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Le Maroc jalouse le protagonisme de l’Algérie dans la région

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  • Le Maroc jalouse le protagonisme de l’Algérie dans la région

    Rédaction janvier 8, 2020
    Face aux succès de la diplomatie algérienne, le Maroc peine à trouver des motifs pour se faire repérer. Au Mali, la médiation d’Alger a été décisive. En Libye, la position de l’Algérie a freiné les velléités belliqueuses du zaïm turque qui s’était vu obligé de dépêcher son ministre des affaires étrangères en vue de mesurer le pouls à Alger. Une simple déclaration du nouveau président algérien a bouleversé l’échiquier libyen.

    Ce scénario inattendu a provoqué des ravages au Maroc. Le chef de la diplomatie marocaine se fait inviter dans la question libyenne. « Le Maroc préoccupé par l’escalade militaire » au même temps qu’il affirme que son pays s’oppose à toute intervention militaire en Libye.

    « L’Algérie se met en évidence : Tebboune a reçu Fayez Serraj (président GNA Libye) et Cavusoglu (MAE Turquie). Où est la diplomatie marocaine », se demande Hibapress presqu’en larmes.

    C’est une question qui dérange au plus haut point au Maroc. L’Algérie n’est pas n’importe qui. Elle est la première puissance au Maghreb et sa politique extérieure a été saluée par toute la planète. D’autres pays, comme le Maroc, sont connus pour leurs croisades conjointes avec la France en Afrique et leur dévouement à défendre les intérêts des puissances étrangères.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Merci pour le fou rire mon ami

    ����������
    La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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    • #3
      Merci pour la blague. Elle est bonne.

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      • #4
        Il faut être plus spécifique à ce propos.

        La dictature marocaine tente de bluffer son peuple en se parodiant être une nation "cheffe de file" du continent africain!

        Mais alors pourquoi la dictature marocaine s'est vue être éconduite par 11 pays africains membres de l'Union africaine (UA) lors de sa candidature à l'obtention de la coupe du monde de foot de 2026?

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        • #5
          l’Algérie est sollicitée parce qu'elle se trouve en plein centre du conflit.

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          • #6
            Bientôt l'ONU va transférer le dossier polisario à Alger alors!
            Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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            • #7
              " Bientôt l'ONU va transférer le dossier polisario à Alger alors! "

              Pourquoi à Alger?

              A Addis- Abeba, siège de l'Union africaine- ne serait- il pas le meilleur endroit
              afin de cogiter à propos de la décolonisation du Sahara Occidental?

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              • #8
                Article écrit par un journaliste vraiment débile...

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                • #9
                  un journaliste débile
                  dz(0000/1111)dz

                  Commentaire


                  • #10
                    Article écrit par un journaliste vraiment débile...
                    Tout aussi débile que son collègue marocain
                    L’ALGÉRIE SE MET EN ÉVIDENCE : TEBBOUNE A REÇU FAYEZ SERRAJ (PRÉSIDENT GNA LIBYE) ET CAVUSOGLU ( M/A/E TURQUIE).
                    OÙ EST LA DIPLOMATIE MAROCAINE ?

                    07/01/2020 HIBAPRESS

                    La Turquie bouge, trop même, ces derniers temps, surtout, sur l’échiquier libyen ou le président Erdogan a finalement décidé d’envoyer son Armée pour contrer le Général Haftah

                    Cette entrée en vigueur de l’Armée turque en Libye n’a pas laissée passive la réaction de certains pays notamment de l’Afrique du Nord à l’image de l’Egypte, la Tunisie et l’Algérie, qui voyaient là une intervention qui ne marche nullement avec leurs intentions à eux

                    Aussi, pour parer à une tension qui pourrait dégénérer, la Turquie essaie donc de rapporter ses explications aux pays concernés en passant d’abord par l’Algérie ou avait atterrit hier lundi le président du Conseil présidentiel du Gouvernement d’Union Nationale ( GNA) libyen M. Fayez Serraj .

                    Cela va de soi car, le ministre turc des Affaires Etrangères Mevlut Cavusoglu était lui aussi hier à Alger pour rencontrer son homologue algérien Sabri Boukadoum.

                    Son séjour durera deux jours « le temps de discuter des derniers développements en Libye et les moyens à mettre en œuvre pour transcender la crise actuelle et faire éviter les conséquences lourdes d’une aggravation de la situation pour le peuple libyen mais aussi pour les pays du voisinage et tout l’espace méditerranéen et africain et même au-delà ».

