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algérie positive (chiffres etc)

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  • algérie positive (chiffres etc)

    l'algérien(dont moi) est connu pour être très sévère quand il s'agit de parler de son pays .

    les 20 ans de bouteflika ont fait beaucoup de mal au pays mais on ne peut nier que l'algérie de 2020 a évolué sur certains points. les 1000 milliards de dollars n'ont pas tous été dilapidés.


    donc je vous propose de parler des bons changements dans le pays sur ces 20 dernières années.
    vous qui vivez au pays, dites nous en quoi le pays a changé.( que le positif bien entendu )
    je ferai demain un autre topic mais avec que le négatif (les pires classements du pays,liberté de la presse, doing buisness etc)

    je commence :

    fruits et légumes ,le pays est passé de 4.8 millions de tonnes a 15.2 millions de tonnes .il y a 20 ans la production du pays était ridicule en maraîchages mais la ça commence a être intéressant . par ex :

    production pomme de terre est passée de 1 million de tonnes a 5 millions de tonnes.

    production céréales de 3 millions de tonnes a 6 millions de tonnes.

    tomates de 400 000 T a 1.4 millions de tonnes

    régularisation de l'eau dans les barrages de 3 milliards m3 a 9 et 12 milliards de m3 dans les 2/3 ans. c'est un des grands acquis de la période. soit 60% de toute l'eau que reçoit le pays est captée. (hors nappes du sahara)

    irriguation des terres est passée de de 500 000 hectares a 1.3 millions (objectif 2 millions d'hectares)

    touristes passés de 1 a 2 millions (très faible vu le potentiel) en plus 80% des touristes c'est des algériens qui reviennent voir la famille. mais il faut un début a tout...

    on peut parler de la production d'électricité ou des racccordements au gaz (meilleur taux en afrique).
    l'algérie possède 60% de tous les trams en afrique.
    réseau routier le plus dense d'afrique . plus de 130 000 km de routes.

    l'IDH qui est un classement très important (82 ème mondial) classe l'algérie première en afrique (hors maurice et seychelles des micro états). c'est un grand acquis pour l'algérie. ça montre que tout le monde est soigné, va a l'école et que le revenu par hab n'est pas si faible . (certes mal soignés mal éduqués etc mais tout cela se corrige )
    le maroc par ex et avec tous ses plans pour faire remonter le pays dans l'idh reste coincé vers la 121 ème place.

    la production de dattes aussi a fait un x4 aplus de 1 million de tonnes.(3 ème mondial) quand l'algérie apprendra a exporter,elle fera mal. car elle produit 10 fois plus que la tunisie mais exporte 10 fois moins !
    Dernière modification par samarkand777, 02 janvier 2020, 12h41.

  • #2
    Perle au mileu d'un ocean ....

    Merci pour ce message positif .. au milieu de tout ce bashing genralisé sur notre beau pays !!!

    ...J espere que ton post de demain ne seras pas trop negatifs!!!
    je l'attends avec impatience

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    • #3
      2019, annus horibilis pour les journalistes algériens

