Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Mourad Preure : "Gaz de schiste ? Il ne peut rien se passer avant 10ans"-hassi rmel est gravement malade

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Mourad Preure : "Gaz de schiste ? Il ne peut rien se passer avant 10ans"-hassi rmel est gravement malade

    Dernière modification par nacer-eddine06, 27 janvier 2020, 11h45.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Une réponse d'expert à la diversion politique de ce pouvoir finissant...
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      Algérie 2030, quelles alternatives au gaz de schiste?

      il a souligné, que l'Algérie ne se trouve pas en situation adéquate pour utiliser le gaz de schiste comme source d'énergie, vu l'existence parallèle de plusieurs possibilités d'exploitation raisonnable du pétrole.
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        on dirait qu on ecoute pas de la meme oreille.....
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

        Commentaire


        • #5
          Quand on est drogué aux pétro-dollars, les oreilles sonnent à chaque tring sonnant et trébuchant des majors pétroliers... et c'est bien normal que certains en deviennent sourds, ivres de pétrole...

          Mourad Peure dit clairement que cette ressources stratégique est à sauvegarder pour dans 10 à 30 ans, et que se lancer aujourd'hui dans une aventure technico-économique n'est pas la priorité, il parle du solaire comme des gisements conventionnels...

          Ceux qui ont remis cette baudruche sur la table ont des objectifs politiques certains qu'on va dénuder les uns après les autres...
          Othmane BENZAGHOU

          Commentaire


          • #6
            « LE GAZ DE SCHISTE N’EST PAS UNE PRIORITÉ » (MOURAD PREURE)


            Maghreb Emergent - 27 Janvier, 2020 10:11 - Nabil Mansouri

            Invité sur le plateau de Radio M. l’expert pétrolier international, Mourad Preure, a affirmé que l’Algérie possède encore de grandes capacités dans le conventionnel. « Je pense qu’ont doit donner la priorité au conventionnel et laisser l’exploitation de gaz de schiste pour plus tard », a-t-il indiqué.

            « Le sous-sol algérien réserve des surprises. Nous avons de grandes capacités dans le développement des gisements et un grand potentiel pour augmenter notre production », a ajouté l’invité du direct de Radio M.

            Selon l’expert, Il y a une pression et une volonté d’éjecter l’Algérie du marché gazier européen. « On représentait 16% de ce marché (Europe) alors qu’aujourd’hui ont est à 8% », rappel Preure.

            « Je pense qu’il ne faut pas répondre à cette menace par le gaz de schiste », a-t-il souligné, en indiquant que le gisement de Hassi R’mel est une « belle bête ». « C’est l’une des plus grandes accumulations gazière mondiales », a affirmé l’expert pétrolier.

            Dans ce même contexte, Preure a signalé qu’il était impossible actuellement de régler la problématique de la pollution liée au gaz de schiste du fait que « les moyens et la technologie ne le permettent pas ».

            « L’Algérie possède actuellement 112 appareils de forage en activité dont 95% sont la propriété de la Sonatrach. Si on devait déployer demain le gaz de schiste il faudrait un minimum de 500 appareils de forage avec tout un personnel autour, alors que nous sommes déjà démunis », explique l’invité de Radio M.

            « Aujourd’hui un puits non conventionnel au États-Unis coûte 10 millions de dollars, en Algérie, il pourrait coûter entre 15 et 20 millions de dollars », a-t-il affirmé.
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              Gaz de schiste : TEBBOUNE s’est-il précipité ?

              Que diront ses deux ministres CHITOUR et AIT-ALI après son plaidoyer en faveur du schiste ?


              TSA - 5 jan 2020

              De l’entrevue accordée mercredi 22 janvier par le président Tebboune à des directeurs de médias nationaux, les Algériens n’ont presque rien retenu d’autre que son avis sur l’exploitation du gaz de schiste.

