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Guerguerate et le terrorisme au menu de la visite d’un général mauritanien au Maroc

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  • Guerguerate et le terrorisme au menu de la visite d’un général mauritanien au Maroc

    Le Maroc et la Mauritanie semblent décidés à donner un nouvel élan à leurs relations. Après des années de rupture, les deux pays vont aborder la lutte contre le terrorisme et les blocages à Guerguerate.


    Le réchauffement progressif que connaissent les relations entre le Maroc et la Mauritanie parciendra-t-il a assurer une circulation fluide à Guerguerate ? C’est du moins ce que suggère le site d’actualité anbaa.info qui annonce que le renforcement de la coordination et des mesures de contrôle dans le passage seront au menu de la visite au Maroc du général Mohamed Ould Megguett, le directeur général de la police, à la tête d’une importante délégation comprenant notamment le directeur de la sûreté de l’Etat, El Kassem Ould Sidi et le directeur de la police judiciaire.

    Le média souligne que les entretiens entre les deux parties porteront également sur «l’établissement de mécanismes de coopération bilatérale pour lutter contre le terrorisme et la criminalité transnationale».

    Guerguerate et les questions sécuritaires

    Ce déplacement est le premier du genre après des années de «quasi-rupture» entre les deux pays voisins sur les questions sécuritaires, selon la même source. L’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz avait en effet privilégié les relations avec l’Algérie au détriment de celles avec le Maroc. En témoigne l’échange de visites entre les deux ministres de l’Intérieur des deux pays.


    L’arrivée dans les jours à venir de la délégation mauritanienne sécuritaire de haut niveau au Maroc intervient alors que la Mauritanie, sous pression de l’Union européenne, a commencé à se préoccuper des blocages que connait régulièrement Guerguerate. Des douaniers et des sécuritaires mauritaniens s’y étaient rendus en août, seulement une semaine après des entretiens avec des représentants de l’UE, afin d’examiner sur place les conditions du trafic.

    Au même titre que Rabat, Nouakchott est lourdement affectée par les longues semaines d'interruptions de circulation que le passage enregistre pour différents motifs. Les prix des produits en provenance du Maroc flambent sur le marché local alors que le poste frontalier Tindouf-Zouirate, inaugurée en grande pompe en août 2018 et supposé concurrencer Guerguerate, peine à décoler.

    La visite du général Ould Megguett au Maroc a été précédée par des entretiens en octobre dernier, entre l’ambassadeur du royaume à Nouakchott, Hamid Chabar, et le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Mohamed Salem Ould Merzough. Sous l’ère Mohamed Ould Abdel Aziz, ce genre de réunion n’étaient pas au programme. De même pour la signature, le 13 janvier dernier, d’un mémorandum d’entraide entre le même ministre de l’Intérieur mauritanien et des présidents des conseils de régions au Maroc, dans les domaines de l’administration territoriale, régionale et locale.



    : ya biladi

  • #2
    ça sonne le glas pour les fantaisistes harkis a Guergarate.


    général Mohamed Ould Megguett, le directeur général de la police, à la tête d’une importante délégation comprenant notamment le directeur de la sûreté de l’Etat, El Kassem Ould Sidi et le directeur de la police judiciaire.
    ceux qui bloquent Guergarate ne sont rien d'autres que des brigands de grands chemin(قطاع الطرق ) et qu'il faut traiter comme des criminels a mettre hors d’état de nuire.

    le poste frontalier Tindouf-Zouirate, inaugurée en grande pompe en août 2018 et supposé concurrencer Guerguerate, peine à décoler.
    ce poste était installé a l'origine pour le bénéfice de la famille et des proches de l'ancien président mauritanien(l'autre abdelaziz) tombé en disgrâce et accusé d'enrichissement illicite,ce sont eux qui importent des marchandises depuis l'algerie sans payer les droits de douane a la Mauritanie,mais avec le changement conscient des mentalités avec l'actuel président,les choses ont changé et les convois de marchandises en provenance de l'algerie qui ne paient pas sont bloqués au poste frontalier tindouf-zouirate.
    Dernière modification par Anzoul, 26 janvier 2020, 12h52.

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    • #3
      -Born in Morocco

      Maroc : précisions de « Jeune Afrique » sur la une consacrée aux terroristes de Barcelone
      (…).
      Le titre qui y figure est « Born in Morocco » et non « Made in Morocco ». Comme explicité dans les trois lignes qui figurent sous le titre, les terroristes sont « nés au cœur du royaume »- ce que tout le monde sait – puis se sont « radicalisés en Europe »- et non au Maroc – et y ont été recrutés par Daesh.
      (…).
      L’édito du magazine, intitulé « Le discours d’un roi », est même allé plus loin. Il a clairement rejeté les allégations relayées par des journaux espagnols et britanniques qui avaient suggéré que « le Maroc se débarrasserait de ses jihadistes en facilitant leur émigration vers l’Europe, voire qu’il existerait une sorte de prédisposition génétique des Marocains à l’extrémisme »-.