                    On voit bien donc que l’Algérie est devenue la plaque tournante du conflit libyen au profit du Maroc qui n’a plus donné signe de vie dans ce contexte ou du moins, essaie-t-il de suivre de loin les évènements avant d’agir à sa manière car on sait que le Maroc ne peut, en aucun cas, lâcher ce dossier consigné à Skhirat avec l’appuie de l’ONU

                    Des démarches algériennes juste avec le nouveau président Tebboune qui veut voler les débats à ses débuts comme président et vouloir remettre l’Algérie sur des rails dont elle a dérapé depuis fort longtemps

                    Tebboune se cherche toujours, se retrouvera-t-il ? ou le Maroc lui laisse le temps d’une manœuvre pour voir de plus près ses intentions ?Toujours est-il, le Maroc tarde à apparaitre clairement sur ce dossier et cela pose des questions!!!
                    Dernière modification par jawzia, 09 janvier 2020, 19h59.

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                    • #11
                      vraiment ridicule, en effet, le Hibabress.

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                      • #12
                        Bonne lecture amis marocains , puisque vous êtes venus nombreux




                        Le Maroc met en garde contre les congrès voulant réduire la Libye à une «marque commerciale»

                        Face à la multiplication des initiatives diplomatiques sur la question libyenne, le Maroc précise que la Libye ne peut être une «marque commerciale» politique aux services de congrès et de réunions internationales.




                        Enfin une déclaration du chef de la diplomatie du Maroc sur les nouveaux développements diplomatiques et militaires en Libye. «Le royaume du Maroc exprime sa vive préoccupation concernant l’escalade militaire» dans le pays maghrébin, a déclaré Nasser Bourita lors du point de presse qu’il a animé conjointement, cet après-midi à Dakhla, avec son homologue gambien.

                        «Le Maroc rejette toute ingérence étrangère y compris les interventions militaires quelques soient ses fondements, ses motifs et ses acteurs», a-t-il indiqué. Rabat met ainsi dans le même panier et la Turquie et ses adversaires l’Egypte, les Emirats arabes unis, la France et la Russie, grands soutiens des forces du maréchal Khalifa Haftar.

                        Le ministre s’est dit persuadé que «les interventions étrangères ne contribuent qu’à compliquer la situation en Libye et éloigner la perspective d’une solution politique, consacrant les divergences internes et menacant la paix et la sécurité dans l’ensemble de la région maghrébine».

                        Et d’ajouter qu’ «il n’y a pas de solution militaire au conflit. Elle ne peut être que politique entre les protagonistes libyens (…) qui passe par une phase transitoire conformément à l’accord de Skhirat (signé le 17 décembre 2015) à dessein de le consolider et l’améliorer».


                        La Libye ne peut être une «marque commerciale» politique

                        Nasser Bourita a, par ailleurs, souligné que «la Libye ne peut être une 'marque commerciale' politique aux services de congrès et de réunions diplomatiques au lieu de servir les besoins vitaux du peuple libyen en la paix et la sécurité». C’est la réponse du Maroc au mini-sommet qui se tiendra demain au Caire avec la participation de la France, la Grèce, Chypre, l’Egypte, et le congrès que prépare l’Allemagne vers la fin de ce mois à Berlin. Sans oublier les visites à Alger effectuées par le chef du gouvernement d’union nationale Fayez El-Serraj et du ministre des Affaires étrangères turc.

                        Le chef de la diplomatie a, en revanche, appelé la «communauté internationale à accompagner la Libye dans le processus d’un accord politique et à l’éloigner des tiraillements des agendas étrangers qui n’ont aucun lien avec l’intérêt suprême du peuple libyen». Et de conclure en invitant les puissances étrangères qui s’activent sur le terrain libyen à «respecter l’intégrité territoriale» de ce pays. Pour rappel, le Maroc est pour l'instant, écarté de la mobilisation internationale sur ce dossier, malgré son rôle actif dans la conclusion de l'accord de Skhirat.

                        ya biladi





                        Dossier libyen : Où se situe le Maroc dans la mobilisation internationale ?



                        Le Caire, Alger, Tunis et même Berlin sont les principales capitales où s’activent les anciens et les nouveaux acteurs du dossier libyen. Où se situe Rabat dans cette mobilisation ?

