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Afrique du Sud : La TV publique parle du Maroc

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  • Afrique du Sud : La TV publique parle du Maroc

    Le Maroc est un pays qui jouit du plus haut degré de stabilité dans une région en proie à des turbulences, a indiqué Gideo Chitanga, spécialiste des questions africaines.
    Outre sa stabilité, le Maroc a atteint un niveau de développement qui renforce sa position sur la scène africaine, a noté l’analyste lors d’un débat diffusé mercredi-soir par la chaine de télévision publique sud-africaine (SABC).

    Il s’agit d’un pays fondateur de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA, prédécesseur de l’Union africaine) qui avait quitté cette organisation suite à une injustice commise à l’égard de son intégrité territoriale, a indiqué l’analyste.

    Le retour du Maroc au sein de l’UA, acté lors du sommet de l’organisation panafricaine tenu en 2017 à Addis-Abeba (Ethiopie), témoigne de l’attachement du Royaume à ses racines et son prolongement africains et sa détermination à renforcer sa contribution aux efforts de développement dans le continent, a-t-il dit.

    D’après l’analyste, une nouvelle vision stratégique est nécessaire au niveau politique et économique pour permettre aux différentes régions africaines de travailler dans le cadre d’une synergie qui place la prospérité du citoyen africain au cœur des priorités.

    Le Maroc est bien positionné pour contribuer positivement à cet effort, a-t-il fait observer, rappelant que le Royaume a réussi à renforcer sa position économique en Afrique, où il est le deuxième plus grand investisseur.

    S’agissant de l’intégrité territoriale du Maroc, l’analyste a souligné que le séparatisme, prôné par certaines parties, pose un réel problème. Il noté, dans ce contexte, que l’option référendaire a prouvé son échec dans des régions où de graves problèmes sont maintenant posés, menaçant la paix et la sécurité en Afrique.

    La division et la partition des Etats africains ne sont pas une solution, a-t-il enchainé, soulignant que la solution proposée par le Maroc (NDLR : l’initiative d’autonomie) a le mérite d’offrir une approche inclusive et pluraliste qui devra apporter une solution durable répondant aux différentes aspirations et attentes des populations notamment sur le plan économique et de la gouvernance

  • #2
    Signalez la source de cette information?

    Il serait étonnant qu'une chaîne télévisée sud-africaine soit "complaisante" envers la dictature marocaine qui avait soutenu l'apartheid?

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    • #3
      Signalez la source de cette information? XXXXXX Il serait étonnant qu'une chaîne télévisée sud-africaine soit "complaisante" envers la dictature marocaine qui avait soutenu l'apartheid?
      @ rago

      Je crois que tu cherches de mettre en doute tout ce que tu penses et écris à Mr.rago:à toute fin utile, veuillez trouver ci-joints les liens et ou sources que tu as demandés, je cite

      Télévision sud-Africaine - Annuaire Tv et Radio
      http://www.tamtammaghreb.com/afrique...elevision.html

      ET

      www.infomediaire.net/afrique-du-sud-la-tv...

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      • #4
        - Le 5 août 1962, celui qui est devenu l’icône de la lutte en faveur de la population noire d’Afrique du Sud est arrêté près de Durban. Depuis l’interdiction de l’ANC en 1960 et sa qualification d’« organisation terroriste » par le régime de l’Apartheid, avec le soutien des Etats Unis, la liberté de Madiba est clairement en sursis. L’implication de la CIA ne fait aujourd’hui aucun doute.

        Ce sont en effet les services de renseignement américains qui démasquent la vie de couverture de Mandela, à savoir chauffeur pour un riche blanc sud-africain, qui est en réalité un soutien de la cause de l’ANC. Evidemment, la position ambigüe du Maroc, nouvel allié inconditionnel des Etats Unis, entraine une série de questions : si les services occidentaux ont commencé à filer Mandela depuis l’Afrique du Nord, auraient-ils pu bénéficier d’une quelconque assistance ?

