Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les industriels et hommes d’affaires appelés à affecter une part de leurs produits à l’exportation

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les industriels et hommes d’affaires appelés à affecter une part de leurs produits à l’exportation

    Algér. 22 janvier,

    Les industriels et hommes d’affaires du pays sont appelés « à l’avenir à affecter une part de leurs produits à l’exportation » vers les marchés arabes et africains notamment, a indiqué mardi à Blida le ministre du Commerce, Kamel Rezig.

    « Les industriels sont tenus, à l’avenir, (de manière indirecte) à affecter un taux entre 20 à 30% du volume de leur production à l’exportation vers les marchés extérieurs », a indiqué le ministre à l’ouverture d’une Journée d’études sur la Loi de finances 2020.

    M. Rezig a souligné que son département ministériel s’attelle actuellement à « formuler des concepts régissant le domaine de l’exportation avec l’élaboration du plan national d’exportation, en collaboration avec les opérateurs économiques qui bénéficieront du soutien et de l’accompagnement de l’Etat ».

    « Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a veillé à la création d’un ministère délégué chargé du Commerce extérieur dans l’objectif d’accompagner les investisseurs et leur permettre d’accéder aux marchés extérieurs », a-t-il dit à ce propos.

    Abordant longuement la question inhérente à la promotion des exportations hors hydrocarbures, le ministre s’est également engagé à « soutenir et à accompagner les exportateurs » à qui il a recommandé de « ne plus se justifier par des problèmes d’entraves et de contraintes qui font désormais partie du passé, dans la nouvelle Algérie », a-t-il estimé.

    M. Rezig a affirmé, en outre, que les portes de son département ministériel « sont ouvertes à tous, y compris aux citoyens et aux hommes d’affaires, en vue d’examiner toutes les doléances et d’œuvrer à trouver les solutions idoines ».

    Le ministre du Commerce a précisé, à ce propos, que « des préparatifs sont en cours en vue de la tenue de rencontres et consultations avec les opérateurs économiques, exportateurs et importateurs, dans les jours à venir, pour s’entretenir notamment de sujets relatifs aux factures gonflées et aux importations anarchiques » et ce, a-t-il dit, suite à l’adoption du programme du Gouvernement par les deux chambres du Parlement.

    « Il est impératif qu’industriels et agriculteurs assimilent parfaitement que l’orientation vers l’exportation n’a aucune relation avec un excédant de production ou une action conjoncturelle, mais plutôt une spécialisation », a affirmé Kamel Rezig, avant d’appeler les concernés à se « mobiliser et à œuvrer pour l’intégration des marchés extérieurs, représentés notamment par 53 marchés africains et 21 marchés arabes, au vue de la qualité du produit national », a-t-il soutenu.

    Le ministre du Commerce a lancé, à ce titre, un appel aux industriels pour qu’ils tirent profit de l’opération de lancement effectif par l’Algérie de l’accord portant création de la zone de libre échange commercial africain (ZLECAF) prévu en juillet 2020, pour l’intégration intra-africaine, en s’engageant au respect des normes de qualité fixées pour ces marchés.

    Par ailleurs, le ministre du Commerce, a déploré la « non exploitation des énormes ressources et opportunités dont l’Algérie dispose pour la promotion des exportations », imputant cette situation « à la non maîtrise du concept de marketing, contrairement aux états arabes et voisins » car, a-t-il souligné, « nous croyons que la méthode de commercialisation dans les marchés extérieurs est la même que celle dans le marché national ».

  • #2
    Ils n'ont vraiment rien compris à l'économie de marché.

    On crée un business avec une cible.

    Méthode soviétique avec ce % imposé. Un non sens économique.

    C'est au chef d'entreprise de choisir ses clients en Algérie ou à l'étranger.

    C'est là où on découvre l'étendue du carnage et de l'ignorance.

    Ailleurs, les États, les vrais se contentent de favoriser les exportations avec des carottes fiscales par exemple ou en facilitant le transport, les échanges financiers, la promotion etc...

    Khorotisme religieux, khorotisme nationaleux, khorotisme économique.