                        Le ministre des Affaires étrangères turc et le président algérien / DR
                        Le Caire accueillera, mercredi 8 janvier, un mini-sommet sur la Libye avec la participation des ministres des Affaires étrangères de la France, Italie, Chypre, Grèce et Egypte, en plus du pays hôte.

                        Loin de la capitale égyptienne, le camp anti-Haftar a choisi de mettre le cap sur l’Algérie. Le chef du gouvernement d’union nationale, Fayez El-Serraj, a effectué hier une visite d’une journée à Alger, pour se réunir à deux reprises avec le président Abdelmajid Tebboune.

                        Le même jour, l’avion du ministère turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a atterri à l’aéroport Houari Boumediene dans le cadre d’un déplacement de deux jours. En se rendant chez le voisin de l’Est, le Libyen et le Turc ont une double mission : d’une part dissiper les inquiétudes exprimées par le nouveau président algérien suite à la conclusion du pacte militaire entre Tripoli et Ankara et d’autre part inviter Alger à rejoindre le tour de table de la future alliance qui devrait réunir la Turquie, la Libye d’El-Serraj et la Tunisie. Le ministre libyen de l’Intérieur, Fathi Bachagha, a déjà fait la promotion de ce projet lors d’une visite à Tunis, le 26 décembre dernier.

                        Le lundi 6 janvier a été une journée riche en informations sur la Libye. Ainsi, la chancelière allemande a effectué son entrée sur le dossier libyen. Hier, elle a eu des conversations téléphoniques avec les présidents algérien et tunisien consacrées à l’examen de la situation dans le pays maghrébin. Mme Angela Merkel a convié Abdelmajid Tebboune et Kaïs Saeid à prendre part à la conférence internationale sur la Libye qu’elle prévoit d’organiser à Berlin.


                        Quid du Maroc ?


                        Jusqu’à présent, à Rabat l’heure est au silence. Il est lieu de noter qu’aucune confirmation officielle n’a été faite sur la visite qu’aurait effectuée, la semaine dernière, le ministre des Affaires étrangères du gouvernement du maréchal Haftar. Pourtant le quotidien arabophone Assabah avait donné l’information, dans un avant-papier de son édition du 30 décembre, promettant de publier le lendemain une interview réalisée avec Abdelhadi Lahouiej, l’émissaire de l’homme fort de l’Est libyen qui «aurait demandé la médiation du roi Mohammed VI». Une annonce restée sans suite alors même que le dossier libyen connaissait de grands mouvements.

                        Force est de constater que depuis l’annonce par le président Recep Tayyip Erdogan, du 26 décembre, d’envoyer son armée en Libye en soutien au gouvernement El-Serraj, le Maroc tient à rester à l’écart. Le ministre Hassan Abyaba est d’ailleurs la seule voix gouvernementale qui s’est exprimée sur ce sujet. Le royaume «déploie un grand effort avec les frères libyens pour le règlement de la crise. Il est disposé à trouver une solution au problème libyen», a-t-il précisé lors de son point de presse du 2 janvier.

                        Une discrétion du Maroc après avoir été l'hôte de l’accord de Skhirat, qui pourrait entériner la fin de son rôle de médiation sur la crise libyenne au profit de nouveaux acteurs.

                        ya biladi

                        l
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                        • #13
                          le maroc comme l'algérie ou autre pays africain n'a pas son mot à dire dans cette affaire, comme toujours ce sont les grandes puissances qui dicteront le cours des événements en lybie, s'il doit y avoir la guerre, il y aura la guerre et s'ils décident qu'il y aura la paix il en sera ainsi. En plus le maroc n'est pas directement concerné par ce qui se passe en lybie, il est donc normal qu'il ne soit pas partie prenante dans les sommets concernant cette affaire.

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                          • #14
                            tu es obnubilé par la tour de pise,c'est comme ceux qui sont toujours en cravate!
                            tu sais ce qu'on dit sur ce genre?!
                            Je ne sais rien de tout cela mais je sais qu'elle ne tombera pas.
                            Pas d'insultes stp même camouflés.
                            Reste poli .

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                            • #15
                              Je crois davantage que le Maroc jalouse l'Algérie du fait que la dictature alaouite s'est vue contrainte de reconnaître la RASD de suite à son adhésion à l'Union africaine.

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