              « Il faut que toutes les franges du peuple sachent qu’il s’agit d’une richesse dont Allah, le Tout-Puissant, nous a gratifié et je ne vois pas pourquoi s’en priver et que son exploitation de cette ressource est à même d’améliorer le niveau de vie », a-t-il dit.

              Certes, le chef de l’État n’a pas franchement annoncé le début de l’exploitation de cette énergie non-conventionnelle. Mais sa réponse a été perçue comme un quitus. Du moins, il ne s’y oppose pas, d’autant que la réglementation ne l’interdit pas depuis que ses prédécesseurs ont pris le soin, avant de passer la main, d’amender la loi sur les hydrocarbures. C’était en octobre dernier, soit deux mois avant l’élection de Tebboune.

              Pour le quarante-huitième acte du mouvement populaire, survenant moins de 48h après l’annonce présidentielle, le rejet du recours au gaz de schiste était le mot d’ordre des manifestants partout à travers le pays où des marches se sont déroulées.

              Depuis son évocation pour la première fois en 2014 par le Premier ministre de l’époque Abdelmalek Sellal comme palliatif à l’érosion des réserves nationales en pétrole conventionnel, l’option est perçue, et par la société et par les spécialistes, comme une solution de facilité porteuse de périls pour l’environnement et la santé publique.

              En 2015-2016, les premières expériences avaient été accompagnées d’actions de protestation dans les régions concernées, notamment à In Salah, et d’une vaste campagne nationale de dénonciation, obligeant le gouvernement à faire marche-arrière. L’idée des spécialistes n’était pas sans intérêt : les techniques d’extraction étant, au stade actuel, polluantes et coûteuses, autant laisser les réserves à la disposition des générations futures qui les exploiteront lorsque la technologie permettrait une extraction saine et rentable.

              La cause semblait entendue jusqu’à ce que le dossier soit subitement déterré à l’occasion des débats sur la nouvelle loi sur les hydrocarbures, en octobre 2019, soit en plein mouvement populaire pour le changement. Le texte avait été vivement fustigé par le hirak, car en plus d’autoriser l’exploitation du schiste, il ouvre la voie à l’octroi de concessions aux multinationales pétrolières. Son adoption avait été expliquée par certains observateurs comme une manière pour les autorités de la transition de baliser le terrain au futur président, de lui éviter d’avoir à prendre des décisions impopulaires pour les débuts de son mandat.
              La cohésion gouvernementale à l’épreuve

              Lors de son premier grand show télévisé en tant que président, Abdelmadjid Tebboune a évoqué la question. Certes, ce qu’il a dit ne peut être interprété comme un feu vert pour l’octroi des premières licences d’exploitation. « Le débat est long et complexe, nous le laisserons d’abord aux spécialistes avant la décision politique, qui viendra au moment opportun (…) Nous aborderons cette question lorsque nous aurons surmonté la situation actuelle », a tempéré le chef de l’État.

              Pourquoi s’est-il alors précipité de s’exprimer dans cette conjoncture précise sur un point d’une telle sensibilité ?
              Il s’agit bien d’un choix quand on sait que le panel de journalistes qui l’a interviewé a soigneusement évité de l’interpeller sur des questions bien plus pertinentes, comme celle de l’apaisement et du sort des détenus d’opinion.

              Pourquoi évoquer, sans y être contraint, un sujet qui risque de constituer un carburant supplémentaire à la contestation, notamment dans les régions du sud où le hirak peine à mobiliser comme il le fait dans les grandes villes du nord ?

              S’agit-il d’une erreur de communication ou, au contraire, d’une stratégie visant à détourner le débat et d’influer sur les revendications du mouvement populaire qui, jusque-là, ne perd pas de vue son exigence d’un changement ?

              La sortie de Tebboune appelle aussi des interrogations sur ce que sera désormais la cohésion et la solidarité gouvernementales, sachant qu’au moins deux ministres actuels sont connus pour leur opposition constante à l’exploitation du schiste. Avant de faire son entrée au gouvernement comme ministre de l’Enseignement supérieur, le professeur Chemseddine Chitour la qualifiait par exemple de « calamité ».