      2019, annus horibilis pour les journalistes algériens
      01/01/2020 Casbah Tribune
      L’année 2019 n’est pas la meilleure en matière de liberté de la presse et des journalistes en Algérie, au moment où beaucoup ont pensé que le début de la révolution pacifique du 22 février allait commencer à libérer la presse, c’est, malheureusement, le contraire qui est en train de se dérouler.
      Au début de 2019, février et mars, les manifestants ne cachaient pas leur hostilité des journalistes et cameramen surtout, responsables selon eux des fake news.
      Ainsi les cameramen de l’AFP et de Reuters sont régulièrement pris à partie, d’ailleurs l’Agence France Presse a décidé de ne plus couvrir les manifestations des étudiants chaque mardi, décision prise après une agression contre le personnel de l’agence.
      Même débat au sein de la rédaction de Reuters à Alger, son cameraman essuie des agressions verbales qui le contraignent à ne pas tout couvrir à Alger.
      Une rédaction faut-il le rappeler encore sous le choc de l’Affaire Tarek Amara ; ce journaliste tunisien de Reuters venu à Alger pour couvrir la manifestation du 8 mars, arrêté par la police, interrogé plusieurs heures dans un lieu inconnu, puis expulsé vers Tunis. Ses collègues à Alger évoquent une torture psychologique subie par le journaliste.
      En mars 2019, un mouvement de protestation a débuté au sein des rédactions des médias publics lourds, radio et télévision.
      La présentatrice du Journal de 19h de Canal Algérie, Nadia Madassi renonce à présenter le JT à cause de pressions de sa hiérarchie qui l’oblige à donner plus de places aux infos relatives au président, elle est suivie le même mois par Meriem Abdou, présentatrice de l’émission L’Histoire en marche sur la radio Alger Chaine 3, celle-ci renonce en effet à son titre de rédactrice en chef en signe de protestation contre la ligne éditoriale de la radio.
      S’en suivra un mouvement de colère hebdomadaire des journalistes de la télévision initié par les journalistes Monia Faïd et Abdelmajid Benkaci, un mouvement qui s’essoufflera au bout de deux mois, le rassemblement du lundi n’existe plus à présent.
      Il faut aussi évoquer le cas du journaliste Abderezak Siah, suspendu de la présentation du Journal du 17h de la chaine Algérie 3 pour son activisme au sein du mouvement des journalistes pour la libération de l’information dans le secteur public.
      Merouane Lounes de Radio Algérie Internationale également censuré par sa direction pour avoir osé d’aborder des sujets interdits sur les ondes.
      Depuis février, plusieurs journalistes algériens ont été interpellés puis relâchés, Samir Larabi, Djafar Kheloufi, Djalal Mokrani, Ali Fodil, Meziane Abane, Adlene Mellah, Moncef Aït Kaci, Hassiba Hadjoudja, Djamel Saïdouni, Mustapha Benfodil, Samia Belkadi, Lynda Abbou, Hamza Aggoune, Abed Charef, Mustapha Bendjama, Sabrina Malek.
      Des arrestations qui ont également touché des journalistes étrangers venus en Algérie avec un visa touristique ou avec un passeport maghrébin, des journalistes qui pour la plupart ont évidemment été expulsés vers leurs pays, ces interpellations ont touché la tunisienne Intissar Echelli, le français Hervé Lequeux, Farouk Atig et Sadek Souissi.
      Il y a aussi des journalistes qui ne sont pas interpellés mais convoqués et longuement interrogés notamment par la gendarmerie, comme le cas de Hamid Ghemrassa et Khaled Boudia du journal El Khabar, pour ce qui est de Hamid Ghemrassa, il a été interrogé une semaine durant.
      Deux confrères journalistes, quant à eux, sont, actuellement, derrière les barreaux en mandat de dépôt, donc sans date de procès encore connue, c’est le cas de Sofiane Merrakchi, Abdelmondji Khelladi. Azeb El Cheikh, a pour sa part été libéré après plusieurs semaines de détention préventive. Said Boudour vit lui en clandestinité puisque la justice a cassé la décision de sa remise en liberté, il redoute une interpellation et une incarcération. Alors que le journaliste Mustapha Bendjama a été interdit de sortie du territoire national et placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de couvrir les manifestations du Hirak jusqu’à la tenue de son procès, prévu le 19 janvier 2020.
      Les intimidations contre les journalistes s’exerce aussi par le biais du blocage des sites d’information. TSA, premier site d’infos francophone en Algérie a été bloqué deux mois par les autorités, de juin à septembre occasionnant évidemment d’énormes pertes financières.
      Les autres sites qui ont subi des blocages sont interlignes et ******************. Une censure qui touche également la chaine de télévision Al Magharibiya qui émet depuis Paris. Eutelsat a répondu favorablement à une plainte du gouvernement algérien pour bloquer ses fréquences, la chaine a du changer de fréquences afin de pouvoir continuer à émettre par satellite et être suivie par les téléspectateurs algériens.
      Jamais le climat n’aura été aussi difficile pour les journalistes algériens, pressions, intimidations, surveillance accrue, un travail tout aussi difficile durant les manifestations dans toutes les villes du pays, les journalistes et hommes et femmes des médias sont surveillés de près et même photographiés par les éléments des Renseignements Généraux de la police RG qui n’ont aucune reconnaissance de la Carte de presse.
      Des pressions qui s’exercent aussi contre les correspondants des chaines étrangères en Algérie, la chaîne arabe basée à Londres Al Araby n’a plus le droit de travailler en Algérie, son bureau a été suspendu et ses trois correspondants sont au chômage technique.
      La chaine n’a jamais eu l’accréditation mais ses activités étaient tolérées jusqu’au jour où un sujet un peu trop neutre au gout des autorités a été diffusé sur la chaine.
      Même chose pour France 24 qui ne peut plus travailler car son provider Sofiane Merrakchi est en prison, la chaine négocie en ce moment avec un autre prestataire afin de pouvoir reprendre ses activités.
      Le correspondant de la chaine El Hadath (le Groupe Arabiya) Abdelkader Kherbouche est régulièrement harcelé par les policiers car travaillant sans accréditation.
      Depuis le 22 février 2019, les Algériens ont repris les espaces de liberté dans la rue, mais dans les médias la donne est plus compliquée, car pour reprendre le terrain perdu, les autorités cherchent systématiquement à museler la presse afin de stopper la diffusion des manifestations, ce qui fait que les pressions et les intimidations s’accentuent sur les journalistes indépendants.
      Ces intimidations se font sous forme d’interpellations arbitraires, menaces de recours à la justice ou de suspension de l’accréditation pour le cas des journalistes accrédités.
      Des accréditations données au compte-gouttes par le ministère de la Communication mais avec l’aval des Services de renseignements. L’accréditation est annuelle, valable donc du 1e janvier au 31 décembre de la même année, mais quand l’accréditation arrive à expiration le 31 décembre, le ministère de la Communication met presque 4 mois à délivrer le renouvellement, c’est-à-dire avril, ce qui fait que les journalistes se retrouvent en réalité à travailler quatre mois sans accréditation (de janvier à avril), puis avec accréditation de avril à décembre.