        Une source ayant étudié l’affaire et qui souhaite rester anonyme donne son avis : « La première arrestation de Mandela a eu lieu pratiquement à son retour du Maroc et d’une tournée dans d’autres pays. Mais il n’a été condamné à la prison à vie qu’en 1964 alors qu’il était entré en clandestinité. Que la CIA ait pu fournir des renseignements à Pretoria sur son séjour au Maroc est bien sûr très possible. Mais il n’y a pas que la CIA qui opérait librement au Maroc : les services français, israéliens et portugais, qui soutenaient totalement la politique de l’Apartheid, ont pu tout aussi bien le faire ».
        (…).
        Enfin, une troublante rumeur pourrait sérieusement constituer le point de rupture entre les ennemis de l’Apartheid et le Maroc. Selon notre deuxième source, le Polisario aurait saisi en 1979 un étrange butin de guerre suite à un raid contre les Forces armées royales (FAR). Il s’agirait de plusieurs automitrailleuses AML Panhard équipées de canons de 60 et 90 mm. Ces véhicules blindés porteraient des inscriptions rédigées dans une langue proche du néerlandais. Le représentant à l’époque de l’ANC à Alger, Thami Sindelo, aurait formellement reconnu l’origine sud-africaine de ces équipements.

        Si ces informations se révèlent exactes, le Maroc aurait violé l’embargo sur les armes imposé au régime de l’Apartheid par l’OUA et l’ONU. Si tel est le cas, la fracture avec les futurs hommes forts de l’Afrique du Sud est quasiment irrémédiable.

        Zamane.Ma

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        • #5

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          • #6
            Et l'éternelle interrogation: pourquoi la dictature marocaine-à l'instar de son sosie israélien- avait-elle soutenu l'apartheid qui sévissait en Afrique du Sud?

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            • #7
              Maroc-Afrique du Sud : La SABC donne la parole à Youssef Amrani

              Le Maroc et l’Afrique du Sud, deux principaux acteurs sur la scène africaine, sont appelés à travailler ensemble pour aider l’Afrique à relever les défis qui lui sont posés, a indiqué mercredi l’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, dans une interview à la chaine publique sud-africaine (SABC).
              Le Maroc et l’Afrique du Sud, en tant qu’acteurs majeurs dans le continent, sont appelés à travailler ensemble pour relever les défis posés au continent et bâtir une Afrique meilleure, a-t-il dit.

              «Nos deux pays ont convenu, au plus haut niveau, de rehausser, renforcer et développer leurs relations à travers un partenariat renouvelé», a souligné l’ambassadeur, relevant que Rabat et Pretoria partagent une vision et un engagement communs.


              «Nous avons une idée claire de ce que nous devons entreprendre ensemble pour bâtir une Afrique prospère, stable et tournée vers l’avenir», a encore dit Amrani, notant que sa mission en Afrique du Sud est guidée par l’ambition de construire des passerelles de coopération mutuellement avantageuse à travers le renforcement du dialogue politique bilatéral et dans le cadre de l’Union africaine (UA).

              «Nous sommes à présent confrontés à d’énormes défis que nous devons relever ensemble. Nos deux pays disposent des atouts nécessaires leur permettant de réussir cette mission», a-t-il dit, mettant l’accent sur l’importance de renforcer les échanges commerciaux et les flux des investissements entre les deux pays ainsi que les échanges humains.

              Le diplomate n’a pas manqué de rappeler l’historique séjour de l’ancien président sud-africain, Nelson Mandela, au Maroc au début des années 1960 au moment où il menait la lutte du peuple sud-africain pour la libération du joug de l’apartheid.

              Il s’agit d’une marque de soutien de la part du Maroc pour la lutte juste de ce peuple ami, que l’icône Mandela n’a jamais failli de souligner et de reconnaître à sa juste valeur, a dit Amrani.

              Abordant la question de l’intégrité territoriale du Royaume, Amrani, tout en donnant un aperçu historique sur ce conflit régional crée de toute pièce, a déconstruit les allégations fallacieuses entourant ce dossier.
              «La question du Sahara est un conflit régional traité par l’ONU», a-t-il dit, soulignant que les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité onusien ne laissent aucune place aux interprétations personnelles ou aux influences idéologiques».

              Les objectifs sont clairs, la paramètres sont définis et les moyens sont mis à disposition, a poursuivi Amrani.
              Et d’ajouter que l’Onu, après avoir reconnu l’inapplicabilité de l’option référendaire, a appelé, depuis 2004, les parties à œuvrer dans le sens d’une solution politique fondée sur le réalisme, la praticabilité, la durabilité et le compromis.


              Ces nouveaux paradigmes sont en parfaite harmonie avec l’Initiative d’autonomie présentée par le Maroc et dont le caractère sérieux et crédible a été reconnu aussi bien par le Conseil de sécurité de l’Onu que par la communauté internationale, a encore indiqué l’ambassadeur, soulignant que l’initiative marocaine est réaliste car elle s’attaque à la situation socio-économique et politique réelle au Maroc, y compris dans les provinces du sud.

