocation” commentent les internautes. La présidence a tenu à s’expliquer dans un communiqué urgent. “C’est la *****, alors autant en foutre partout. ça va bien gicler au début, mais après tout s’arrange” lit-on dans un communiqué d’El Mouradia. Madame Salhi cessera de proférer des conneries dès son arrivée à Tizi, par peur ou par repentance, selon la présidence. “Elle pourra reprendre l’école ou se lancer dans la cueillette des olives, l’important est qu’elle ferme sa gueule” conclut-il.
A noter que d’autres nominations vont suivre confirmant la nouvelle stratégie de Tebboune. Un imam à Notre Dame d’Afrique, le chanteur Idir pour la promotion de la langue d’arabe, et Fella Ababsa au centre national de toxicologie.
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