      Rapport réalisé par Khaled Drareni, porte parole des Journalistes Algériens Unis
      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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      • #4
        C'est clair, ça n'a pas été leur meilleure année.

        Mais la plupart sont-ils journalistes ?
        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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        • #5
          @Chiff


          Rapport réalisé par Khaled Drareni, porte parole des Journalistes Algériens Unis
          c'est un syndicat réel ou juste une autoproclamation de khaled drareni ? j'avoue ne pas le savoir
          mais dans l'algérie mafieuse liberticide de ces dernières années ( avant pendant et après bouteftef ) je n'ai pas entendu parler d'un syndicat de journaliste digne de ce nom, à moins d'une "corporation unie" en groupe pour un lobyisme determiné protégé en haut lieu ( on sait que notre presse est tout sauf independante, les autres médias aussi, et la pseudo liberté qu'ont ces journalistes dont khaled drareni lui même n'est que poudre aux yeux pour faire croire qu'on a la meilleure presse libre dans le monde arabe lol ( dixit les naîfs qui fanfaronnent sur le cadavre de la liberté d'expression et liberté tout court

          quand abed charef a été pris dans le panier à salade de la police ( il est listé plus haut dans l'article ) , ça m étonnerait que cette organisation " journalistes algeriens unis" a fait parlé d'elle, sinon je l'aurais su

          normal abed charef ( et bien d'autres journalistes anonymes ) ne fait pas partis des "unis"

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          • #6
            Je n'arrête pas de le dire. Grâce à une partie seulement des milliards de dollars de nos exportations de pétrole et de gaz, d'énormes investissement ont été réalisés par les algériens, la population a presque doublé mais le pays arrive à se suffire en produits agricoles et même en céréales, malgré les énormes gaspillages de pains notamment.
            Mais l'Algérie pourrait mieux faire et passer à l'exportation hors hydrocarbure, si seulement on libère le marché extérieur et la monnaie.
            On aurait pu assurer la convertibilité du dinar quand le pétrole était au dessus de 160 $ le baril, au lieu de dilapider nos devises dans un système corrompu pour des dépenses incontrôlées d'opérateurs privilégiés.