              Elle est pratique car elle est inclusive de toutes les populations de ces provinces dans leurs composantes politique, tribale, générationnelle et professionnelle, a ajouté Amrani, relevant que l’initiative d’autonomie se distingue aussi par sa durabilité car son approche est fondée sur la paix, la stabilité et l’intégration économique dans la sous-région du Maghreb dans sa globalité.


              Il a, dans ce contexte, rappelé que le Conseil de sécurité de l’Onu a souligné, dans sa dernière résolution, la primauté et la prééminence de l’initiative marocaine, tout en qualifiant de «sérieux et crédibles» les efforts déployés par le Maroc pour résoudre ce conflit régional.

              «Le Maroc demeure engagé, dans un esprit constructif, dans le cadre du processus mené par l’Onu qui vise à parvenir à une solution définitive à cette question», a-t-il dit.


              Répondant à une question au sujet du processus de délimitation du domaine maritime marocain, Amrani a souligné que le parlement marocain a, conformément au droit international et en toute souveraineté, adopté à l’unanimité, deux projets de loi visant à établir la compétence juridique du Royaume sur l’ensemble de son domaine maritime.

              Ces textes revêtent une importance capitale dans le contexte de l’actualisation de l’arsenal juridique national relatif aux espaces maritimes du Royaume, a souligné l’ambassadeur, ajoutant que cette démarche relève d’une affaire intérieure et d’un acte de souveraineté en total adéquation avec la convention de l’Onu sur le droit de la mer.


              Il a réitéré que cette démarche technique dans sa déclinaison peut être sujet, en cas de chevauchement, à un dialogue constructif entre le Maroc et l’Espagne voisine considérée comme un partenaire stratégique lié au Maroc par des relations politiques, économiques et historiques fortes.

              C’est ce même esprit de dialogue et d’amitié qui a prévalu lors de la récente visite de la Ministre espagnole des Affaires étrangères au Maroc, a-t-il dit.


              Abordant la situation au Maghreb, l’ambassadeur a souligné que, dans le contexte actuel marqué par d’importants changements politiques et des conditions économiques difficiles, la réalisation de l’Union du Maghreb Arabe devient «une nécessité absolue».

              La question est de savoir comment traduire nos aspirations partagées en une dynamique régionale concrète menant à l’intégration économique, la stabilité et la sécurité durables et la prospérité, a-t-il dit, soulignant que le coût du non-Maghreb n’est plus supportable pour les cinq pays de la région aux niveaux économique, politique ou social.


              Chaque pays perd annuellement 2% de la croissance de son Produit Intérieur Brut en raison du retard pris pour la réalisation de l’intégration dans la région, a-t-il déploré, soulignant que l’Union du Maghreb Arabe représente une nécessité stratégique pour tous les pays de la région.

              Outre l’impact économique, l’intégration dans la région offrira des répondes efficaces aux défis sécuritaires transfrontaliers dans la région, mais surtout dans celle du Sahel.

              A une question au sujet de la situation en Libye, l’ambassadeur a rappelé que le Maroc a exprimé ses profondes préoccupations suite à l’escalade de la situation militaire dans ce pays frère. Le Royaume rejette toute intervention étrangère, y compris militaire, en Libye, a-t-il dit, soulignant que le règlement de ce conflit ne peut qu’être que politique et sur la base d’un consensus entre les différents protagonistes dans le cadre de la préservation et le respect des intérêts suprêmes de la Libye et du peuple libyen..............

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              • #8
                Y a que l’Algerie qui sort les tambours contre le Maroc

                Problème régional
                Une fake invention (polisario) géostratégique
                La haine aveugle

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                • #9
                  " Nous avons une idée claire de ce que nous devons entreprendre ensemble pour bâtir une Afrique prospère, stable et tournée vers l’avenir», a encore dit Amrani, notant que sa mission en Afrique du Sud est guidée par l’ambition de construire des passerelles de coopération mutuellement avantageuse à travers le renforcement du dialogue politique bilatéral et dans le cadre de l’Union africaine (UA).
                  «Nous sommes à présent confrontés à d’énormes défis que nous devons relever ensemble. Nos deux pays disposent des atouts nécessaires leur permettant de réussir cette mission», a-t-il dit, mettant l’accent sur l’importance de renforcer les échanges commerciaux et les flux des investissements entre les deux pays ainsi que les échanges humains.

                  Le diplomate n’a pas manqué de rappeler l’historique séjour de l’ancien président sud-africain, Nelson Mandela, au Maroc au début des années 1960 au moment où il menait la lutte du peuple sud-africain pour la libération du joug de l’apartheid.