    Voilà voilà
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

    Commentaire


    • #3
      non, ils ont tout compris au contraire, tu penses bien qu'ils savent manier et depuis 1962, les milliards de dollars et les planquer aux îles machin, c'est pas pour ne pas comprendre le principe de l'économie du marché

      en réalité, ils prennent le peuple en otage et rien d'autres

      tant qu'ils ont un Hirak inoffensif qui stagne avec des pancartes et des slogans de pacotille, il n y a pas urgence à déguerpir pour les preneurs d'otage, implacable.

      on ne gagne jamais en attendant que l 'autre nous donne les clés du "butin", il faut comme dirait l'autre, arracher la victoire avec ses dents et non pas avec ses pieds looooool

      Commentaire


      • #4
        aucun PLAN DE TRAVAIL , NO PLANIFICATION ................


        on peut planifier sur 10 ans ,sur un secteur , sans engager faute d argent ! et evoluer un secteur a 10% de sa planification etc etc


        on cultive avec une suproduction qui se perd ..... LA CE N EST PLUS DE DU RESSORT DE LA PLANIFICATION MAIS DE L INSUFFISANCE en tout(incmpetence )..........grise ,ou argent ou ou ou

        qui ne connait pas l histoire du prophete Youcef alaihi essalem ,qui avait fait la planification sur 7 annes , avec les reserves , le travail, l assurance , l aide sociale , conservation de denrées alimentaires etc etc il a sauvé ausssi ses voisin de la famine etc etc
        Dernière modification par m1111, 23 janvier 2020, 14h29.

        Commentaire


        • #5
          23.1.2020: Sakomas décroche un marché d’exportation vers l’Afrique
          TIZI-OUZOU- La Société Algeria Koréa marine service, spécialisée dans la construction de bateaux de pêche, a décroché un marché d’exportation de ses produits vers l’Afrique, a-t-on appris, jeudi, de son PDG, Nor El Islam Benaoudia. Une première commande pour la fabrication de deux bateaux de pêche de 14 mètres a été passée auprès de ce constructeur par un client mauritanien et ces deux embarcations sont en cours de construction au niveau du chantier naval de Sakomas sis au port d’Azeffoune, à une soixantaine de kilomètres au nord de la wilaya de Tizi-Ouzou, a-t-on constaté lors d’un déplacement sur place.
          ----------------------------------------------------------
          22.01.2020: 85.000 tonnes d'oignon exportées vers cinq pays
          La filière de l'oignon connaît un véritable boom. Avec plus de 5.000 hectares réservés à ce légume pour une production de près de trois millions de quintaux cette saison, près de 85.000 tonnes ont déjà été exportées vers la Tunisie, la Libye, la Mauritanie, l'Espagne ou encore l'Italie.
          ----------------------------------------------------------
          21.01.2020: Laghouat: Exportation de plus de 3.200 t de ciment vers le Niger en 2019
          Plus de 3.200 tonnes de ciment ont été exportés en 2019 vers le Niger par la cimenterie Amouda, a-t-on appris lundi auprès de la direction de l’Industrie et des Mines (DIM) de la wilaya de Laghouat.
          ----------------------------------------------------------
          15.01.2020: Port Mostaganem: plus de 168.000 tonnes de marchandises exportées en 2019
          Une relance importante en opérations d'exportation de différents produits agricoles, alimentaires, chimiques, matériel industriel,a été relevée en 2019, avec un taux global de plus de 58 pc par rapport au volume d'activité de l'année 2018, alors de l'ordre de 105.928 tonnes.
          -----------------------------------------------
          L'Algérie a exporté plus de 1,5 millions de tonnes de ciment au cours des neuf premiers mois de 2019
          ...
          ...
          Dernière modification par MEC213, 23 janvier 2020, 16h08.

          Commentaire


          • #6
            22 décembre 2019: Abdelmadjid Tebboune : « On a appris à importer, pas à exporter. Ça doit changer ! »

            « On a appris à acheter mais on n’a pas appris à vendre, on a appris à importer, mais on n’a pas appris exporter. Ça doit changer ! », a affirmé le président Tebboune, lors de sa première sortie officielle à la Foire de la production nationale, qui se tient du 22 au 28 décembre.

            Interpellé par le PDG de la laiterie Soummam, Lounis Hamitouche sur les difficultés que rencontrent son entreprise à l’exportation, notamment la logistiques, le Président Abdelmadjid Tebboune a indiqué que sa principale préoccupation est de « redémarrer la machine d’une part, et d’autre part de créer des emplois pour les jeunes le chômage doit baisser ».

            « Vous êtes un exemple et vous avez investi », a répondu le chef d’État, tout en se disant prêt à aider l’entreprise à créer des emplois. « Ça ne me gêne pas du moment qu’il y ait du donnant-donnant », a-t-il souligné.

            Commentaire

            Chargement...
            X