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            • #7
              Bonjour Samarkand777,

              Désolé je ne voulais pas polluer ton topic.

              J'avais bien créé un nouveau sujet...

              Si un administrateur voulait bien faire la modification.
              “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
              Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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              • #8
                https://www.youtube.com/watch?v=

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                • #9
                  le développement de l'agriculture fait chaud au cœur.
                  Cela nous permet de repliquer à certains qui nous decrivent comme incapable de faire pousser une touffe d'herbes
                  J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                  • #10
                    bonour chif ha moi qui voulait que du positif
                    pas de souçis...

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                    • #11
                      kalytus c'est surtout au niveau de la liberté (de la presse,d'entreprendre,droits de la femme etc) que l'algérie a du mal.


                      hmida oui il y a 20 ans l'algérie importait ses fruits et légumes. en 2020 ce n'est plus le cas hormis qq fruits et légumes qu'elle ne peut produire car trop gourmands en eau ou du au climat ( café, bananes,ananas etc)

                      le pays peut devenir un des plus grands exportateurs (dattes,figues,raisins,vin,olives,agrumes + différents légumes etc) . elle est auto suffisante en blé dur et orge (quasi) c'est surtout le blé tendre le problème du pays .

                      il faudrait refaire le même effort dans les 20 prochaines années et doubler voir tripler la production globale. et la oui le pays exportera une bonne partie de sa production qui est de qualité mais l'algérien doit apprendre a mettre en valeur ses produits (packaging, labels pub etc)

                      il faut que l'état se bouge fortement et limiter au maximum l'acte d'exporter.
                      et taxer a fond tous les produits que le pays peut produire ( mayonnaise, pâte a tartiner,chips etc etc) et inciter les marques(nutella,amora,vico etc) a venir produire sur place (zones franches, 0 taxes sur 5 ans, terrains offert etc etc)
                      Dernière modification par samarkand777, 02 janvier 2020, 12h58.

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                      • #12
                        on peut rajouter :équipe nationale de foot bien classée ou algérie 26 ème armée du monde (mais ce classement me plait moins) j 'aurai préféré 26 ème dans la facilité de faire des affaires ou des IDE

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                        • #13
                          Il ne faut pas se voiler la face et avouer que l'Algérie a été très mal gouvernée économiquement depuis 1999 (à savoir dès l'ère de Boutef).

                          L'Algérie est tombée dans le piège de ce qui est appelée: Matières premières : le syndrome hollandais

                          La rente tirée de la différence entre le prix de vente et le coût d’exploitation des hydrocarbures peut avoir des effets pervers importants. Les Pays-Bas l’ont appris à leurs dépens dans les années 70, après que fut découvert et exploité l’important gisement de gaz de Groningue. Le gonflement soudain des exportations tira vers le haut le taux de change de la devise néerlandaise.

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                          • #14
                            rago en effet, le pétrole n'a pas aidé le pays surtout l'envolée vers 150 dollars le baril a fait croire a l'algérie qu'elle était riche et s'est mise a dépenser a tout va (mosquée a 7 milliards etc) alors que des dirigeants patriotes auraient profité de ces prix pour réformer le pays et penser au futur .

                            le vénézuela est le pire exemple a ne pas suivre....

                            au moins les hollandais ont appris de leurs erreurs et ont redressés la barque.


                            je me souviens a l'école fr ,l'algérie était citée comme exemple a suivre pour les autres pays africains (années 70/80) puis l'exemple a ne pas suivre dans les années 90.....

                            que nous réservent les années 2020 ???

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                            • #15
                              boutef devrait être en prison .

                              un ex de sa gabegie: il a effacé 3 milliards de dollars de dettes a 8 pays africains sans rien demander au peuple algérien. alors qu'un dirigeant qui aime son pays aurait au moins demandé a ces pays d'échanger ces dettes contre des investissements dz dans leurs pays (pour avoir une porte d'entrée en afrique ) c'est gagnant gagnant.

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