Abdelmadjid Tebboune, a instruit son premier ministre, Abdelaziz Djerrad, pour l’élaboration d’un projet de loi criminalisant le racisme le de discours haineux, mais également certains slogans du Hirak jugés préjudiciables à « la cohésion nationale ».
Un communiqué émanant de la présidence de la République, répercuté par l’agence officielle APS, a indiqué qu’Abdelmadjid Tebboune a instruit son Premier ministre Abdelaziz Djerrad pour élaborer un projet de loi criminalisant les discours haineux, tout en pointant du doigt les réseaux sociaux, en faisant savoir que « cette mesure intervient après avoir constaté une recrudescence du discours de la haine et de l’incitation à la fitna (discorde), notamment à travers les réseaux sociaux ».
Le même communiqué explique également que cette démarche intervient dans le but « de faire face à ceux qui exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak pour brandir des slogans portant atteinte à la cohésion nationale ». Dans ce cas précis, aucune précision permettant d’identifier les slogans en question n’a été donnée.
Il est, par ailleurs, rappelé que « tout le monde est tenu de respecter la constitution et les lois de la république, en particulier ce qui concerne le respect des constantes de la nation, les éléments fondamentaux de l’identité nationale, de l’unité nationale et des symboles de l’État et du peuple ».
ALGERIE FOCUS
Un communiqué émanant de la présidence de la République, répercuté par l’agence officielle APS, a indiqué qu’Abdelmadjid Tebboune a instruit son Premier ministre Abdelaziz Djerrad pour élaborer un projet de loi criminalisant les discours haineux, tout en pointant du doigt les réseaux sociaux, en faisant savoir que « cette mesure intervient après avoir constaté une recrudescence du discours de la haine et de l’incitation à la fitna (discorde), notamment à travers les réseaux sociaux ».
Le même communiqué explique également que cette démarche intervient dans le but « de faire face à ceux qui exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak pour brandir des slogans portant atteinte à la cohésion nationale ». Dans ce cas précis, aucune précision permettant d’identifier les slogans en question n’a été donnée.
Il est, par ailleurs, rappelé que « tout le monde est tenu de respecter la constitution et les lois de la république, en particulier ce qui concerne le respect des constantes de la nation, les éléments fondamentaux de l’identité nationale, de l’unité nationale et des symboles de l’État et du peuple ».
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