                  Il s’agit d’une marque de soutien de la part du Maroc pour la lutte juste de ce peuple ami, que l’icône Mandela n’a jamais failli de souligner et de reconnaître à sa juste valeur, a dit Amrani-.

                  N'importe quoi!. Le Maroc avait soutenu l'apartheid sud-africain et nombreuses preuves l'attestent.

                  - Histoire : Quand le Maroc livrait des armes à l’ANC de Mandela

                  En 1962, la première livraison d’armes aux combattants de l’ANC a été marocaine. Nelson Mandela avait même séjourné quelques mois au royaume. Abdelkrim El Khatib avait joué un rôle très important dans le rapprochement entre Hassan II et Mandela. Les deux hommes allaient se rencontrer, une deuxième fois, en 1994 à Rabat, mais cette fois-ci plutôt par courtoisie. Durant les longues années d’incarcération de Mandela, le Maroc s’est éloigné de l’ANC et s’est rapproché du régime sud-africain.

                  Ya...bi

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                  • #10
                    Le polisario, une "escroquerie géopolitique" (journal brésilien)

                    Le chef du Polisario, Brahim Ghali, lors d'un précédent déplacement dans la localité de Bir Lahlou, située dans la zone tampon. En arrière-plan, des véhicules de transport blindés équipés de canons tout juste livrés par Alger.



                    © Copyright : DR "Le polisario est une escroquerie géopolitique qui manque de fondement historique, de légitimité populaire et de réalité démographique", a souligné mardi le journal brésilien O Globo.

                    Cette réalité ne fait que se confirmer récemment avec le retrait par plusieurs pays, notamment en Amérique du Sud, de leur reconnaissance de la pseudo "rasd", a écrit le quotidien à grand tirage, dans une tribune signée par l'ambassadeur du Maroc au Brésil, Nabil Adghoghi, rappelant notamment les cas de la Bolivie, du Paraguay, de la Jamaïque, du Salvador, du Venezuela et du Suriname.

                    En Afrique et dans le monde arabe, a ajouté la même source, la grande majorité des pays ne reconnaissent pas le polisario, alors que ce dernier n'a de statut juridique ni dans la Ligue arabe, ni dans le Mouvement des pays non alignés (MNA), encore moins à l'ONU.

                    Quand l'Amérique latine refuse de se laisser dériver derrière les vanités du polisario


                    "Lorsque le Maroc a soulevé la question du Sahara devant l'ONU dans les années 1960, le polisario n'existait tout simplement pas. Il a été créé, dans le contexte de la guerre froide, par la Libye et l'Algérie, sous forme d’une guérilla avant qu’elle ne se transforme, après sa défaite, en un mouvement séparatiste", lit-on dans cet article.

                    Selon la publication, cela montre comment les divergences idéologiques en Afrique du Nord après l'indépendance ont affecté la stabilité de la région et prouve que le polisario n'est rien qu'une fraude géopolitique, car "il n'a aucun fondement historique, aucune légitimité populaire et aucune réalité démographique".

                    Évoquant la question de l'autodétermination, le journal a rappelé que le Maroc a toujours défendu ce principe. "C'est le Maroc qui a lancé, en 1961, la Conférence des mouvements de libération des colonies sous domination portugaise et initié le leader Nelson Mandela à la lutte armée, entre 1960 et 1962. C'est le Maroc aussi qui a lancé un gigantesque mouvement de solidarité pour soutenir la lutte de l'Algérie qui a conduit à l'indépendance en 1962", a fait observer l’auteur de l’article.

                    Le principe de l'autodétermination ne doit s'appliquer qu’à un peuple dûment défini comme tel, c'est-à-dire un groupe humain qui a en commun des références culturelles, historiques, ethniques et linguistiques, a relevé M. Adghoghi dans cette tribune.

                    En ce qui concerne les "réfugiés" à Tindouf, la publication fait observer qu’ils sont les seuls au monde qui n'ont jamais été recensés par le Haut-commissariat aux réfugiés, les seuls à être mis dans une zone militaire sans jouir du droit à la mobilité sur le territoire algérien et à l’étranger. "Une telle opération, à la fois urgente et nécessaire, discréditera une fois pour toutes la propagande frauduleuse du polisario", selon la même source.

                    Le journal est revenu, par ailleurs, sur la position du Brésil, conforme à celle des membres permanents du Conseil de sécurité, le pays sud-américain n'ayant jamais reconnu cette entité et qui continue d'appuyer les efforts en faveur d'une solution politique juste, consensuelle et mutuellement acceptable, dans le cadre des Nations Unies.

                    Le360

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