      Jeune Afrique

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      • #4







        -Born in Morocco

        Maroc : précisions de « Jeune Afrique » sur la une consacrée aux terroristes de Barcelone
        (…).
        Le titre qui y figure est « Born in Morocco » et non « Made in Morocco ». Comme explicité dans les trois lignes qui figurent sous le titre, les terroristes sont « nés au cœur du royaume »- ce que tout le monde sait – puis se sont « radicalisés en Europe »- et non au Maroc – et y ont été recrutés par Daesh.
        (…).
        L’édito du magazine, intitulé « Le discours d’un roi », est même allé plus loin. Il a clairement rejeté les allégations relayées par des journaux espagnols et britanniques qui avaient suggéré que « le Maroc se débarrasserait de ses jihadistes en facilitant leur émigration vers l’Europe, voire qu’il existerait une sorte de prédisposition génétique des Marocains à l’extrémisme »-.

        Jeune Afrique

        .








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        • #5
          "Si nous ne pouvons exporter nos tomates, nous exporterons nos terroristes" feu le dictateur Hassan II

          - Terrorisme : ce qu’il faut savoir sur la filière marocaine qui a commis les attentats en Catalogne

          Alors que le bilan des attentats de Barcelone et de Cambrils s’élève désormais à 15 victimes, l’enquête a mis au jour une filière terroriste marocaine d’une douzaine de personnes. Parmi elles, quatre fratries originaires du royaume chérifien.

          Younès Abouyaaqoub, abattu par la police lundi 21 août, était l’un des hommes les plus recherchés d’Europe. Ce Marocain de 22 ans était le conducteur du véhicule ayant foncé sur la foule à Barcelone le 17 août dernier, faisant 15 victimes, selon le dernier bilan communiqué lundi 21 août. Il était pourtant loin d’être le seul ressortissant du Maroc à intéresser la police espagnole.

          Son frère, Houssaine, a lui aussi été abattu par les forces de l’ordre lors de la seconde attaque à Cambrils, le 17 août dans la soirée, tout comme Saïd Aalla, 18 ans. Ce dernier n’est même qu’un des trois frères Aalla qui seraient impliqués dans les attaques de Catalogne. Mohammed, l’aîné, a été arrêté, tandis que Younès est toujours recherché.

          La cellule des quatre fratries

          Autre fratrie marocaine impliqué dans les attentats du 17 août : les frères Hichamy, Omar et Mohamed, tous deux abattus à Cambrils, en même temps que Saïd Aalla et le jeune Moussa Oukabir. Ce dernier aurait subtilisé les papiers de son frère, Driss, afin de louer l’un des véhicules impliqués. Driss Oukabir, qui s’est rendu de lui-même à la police, est toujours en détention-.

          Jeune Afrique

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          • #6
            - Terrorisme : ce qu’il faut savoir sur la filière marocaine qui a commis les attentats en Catalogne

            Alors que le bilan des attentats de Barcelone et de Cambrils s’élève désormais à 15 victimes, l’enquête a mis au jour une filière terroriste marocaine d’une douzaine de personnes. Parmi elles, quatre fratries originaires du royaume chérifien.

            Younès Abouyaaqoub, abattu par la police lundi 21 août, était l’un des hommes les plus recherchés d’Europe. Ce Marocain de 22 ans était le conducteur du véhicule ayant foncé sur la foule à Barcelone le 17 août dernier, faisant 15 victimes, selon le dernier bilan communiqué lundi 21 août. Il était pourtant loin d’être le seul ressortissant du Maroc à intéresser la police espagnole.

            Son frère, Houssaine, a lui aussi été abattu par les forces de l’ordre lors de la seconde attaque à Cambrils, le 17 août dans la soirée, tout comme Saïd Aalla, 18 ans. Ce dernier n’est même qu’un des trois frères Aalla qui seraient impliqués dans les attaques de Catalogne. Mohammed, l’aîné, a été arrêté, tandis que Younès est toujours recherché.

            La cellule des quatre fratries

            Autre fratrie marocaine impliqué dans les attentats du 17 août : les frères Hichamy, Omar et Mohamed, tous deux abattus à Cambrils, en même temps que Saïd Aalla et le jeune Moussa Oukabir. Ce dernier aurait subtilisé les papiers de son frère, Driss, afin de louer l’un des véhicules impliqués. Driss Oukabir, qui s’est rendu de lui-même à la police, est toujours en détention-.

            Jeune Afrique










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