http://www.tavlast.fr.st/a ecouter avec son coeur et les yeux de l'ame ... :wink: a venir Mtoub lounes :idea:
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Idir que j'affectionne pour sa douceur :))
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Lounès nnegh
Absolument, Idir est un monument de la chanson algérienne, maghrébine.
Dommage qu'il soit fainéant, au point où il nous soûle encore avec les vieilleries, Avava Inouva, Ssendu etc...
De tous, Matoub demeure celui qui a progressé tout au long de sa carrière. Écoutez ses premiers chants, ''Ay izem'' ( 1978) et montez jusqu'à ''Lettre aux...'' (1998): un travail colossal.Et que toujours mon nom de bronze/puisse toucher ses mille doigts/qu'enfin je sois fixé comme une galaxie/et ma mémoire gardée/dans ses cieux secrets et fragiles(Léonard Cohen)
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Re: Idir que j'affectionne pour sa douceur )
Envoyé par sheylahttp://www.tavlast.fr.st/a ecouter avec son coeur et les yeux de l'ame ... :wink: a venir Mtoub lounes :idea:
moi aussi j'aime beaucoup idir, il est un bon musicien, un poéte plein de douceur, mais aussi la fermeter de celui qui suis un chemen droit;
et j'aime tout ces disques et sa chanson a vava inouva la premiére version je l'adore;
de toute façon j'aime cette homme, et il me fait chaud au coeur avec ses mélodies ses musiques, et lui avec se qu'il est;
:slt: au revoir azul inch'allah tenzineon ne peus bien voir qu'avec le coeur le petit prince
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Idir
Azul fellak Levonclef 8)
un jour Idir a dit:La meilleur maniere d'appartenir a un peuple c'est d'écrire dans sa langue...
Penser en français, pleurer en kabyle
La chanson est un accident de parcours dans la vie de Hamid Cheriet, né en 1955 à Aït Lahcêne, village reculé de la montagne Djurdjura, en Grande Kabylie. A l’âge de neuf ans, il suit son père à Alger, avec sa mère, sa sœur et ses deux frères. Il y fréquente l’école des missionnaires jésuites. «Etre kabyle passe alors pour une marque de dissidence bouseuse», remarque-t-il. C’est son professeur de sciences naturelles qui lui apprend à «gratouiller la guitare». Le futur géologue se met à composer dès l’âge de 16 ans et sympathise avec des chanteurs kabyles. En 1973, il est appelé à remplacer in extremis la célèbre chanteuse Nouara, empêchée d’interpréter en direct sur la radio kabyle d’Alger la berceuse qu’il a composée pour elle.
Le succès est immédiat. En 1975, il va à Paris pour signer un contrat avec Pathé-Marconi et il y reste. Depuis, l’enfant des Aurès ne cesse de défendre la culture berbère, prolongeant ainsi un mouvement lancé à partir des années 40 par de grands écrivains algériens tels que Jean Amrouche, Mouloud Mammeri, Mouloud Feraoun, Kateb Yacine. Pour ces pionniers, la défense de la langue berbère devait passer par le français, s’ils voulaient se faire entendre. Amrouche confiait: «Je pense et j’écris en français, mais je pleure en kabyle».
http://www.unesco.org/courier/2000_04/fr/doss13.htmc'est un vrai avec son ame je l'adore 8)
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azul sheyla
merci pour ses renseignement suplémentaire sur idir, c'est vraiment un homme qui es pour nous tous un lien de fraternité et de grandeur d'âme;
j'aime l'écouter et je pense a tout les kabyles d'ici et de la bas, qui peuvent êtres fiére d'avoir de tels enfants de leurs kabylie tant aimer;
azul ar thufat tenzineon ne peus bien voir qu'avec le coeur le petit prince
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