Les experts observent que, si la privatisation de 51 % des parts du Crédit populaire d'Algerie (CPA) peut drainer jusqu'à 1,5 milliard de dollars, le but de cette vente ne consiste toutefois pas à rapporter de l'argent à l'Etat, mais plutôt à renforcer le CPA en tant qu'acteur national et régional, avec l'aide d'un partenaire expérimenté dans le secteur bancaire.
De plus, racheter le Crédit populaire d'Algerie (CPA) permettra également au partenaire étranger d'éviter de perdre du temps à construire un réseau, une base de clientèle et à acquérir une bonne réputation. L'heureux acquéreur devrait néanmoins être l'un des acteurs principaux du secteur bancaire mondial.
source : le Maghreb
De plus, racheter le Crédit populaire d'Algerie (CPA) permettra également au partenaire étranger d'éviter de perdre du temps à construire un réseau, une base de clientèle et à acquérir une bonne réputation. L'heureux acquéreur devrait néanmoins être l'un des acteurs principaux du secteur bancaire mondial.
source : le Maghreb
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