              « On a interdit à Total d’exploiter le gaz de schiste dans le Sud de la France, mais il risque de forer ici. Le gaz de schiste, c’est une calamité, l’autoriser c’est hypothéquer l’avenir du Sud où il y a une nappe phréatique de 45 000 milliards de m3 d’eau. Le gaz de schiste sera une richesse le moment venu, quand la technologie sera mature », disait-il en octobre 2019, en pleins débats sur la nouvelle loi sur les hydrocarbures.

              Ferhat Aït Ali, ministre de l’Industrie de Tebboune, n’était pas moins critique : « Le gaz de schiste n’offre pas de rente.
              Aux États-Unis, il y a même du dumping, leur stratégie c’est de s’autonomiser du marché mondial, de noyer le marché mais pas pour gagner, il n’y a pas de marges énormes.
              Là où les Américains paient 2.5 millions de dollars pour un puits, les Algériens paieront sept au minimum (…)
              Ils tentent de nous vendre leur surplus de technologie invendable ailleurs. Ils insistent pour qu’on exploite du schiste mais ils ne soumissionnent pas quand on lance des appels d’offres.
              Les Américains nous ont toujours pris pour des gnous et quelque part ils n’ont pas tout à fait tort
              ».

              Alors, que diront maintenant ces deux ministres après le plaidoyer présidentiel en faveur du schiste ?


              TSA
              Dernière modification par Pomaria, 27 janvier 2020, 15h32.
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

              Commentaire


              • #8
                Mourad Preure dit clairement
                loin de toute demagogie ou debat philosophique de salon

                que la consommation de gaz augmente de 8%/an
                que la menagere algerienne est contente d avoir du gaz pour la marmite des mioches
                que si rien n est fait le citoyen qui naitra en 2030 vivra comme son aieul de 1830 en 2060

                que hassi messaoud est un gisement non conventionnel

                que la priorite du gaz de schiste sera en majeure partie utilisee pour aller comprimer les gisements sic conventionnels

                que certains pays et certains algeriens ne veulent pas que l algerie redevienne une puissance gaziere

                et qu evidemment en parallele qu il faille sans tarder se lancer dans l energie solaire et innonder le sahara de panneaux solaires....
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                Commentaire


                • #9
                  nacer-eddine06
                  que la priorite du gaz de schiste sera en majeure partie utilisee pour aller comprimer les gisements sic conventionnels
                  Biensur !

                  Mais ceci ne peut se faire quelorsque l'évolution technologique le permet et ne met pas en DANGER et en péril l'autre grande ressource qu'est la Nappe Albienne.

                  Les estimations des chercheurs dans le domaine du Schiste disent que la nouvelle technologie alternative et non poluante d'extraction du schiste (méthode à la fluopropane) ne sera rentable, opérationnelle et industrialisable qu'à partir de 2030-2032.
                  Dernière modification par Pomaria, 27 janvier 2020, 15h50.
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    La démagogie des chiffres de gens incapables de les traduire dans une politique énergétique globale.

                    Le gaz et l’électricité sont largement subventionnés et ça se traduit par une consommation effrénée de drogués, incapable de mettre en place des politiques rationnelles de consommation d’énergie. l'APRUE n'a jamais eu la possibilité de travailler normalement, et la subvention doit se limiter aux ménages nécessiteux. Le reste des industriels et autres grands consommateurs d’énergie doivent payer le juste prix qui dans son calcul doit intégrer le manque à gagner en devise, elle aussi subventionnée, les avantages comparatifs que la politique industrielle de l'Algérie voudrait sauvegarder...

                    Que nos pseudo-savants nous disent exactement quelle est la part des ménages dans la consommation de gaz, électricité comprise, et on s’apercevra de leur grosse arnaque...
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #11
                      as tu une idee du prix d une station de compression
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                      Commentaire


                      • #12
                        Quand on coule Sonelgaz pendant 30 ans sous les dettes et on vient nous expliquer que le gaz de schiste est notre salut, on devrait se la boucler à jamais sur la politique énergétique du pays...

