il faut espérer qu'il y ait Appel contre ce jugement scandaleux afin que ce flic écope d'une sentence en adéquation avec son geste scélérat.
Reste à se convaincre que la victime ne doit pas être "originaire française de souche" selon son prénom (Achraf) et ceci peut expliquer l'imposture de ce vedict.
- Lycéen de 17 ans, Achraf a reçu un tir de LBD dans la mâchoire le 4 décembre 2018, à Marseille. Identifié, le policier auteur du tir reconnaît l’avoir blessé accidentellement. Le parquet de Marseille a néanmoins classé sans suite. L’IGPN fait état de policiers exposés à des jets permanents de projectiles, ce que les enregistrements de vidéosurveillance démentent formellement.
"J’ai touché ce jeune involontairement et j’en suis vraiment désolé. » Cet aveu est celui de Laurent A., policier de la brigade anti-criminalité (BAC) et auteur du tir de lanceur de balles de défense (LBD) qui a fracturé la mâchoire d’Achraf lors des mouvements lycéens de décembre 2018. Lorsqu’il a été touché, le jeune homme explique « avoir craché du sang et des dents, car [il] ne voulai[t] pas les avaler » : « Je me suis relevé en allant vers les policiers en les suppliant d’arrêter, ils m’ont dit de dégager ».
Mediapart.fr
Reste à se convaincre que la victime ne doit pas être "originaire française de souche" selon son prénom (Achraf) et ceci peut expliquer l'imposture de ce vedict.
- Lycéen de 17 ans, Achraf a reçu un tir de LBD dans la mâchoire le 4 décembre 2018, à Marseille. Identifié, le policier auteur du tir reconnaît l’avoir blessé accidentellement. Le parquet de Marseille a néanmoins classé sans suite. L’IGPN fait état de policiers exposés à des jets permanents de projectiles, ce que les enregistrements de vidéosurveillance démentent formellement.
"J’ai touché ce jeune involontairement et j’en suis vraiment désolé. » Cet aveu est celui de Laurent A., policier de la brigade anti-criminalité (BAC) et auteur du tir de lanceur de balles de défense (LBD) qui a fracturé la mâchoire d’Achraf lors des mouvements lycéens de décembre 2018. Lorsqu’il a été touché, le jeune homme explique « avoir craché du sang et des dents, car [il] ne voulai[t] pas les avaler » : « Je me suis relevé en allant vers les policiers en les suppliant d’arrêter, ils m’ont dit de dégager ».
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