La mobilisation ne fléchit pas. Malgré la répression qui marque ostensiblement sa présence dans le Hirak, les étudiants ne jurent que par la poursuite de la révolution de sourire. La détermination, l’intransigeance et le refus demeurent les maitres-mots du mouvement populaire. Ce mardi, les jeunes militants du Hirak estudiantin battent le pavé dans différentes région du pays et confirment une nouvelle fois qu’ils continueront de faire de la résistance face à un pouvoir toujours inflexible et « sourd ».
Peu avant 11h a la Place des Martyrs, les étudiants organisent le traditionnel débat pour discuter la situation politique dans le pays et les perspectives du Hirak. Des citoyens de tout bord, dont les pancartes commencent à se dresser au dessus des têtes, n’ont pas hésité à prendre part au débat. La détermination et la résistance ont dépeint une nouvelle fois la marche.
« Silmiya, Silmiya, nos revendications sont légitimes », « restons pacifiques et unis, on battra les corrompus », « revenons à l’histoire, c’est vous (les tenants du pouvoir) qui avaient trahis la révolution », « Nous resterons toujours debout! ». Ces slogans ont rythmé le début de la marche affichant la conscience politique chez ces jeunes étudiants qui ne cesse de s’affûter.
Dénonçant la répression l’usage de la force pour disperser les rassemblements, les étudiants chargent violemment le pouvoir. « Vous avez piétiner la Constitution! Nous vous avons demandé d’appliquer la loi. Nous avons tout le droit de manifester et le droit de s’exprimer librement », scandent à gorges déployés les marcheurs.
Marchant dans les principales artères de la Capitale, les manifestants ont réitéré l’une des principales revendications populaires à savoir un véritable changement dans le pays. « Tant que cette revendication n’a toujours pas été satisfaite, le Hirak se poursuivra. Nous rentrons chez nous dès qu’on verra le départ de ce régime qui a tout fait pour se faire une nouvelle peau », fustige une étudiante avant d’ajouter : « Le Hirak bouclera demain son 11e mois et le pouvoir est toujours là. Mais je refuse d’abdiquer car le maintien de la mobilisation est plus que vital pour aboutir à un véritable changement tant exigé par la plupart des Algériens ».
Les marcheurs ont également exigé la libération des manifestants toujours en détention, parmi lesquels l’étudiante Nour El Houda Oggadi qui a été placée en détention depuis un mois.
Inter-lignes
21-01-2020
Peu avant 11h a la Place des Martyrs, les étudiants organisent le traditionnel débat pour discuter la situation politique dans le pays et les perspectives du Hirak. Des citoyens de tout bord, dont les pancartes commencent à se dresser au dessus des têtes, n’ont pas hésité à prendre part au débat. La détermination et la résistance ont dépeint une nouvelle fois la marche.
« Silmiya, Silmiya, nos revendications sont légitimes », « restons pacifiques et unis, on battra les corrompus », « revenons à l’histoire, c’est vous (les tenants du pouvoir) qui avaient trahis la révolution », « Nous resterons toujours debout! ». Ces slogans ont rythmé le début de la marche affichant la conscience politique chez ces jeunes étudiants qui ne cesse de s’affûter.
Dénonçant la répression l’usage de la force pour disperser les rassemblements, les étudiants chargent violemment le pouvoir. « Vous avez piétiner la Constitution! Nous vous avons demandé d’appliquer la loi. Nous avons tout le droit de manifester et le droit de s’exprimer librement », scandent à gorges déployés les marcheurs.
Marchant dans les principales artères de la Capitale, les manifestants ont réitéré l’une des principales revendications populaires à savoir un véritable changement dans le pays. « Tant que cette revendication n’a toujours pas été satisfaite, le Hirak se poursuivra. Nous rentrons chez nous dès qu’on verra le départ de ce régime qui a tout fait pour se faire une nouvelle peau », fustige une étudiante avant d’ajouter : « Le Hirak bouclera demain son 11e mois et le pouvoir est toujours là. Mais je refuse d’abdiquer car le maintien de la mobilisation est plus que vital pour aboutir à un véritable changement tant exigé par la plupart des Algériens ».
Les marcheurs ont également exigé la libération des manifestants toujours en détention, parmi lesquels l’étudiante Nour El Houda Oggadi qui a été placée en détention depuis un mois.
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21-01-2020
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