                        Excuse mon agressivité mais vous vous fouttez de la gueule des algeriens...
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #13
                          La facture moyenne d’un ménage est de 8 000 DA par trimestre

                          La consommation de l’énergie électrique doublera d’ici à 2026. © D.R.
                          La consommation a doublé en dix ans. Elle va encore doubler d’ici à 2026.

                          Elle est tirée à 60% par les ménages. Pour satisfaire cette demande, il faut investir 4 500 milliards de dinars.

                          Invité, hier, à l’émission “Service public” de la radio Chaîne III, le président-directeur général de la SDA Alger, Merouane Chaâbane, a affirmé que tant que les tarifs sont bas, “on est moins sensible à l’économie d’énergie”. La rationalisation du gaz et de l'électricité, thème de l’émission, passe par le changement du rapport que l’on a avec l’énergie, a expliqué l’invité de la Chaîne III. Les tarifs aidant, “pour nous, l’énergie est gratuite et disponible”. On est dans cette culture, a précisé Merouane Chaâbane, qui a ajouté qu’en Algérie, “nous sommes sur les tarifs les plus bas par rapport à nos voisins et même par rapport à certains pays européens”. Rappelant le gel des prix pendant dix années et la “légère augmentation” de 2015, le P-dg de la SDA Alger a précisé que, malgré les compensations de l’État, la SDA est déficitaire depuis quelques années parce que les prix ne rejoignent pas les coûts. Merouane Chaâbane s’est dit convaincu que c’est le tarif qui va pousser le citoyen à revoir son mode de consommation. C’est pour cela,
                          a-t-il ajouté, que l’État est en train de revoir sa démarche sur les subventions. Il a, toutefois, estimé que “ce n’est pas la tarification en elle-même qui va changer mais plutôt la répartition de la subvention”. Revenant sur la consommation, il a indiqué qu’elle a doublé en dix années, et à ce rythme, elle va encore doubler d’ici à 2026. Et pour pouvoir satisfaire cette nouvelle demande, il faudrait débourser au minimum 4 500 milliards de dinars. Ce qui est, selon lui, lourd pour l’économie du pays dans la conjoncture actuelle. Cette consommation est tirée à 60% par les ménages avec la climatisation comme poste qui consomme le plus pendant l’été. En moyenne, la facture d’un ménage est de 8 000 DA par trimestre, a indiqué Merouane Chaâbane. Et pour la baisser, il est nécessaire de faire plus de sensibilisation. “Tant que la consommation reste élevée et évolue d’une manière importante, nous devons renforcer notre façon de sensibiliser” à travers d’autres démarches. À ce titre, il a souligné la mise en place, dans chaque agence commerciale, d’un bureau de conseil.


                          Saïd Smati
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                          Commentaire


                          • #14
                            Nous sommes sur les tarifs les plus bas au monde d'essence et parmis les plus bas en gaz et électricité. La subvention, qui alimente une consommation enfarinée, et une inefficacité énergétique globale, doit se limiter à un quota de consommation et une catégorie fragile de la population. Le nabab qui doit chauffer sa piscine paie le même prix que le pauvre qui arrive à peine à chauffer sa modeste demeure, un prix subventionné. Une fois cette justice sociale corrigée et ciblée, on pourra établir des projection rationnelle d'énergie, qui prenne en compte une bonne et rationnelle utilisation...

                            D'autre part, 60% représente la consommation des ménages en gaz de ville, qui est différent de la consommation globale de gaz, électricité comprise, ce qui changerait fondamentalement les rapports. Il n'intègre pas les derniers gros projets industriels, gros consommateurs en gaz et électricité...
                            Othmane BENZAGHOU

                            Commentaire


                            • #15
                              Il n'intègre pas les derniers gros projets industriels, gros consommateurs en gaz et électricité...
                              ott c toi qui nous dit que le pays doit etre attractif....
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X